Dans ses yeux...
À force de s'éloigner on finit par se perdre ! Avec les mots : INSTANT et ÉTRANGER.
Dans ses yeux il y avait un sourire
Couleur améthyste, qu’elle y dessinait,
Son regard à cet instant se muait
En fêtes et promesses d’avenir
Dans ses yeux…
Moi, je me noyais dans ses lagons bleus
Que nulle tempête n’assombrissait
Et chaque fois, elle m’y repêchait
Si divine que je m'y voyais Dieu
Dans ses yeux…
Elle disparut, jamais ne revint
Je l’ai cherchée longtemps et dans mes rêves
Cette quête tout doucement s’achève
Depuis l’étranger mon cœur saigne moins
Loin de ses yeux…
Un bref instant j’ai cru la reconnaître
Singulière au milieu des passants
Les souvenirs affluent, torrent violent
Et d’un coup, le passé vient renaître
Dans mes yeux…
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J'ai commencé par le texte qui suit (que je n'ai pas terminé) avec l'envie de rire et faire sourire, tout en buvant un café sur une terrasse, une femme s'est assise à une table en face de la mienne, plutôt jolie (la femme, pas la table). Je l'ai regardée, avec insistance, je le reconnais. J'ai cru déceler un sourire dans ses yeux qui étaient bleu-azur, une amie est venue s'asseoir à ma table rompant le charme. Ce soir j'ai donc rédigé le texte ci-dessus, plus classique mais beaucoup moins humoristique.
Pierre Corneille —Un instant étranger ! Connais-tu bien Don Diègue ?
Pierre Vassiliu — Qui c’est ce gars ? L’a un’ drôl’ de têt’ ce mec là !
Johnny Halliday — Quoi ma gueule ! Mais qu’est-ce qu’elle a ma gueule ?
Gérald de Palmas— Il faut qu’on s’ batte, il faut qu’on s’ veng’ à grand coup d’ latte
Semaine 44
JI 26/07/19
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