Colère
de Ayato Yamada
Tout à cause de toi, jamais tu ne m'as aimé, jamais je n'ai voulu que tu sois ma mère, et jamais je n'ai demander à naître, tu ma dis fait plusieurs fois comprendre que tu voulais que je partes, au point de me frapper. C'est bien dommage pour toi que je sois encore mineur et que mon père soit là, pour me retenir de mettre son visage en sang, tu m'as punis de ma liberté, tu m'as punis en me frappant. A cause de toi j'ai été longtemps seule, dans la cour de récréation, à regarder mes camarades, jouer au foot, voire des sourires sur leurs visages. Moi exilé, je rêvais d'être à leur place et t'oublier dire que j'ai une mère qui m'aime, qui ne me frappe pas au point que sa propre enfant saigne et se réfugie dans le fond du jardin, camouflé parmi les arbres morts.
Heureusement qu'il y a mon père qui n'est presque plus présent, souvent partit en déplacement, ou peut être qu'il soit avec une femme qu'il l'aime tel qu'il est, qui ne la juge pas parce qu'elle m’engueule pas son enfant, qu'il ne la frappe pas, mais au contraire essaye de la réconforté.
Depuis des années je suis confronté à tes désir violent, quand je me contrôle de ne pas me réfugier dans ma chambre en frappant tout objet que je trouve sur mon chemin, que tu me prends pour un simple bétail, qui n'a pas besoin d'avoir une mère qu'il l'aime qui ne lui prépare aucun repas, mais au contraire dès que j'avais eu la capacité à avoir la taille suffisante pour dépasser le four et les plaques, je devais me faire à manger, enfin plutôt, Te faire à manger et prendre ce qu'il restait pour ne pas m'affamer.
Je ne t'ai jamais aimé, le premier jour ou j'ai sentis ta main se rapprocher violemment de ma joue droite, je me suis aperçu que même si tu as eu mes deux sœurs avant moi, tu n'as jamais aimé tes enfants et tu les élevée, comme la tienne, c'est ce que tu raconte mais je pense que chaque jour de ta vie tu n'a pas eu de bleu sur le corps, de sang qui coulais jusqu’à tes jambes, que toutes tes blessures que tu as soit disant eu n'ont aucune cicatrice sur ton corps. Et bien moi OUI ! je garde des cicatrice sur le corps mais également sur le cœur, en me disant que je n'aurais jamais de mère qui m'aime, que jamais je n'aurais autant de complicité que je vois en regardant mes amis avec leurs parents, non moi je dois m'enlever de la tête ces rêves que j'ai longtemps espéré, mais cela fait bien des années que je voulais y croire, que certaine nuits des larmes coulais par la douleurs de mes plais mais aussi car tu ne seras jamais ce rêve.
Je veux partir, je ne veux plus te voir, quitte à me ôter la vie je veux que tu sois un terrible cauchemar qui s’efface de ma tête petit à petit que je suis loin de toi.
Une enfant qui n'a pas de maternel qui l'aime.
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