Les sous bois sentaient le pin, et l'humidité s'évaporait sous un soleil de midi. Nous avions repris la route en compagnie de notre nouvel ami, que j'avais eu le plaisir de nommé "Agapenthe".

Quelque kilometre plus tard, des pétales roses tournoyaient dans le vent. Un parfum sucré nous attira jusqu'une forêt de cerisier, que je reconnu immédiatement.

- C'est ici que je l'ai vu.

- Qui ? Qui, as-tu vu ?

- Ismaël. Dans l'une de mes vision, il était ici devant un piano.

Tout ce mit en place.

- Quand je suis arrivé dans cette école. Le directeur m'a dit que mes dessins étaient "ressemblant". Depuis tout ce temps, c'est ce lieu que je vois. depuis ma tendre enfance, je me suis mise à dessiner cette endroit. Comment ?

- Tu vois les choses, c'est tout.

- Non. C'est plus que ça. Cette forêt, je la connais.

Au loin, une silouhette commença à apparaître dans le sous bois. Nous nous étions arrêté pour être sur, de ce que nous etions en train de voir. Un homme s'avançait, sa longue barbe grisonnante reflétait le soleil. Kyle m'attrapa par le poignet, il était aux aguets. Quand ce dernier nous sourit chaleureusement, je m'approcha pour le rejoindre sans aucune crainte. Kyle était sous la reserve face à ce personnage enigmatique, que nous venions de rencontré.

- Je suis,

- Alexandra.

Mon nom résonna à sa bouche comme un écho, sa voix rock était pour moi, rassurante.

- Décidement, tout le monde te connait !

- Et toi, tu es Kyle. Fils du roi. Tu es doté d'un talent impressionnant !

- Et vous, qui êtes vous ?

Je le mis un coup de coude dans le ventre.

- Quelle impolitesse !

- Tout le monde me nomme l'Architecte.

- L'Architecte ?!

- L'Architecte ?!

Nous étions sous le choque.

- Veuillez me suivre cher enfants.

Si la végétation avait été fabuleuse au départ, et bien, plus nous nous enfoncions dans les bois et plus le paysage nous subjugait par sa beauté. Nous étions arrivé aux montagne où dans un immense arbre se trouvait une cabane en bois. La vue était prenante. Je pouvais tout voir. À commencé par la foret de pin, jusque la foret de cerisier. Un immense lac entourait un ilot en contrebat.

- Jamais je n'ai vu une tel beauté !

- Avant, tout était vert, et la nature ne faisait qu'un avec les hommes. Aujourd'hui, aveuglé par leur cupidité, ils en veulent d'avantage. Détruisant ce qu'il y a de plus beau en ce monde, pour sois disant le rendre encore plus beau et meilleur. Mais, qu'y a t-il de plus beau et de plus apaisant de ce que vous voyez là ? Vous recherchez le bonheur, vous en voulez toujours plus. Mais le bonheur n'a pas de jauge, car, un rien peu rendre heureux.

- J'en suis conciente. Mon monde évolu, et oublie les petite choses qui sont importante. C'est pour ça, que vous êtes enfermé ici ?

- Je preserve ce qu'il reste.

- Dans mon monde l'évolution respecte la nature. Mais, il est vrai que mon père pourrai faire encors plus.

- Ton monde respecte la nature, certe. Mais, pas les gens. L'humanité, est importante dans la survis de ce qu'il reste du monde. Mais vous ne savez pas gerer. Vous ne savez pas vous arrêter. Contemplez, ce que je vous ai offert. Il n'y a rien de plus beau que la vie. C'est ça le bonheur.

- Si j'ai bien compris, c'est aussi vous qui avez façonné le monde ?

- L'Architecte qui a construit Fabia, est donc Dieu lui même ?

- Dieu, L'Architecte, peut importe le nom où l'image que vous me donné. Car, je suis.

- J'ai une question.

- Je t'écoute, Alexandra.

- Pourquoi j'ai été attiré ici ?

- Pour trouver des réponses.

- Je n'ai pas de réponses.

- Quels sont tes questions ?

- Eh bien, au depart je cherchais des réponses sur ce qui était arrivé à Ismaël. Mais, j'ai découvert qu'il était mort. Puis, je me suis découvert des pouvoirs et cette baguette.

Je la sortie de mon bras.

- Elle ne te plait pas ?

- Ce n'ai pas ça. L'école de Fabia cache de nombreux secret et malheureusement il y à un groupe de personne qui voudraient nous enfermer dans la salle des miroirs. Parceque selon eux, nos pouvoirs seraient peut être trop dangereux.