Parfois perdre, c'est gagner.

Cette belle phrase pleine de philosophie me vient d'où je ne l'aurais jamais attendue, un personnage énigmatique qui cultive son mystère (oui, toi, tu sais que c'est toi que je vise ), derrière un masque de cynisme.

Par esprit de contradiction, je vais tenter de démontrer qu'il a tort.

Pour contrer cette affirmation, je me replongerai dans les belles années où j'étudiais les maths, en utilisant la méthode du contre-exemple.

Dans quel cas serait-ce donc faux ?

- quand on perd son sang-froid...

- quand on perd la tête...

- quand on perd son temps...

- quand on perd son argent...

- quand on se perd soi-même...

- quand on perd son âme...

- quand on perd le contact...

- quand on perd l'amour...

- quand on perd le Nord

...

J'ai évoqué l'essentiel mais, en bref, perdre, c'est toujours perdre, et moi, je n'aime pas perdre. Ou alors donne-moi un exemple du contraire.

( en fait j'ai trouvé moi-même un contre-exemple, mais par mauvais esprit, je ne me saborderai pas)