C'est la fin !
- Allons, mes chers amis ! S'agenouiller devant moi est il si difficile ? Toi, Elisa. Ne désirais-tu pas être ma future femme ?
- La femme d'un monstre ? Jamais !
- Tu fais l'air d'être dégouté, mais au fond je sais ce que désir ton âme.
Son regard perçant penetra les yeux de Elisa qui semblait à bout de force.
- Je, je ne peux pas le resister.
Elle tomba a terre, à genoux devant lui. Son ricannement lancinant, résonna dans la pièce. Il était si fière de lui. Puis, me fixant à nouveau il me lança.
- À ton tour maintenant.
Ma tête résonnait, comme un "gong" à l'interieur. Cette impression de perdre mes émotions me rendait déja plus forte. Etait-ce toujours moi ? Cette question ne resta pas longtemps avant que je ne m'avance face à lui. Il esseya de penetrer mon âme, je pû le sentir. Mais, briser le mur que j'avais construit n'était pas chose facil. Il avait fait mine de rester lui même, mais je l'avais vu, il avait perdu son assurance.
À mon tour de penetrer cet esprit mal fesant, à mon tour de prendre le contrôl. J'était certaine d'une chose, il allait passer un mauvais quart d'heure.
Les mains tramblantes, il resistait tant bien que mal. Mais sa force mental n'était rien comparer à la mienne. Il était à ma merci et bientôt il sera plié devant moi.
Son esprit regorgeait de souvenir, et remonter au commencement semblait impossible. Cette chose était là depuis des milliers d'année. Il avait convaincu des hommes, de roi, des femmes a lui être fidèle. Leurs devotions l'a suivis durant des générations, il s'est construit un empire. Un être immortel qui ne fait que érré sur terre.
- Qui est tu ? Fini t-il par dire.
J'était pris par l'hisoire que me contait son esprit pervers. Ses nombreuses victoires, mais aussi ses echecs. Des moments de sa vie qui n'avait finallement pas d'importance pour lui, car il n'accomplissait tout ces mefait que par ennuis. La cupidité, la vangeance des Hommes lui procurait du plaisir. Voilà, ce qu'il était. Un être sans conscience morale, vide de tous sentiments.
D'un seul geste de la tête je lui fît lacher son arme, Kyle se mît sur le côté. Qu'allai-je faire de lui ? Cette simple pensée me hantait. Dans d'autre circonstance je l'aurais enfermé, mais aucune prison ne suffirais pour lui. Puis, l'idée me vînt. J'appela Abou qui en un battement de cil était deja là.
- Existe t-il en endroit où l'enfermer ?
- Les portes du temps l'on laissé filé il y a longtemps.
Cette voix résonnante entra dans la pièce.
- Père.
L'architecte avait fais son grand retour, sous les yeux ebaïs de mes camarades.
Son air decontracté, lui enlevait un peu son serieux. Mais pour les autres je pouvais le sentir, ils le vénéraient.
- Et que pouvons nous faire ?
- Le renvoyer d'où il vient.
- C'est à dire ?
- Dans les lymbes.
Il fît un signe de la tête à Abou. Ce dernier ouvrit une porte. La noirceur de celle-ci était incomparable à aucune chose qui existe sur terre. Elle l'aspira comme un vortex, puis disparu aussi vite qu'elle était apparu.
Les mots me manquaits. Je ne savais si il fallais me rejouir, ou pleurer. Mes sentiments ont souvent tendence à se mélanger, et j'avais du mal à savoir ce qu'il fallait ressentir. Un être ne connaîssant que la solitude, un être qui ne connaît pas l'équilibre des chose, car à lui seul il est le mal.
Je resta là longement, pendnt que les autres ce rejouissaient d'une victoire qui pour moi n'avais aucune raison d'être. Car comment être heureux face à l'anéantissement ?
- La compation est une bonne chose.
- Pourquoi une bonne chose me rend elle si malheureuse ?
- Car dans l'équilibre, les choix que tu fais vont toujours pour le bien de l'un et le malheure de l'autre. C'est une bonne chose pour ceux qui se rejouissent.
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