Une longue nuit
Alors que la nuit commence à tombé sur Sombre forêt, les garçons allument un immense feu de camp.
Elisa s'assoie prêt de moi, et pose sa tête sur mon épaule, fatigué par son périple. L'objet qu'elle à trouvé se trouvait dans la rivière. Une branche de bois flotté qu'elle à eu bien du mal à récupérer.
Après que le professeur Florali est inspecté chaque objet trouvé, elle lança étonné.
- C'est une première !
- Que ce passe t'il madame ?
- Nous reprenons la route dans une heures.
Elle gagna sa tante, sans nous donné d'explication.
C'est en reunissant ce que nous avions trouvé, que nous nous sommes rendu compte, que les objets avaient la même fonction, même si il étaient différent.
Nous avions tous trouvé une baguette qui s'encrait dans notre peau tel un tatouage. La mienne était une branche de cerisier, celle de Elisa un bois flotté, Aïda en forme d'aiguille, Kyle une plume de paon et toutes ces baguettes étaient aussi majestueuse les unes que les autres. D'après Manon, c'était la première fois que cela ce produisait.
- L'année précédente, le prince Daniel avait trouvé une pierre, celle-ci ne le quitte jamais d'ailleur.
- Mais à quoi nous servent ces objets ?
- Daniel m'a dit qu'ils servent à concentrer ton talent en un seul point. Ce qui fait qu'il est plus facile à controlé.
- Mais, que cela soit des baguettes, ou des pierres, ou même autre chose ! Je n'arrives pas à comprendre la réaction du professeur.
- Alex à raison ! Sa réaction était curieuse.
De retour au château, nous nous sommes caché dicretement derrière la porte du bureau du directeur. La conversation semblait être agité. Et de ce que l'on pouvait entendre, cela ne s'était jamais produit.
- Vous êtes en train de me dire qu'il sont des sorciers.
- Une génération de magicien, monsieur. Jamais dans nos anales je n'ai vu une tel chose arrivé.
- C'est impossible !
- Pourquoi serai-ce impossible Délia ? Après tous, Fabia à été construit grace à la magie.
- Mais toute cette grande magie a disparu il y a longtemps. Vous rendez-vous compte du danger que nous encourons ?
- Et que voulez-vous que l'on fasse, professeur Stanislass ?
- Nous devons les enfermer dans la salle des miroirs. Le pouvoir des magiciens est un trop grand pouvoir pour de si jeunes personne.
- Et que direz-vous au roi quand il apprendra que son fils à été enfermé.
- Calmez-vous ! Ecoutez, je ne penses pas que tous ceci sois de notre ressort. Il en revient à l'ordre des Sacrées, d'en découdre.
- Les sacrées ? Mais c'est de la folie ! En reférons nous plutot au roi d'abord. Je ne penses pas que les sacrées reglerons cette histoires avec tact. Rappelez-vous du cas Ismaël.
Le professeur florali venait de lacher une bombe !
- Ismaël était incontrolable.
- Il était jeune et curieux ! C'est tout .
- Je comprends votre point de vu Délia. Mais sachez qu'Ismaël n'aurait pas du être là.
- Vous dites cela parce que votre famille est la principale concerné, mon cher Stanislass !
- Cela suffit ! Cria le directeur.
- Monsieur le directeur, je vous supplit d'y reffléchir. La famille royale est encors une fois concerné par cette histoire. Le roi a perdu son frère, il ne peut pas perdre aussi son fils.
- Nous faisons tous partis du cercle. Nous devons prendre ce cas comme exemple pour former et informer nos nouvelle recru, sur ce qu'il se passe ici.
- Nous savons tous ici que tu n'aimais pas Ismaël et que c'est pour sa que . . .
- J'ai dit stop. Ce n'est ni le lieu, ni le moment d'en parler. Nous allons voter. Pour ceux qui veulent en informer le roi, lever la main.
Je me demandais qui avait choisis cette option. En tous cas se soit disant professeur Stanislass était contre nous.
- Pour ceux qui vote pour que nous en parlions au cercle, levé la main. Je suis navré Délia, mais la majorité à voté pour en parler au cercle.
- C'est une cause perdu et vous le savez monsieur le directeur. Comment pouvez-vous cotionner une tel chose ?
- Nous avons toujours procédé de la sorte Délia. Nous devons suivre le protocol.
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