Promenade en forêt - Version 50 Shades

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Le jour est arrivé. Nous en avons tant parlé, avant de sauter le pas et décider de nous rencontrer. Des heures de palabres, de discussions, de découvertes. Nous nous sommes apprivoisés par les mots, il est temps maintenant de nous retrouver.

Nous avons bien préparé cette sortie. Je connais tes attentes et tes limites, tout comme tu connais les miennes. Notre scénario est bien ficelé, pour qu'il n'y ait aucune possibilité que nous soyons mal à l'aise.

Je pars donc de chez moi, je ferme la porte, avec une petite appréhension, une boule dans la gorge, comme un adolescent qui se rend à son premier rendez-vous amoureux. Mais aujourd'hui, quel rendez-vous ! Il sera fabuleux.

J'arrive à pied dans le parc du château, et je me rends vers la statue du joueur de flûte, celle que nous avons choisi comme point de rendez-vous. Tu es à l'heure, comme promis. malgré mon avance de quelques minutes, tu es déjà présente, prête et pimpante.

Nous ne disons pas un mot et parcourons le chemin. Je suis devant, tu me suis juste derrière moi. Je prends mon temps, parfois accélère, puis stop, pour vérifier si tu te rapproches de moi. Mais tu maintiens la distance, fidèlement, regardant tes pieds, les yeux baissés. Tu masques un sourire, mais je peux le lire dans tes yeux, ce jeu de plaît.

Nous suivons le parcours sportif, et arrivons à la première station, en lisière du bois. Je m'arrête, et je te regarde. Tu sais exactement ce que tu as à faire, et sans mot dire commence ta tâche. Tout d'abord, tu retires ta robe, et la plie correctement pour ne pas la froisser en la rangeant dans ton sac. Je peux alors admirer ton corps, épilé de frais, entièrement nu.

Comme convenu, tu portes bien tes pinces à téton, qui sont bien érigés. Tu te penches en avant pour fouiller dans ta musette, ce qui me permet de noter que tu portes bien ton plug rose en forme de coeur, celui dont tu m'avais parlé. De ton cabas, tu retires l'un des cadeaux que je t'avais fait livrer pour l'occasion, cette superbe queue de fourrure, qui remplacera magnifiquement le joyau anal que tu portes. Tu le retires donc pour le remplacer par ce nouveau jouer. Le poids te surprend mais ne semble pas te déplaire, à la moiteur que je perçois entre tes lèvres.

Tu cherches à nouveau dans ton sac, pour y trouver le collier de cuir que tu as également reçu, pour le passer autour de ton cou gracile. Vient ensuite la laisse, que tu accroches à son anneau avant de me donner la poignée, avant de te mettre à genoux, les mains avec la paume vers le haut, en position d'attente.

Ainsi donc tu me fais cet honneur aujourd'hui, pour quelques heures, de m'être soumise. Un privilège dont j'espère être digne, mériter ta confiance que tu me confies en cet instant. Je pose mon doigt sous ton menton pour le soulever et observer tes yeux. Oui, tes yeux sourient, tu es heureuse d'être là, avec moi. Un peu anxieuse, que se passerait-il si nous rencontrons une personne ? Eh bien, nous verrons.

Avant de partir à l'aventure, je te demande si tu te souviens de notre code secret, celui qui nous permettra de tout arrêter si tu le souhaite, dès l'instant où tu le prononceras. Oui, tu le connais, tu ne l'as pas oublié, nous pouvons donc démarrer.

Pour l'instant, je te permets de marcher debout, le chemin étant glissant et boueux. Le moment venu, nous pourrons revenir sur cette décision, mais je veux te garder belle pour ce premier jour, cette première fois.

En remontant le chemin, je prends une branche de noisetier, bien droite, flexible, et commence à en enlever les feuilles. Tu me regarde du coin de l'oeil, en espérant que je ne te vois pas, te demandant ce que je vais en faire. Mais tu le sais déjà, cela fait partie de notre petit scénario.

Avec cette branche, je commence à frotter tes fesses pendant que tu marches. Puis un petit coup. Tu sursautes, surprise par le son et la délicatesse de cette caresse. Ce n'était pas le coup que tu attendais, tu es étonnée. Je veux juste faire monter les sensations, en mettant à chaque fois une infime force supplémentaire. Petit à petit, tes fesses deviennent rouges, et tu apprécies de plus en plus cette caresse, remuant les fesses quand j'attends trop longtemps pour le coup suivant.

En haut du chemin, nous arrivons au totem indien. Il y a à cet endroit une grande pelouse. Immédiatement, tu te mets à quatre pattes pour que je te promène dans l'herbe haute. D'ailleurs tu sens les pissenlits frotter contre ton ventre, contre tes seins, faisant pointer un peu plus tes tétons serrés dans leurs pinces. De mon côté, j'aperçois ta queue qui balance de gauche à droite en suivant le rythme de ta marche. Je vois également tes cuisses luisantes de cyprine, témoin de ton émoi du moment.

Nous arrivons maintenant à la station suivante, l'échelle suspendue. Tu sais encore une fois très bien ce qu'il va se passer. Je prends deux buches qui te serviront de marchepied pour que tu puisses attraper une barre dans chaque main. Je vais ainsi pouvoir t'attacher et te suspendre avec la corde de coton que je sors de mon sac.

Une fois bien saucissonnée, ayant vérifié que tu ne risques pas d'être blessée, je retire les deux marchepieds, et te voici suspendue, les jambes écartées, ton intimité bien visible. Je vais pouvoir jouer avec ton corps, en commençant par le caresser. D'abord ton dos, puis ton ventre. Laisser mes doigts parcourir le côté de tes seins pour voir les frissons te parcourir. Puis faire glisser ma main dans ton intimité, masser ce bouton érigé, en attente d'attention. Je vais ainsi faire monter ton désir de plus en plus haut, de plus en plus fort. Puis je plonge un premier doigt, un deuxième pour te masser le fourreau dégoulinant de plaisir.

Tu gémis de plus en plus fort, tu as oublié d'être discrète, et j'aime ça. Je te sens qui t'abandonne sous mes caresses, tu ne sais pas combien tu me rends fier en cet instant. Mais je ne veux pas te faire venir trop vite. Au moment où je sens que tu vas jouir, je retire mes doigts et arrête toute caresse. Tu me regardes, suppliante, voulant à tout prix atteindre ce summum, frustrée de ne pas avoir atteint le sommet.

Je reprend alors ma badine pour en caresser ton corps, puis recommencer à flatter ce superbe cul, ces belles fesses galbées. Puis quelques effleurements sur ton ventre avant de venir chatouiller de nouveau ton clitoris. Ces caresses sont nouvelles pour toi, tu me l'avais confié, mais tu avais envie d'essayer, le moment est venu. Au début, tu sers un peu les dents, puis je vois tes yeux partir en arrière. Tu es à point, et je veux te sentir venir fort, aussi fort que jamais tu ne l'as vécu dans ta vue, alors je me place entre tes jambes pour aller déguster ce miel coulant de ta corne d'abondance, fouillant de mes doigts, titillant ton plug. Tu me hurles ton bonheur, de plus en plus fort, gigotant dans tes cordes pour pouvoir tendre tes jambes, ce que je t'ai empêché de faire avec ces noeuds, intentionnellement, pour que tu puisses ressentir cette montée, cette vague destructrice arriver et t'emporter loin, si loin de moi.

Soudain, tu te relâches, vaincue. Je te prends dans mes bras, détache les cordes, pour t'allonger sur une couverture dans l'herbe fraîche, à l'ombre d'un grand chêne. Tu me regardes dans les yeux, revenant de ce pays lointain que tu as adoré visiter. Je pose alors sur tes lèvres notre premier baiser, que tu renouvelle en entourant mon cou de tes bras. Mais il nous reste un dernier acte à jouer et tu le sais.

Nous nous rendons maintenant à la station suivante. Tu fais la fière en voulant marcher par toi-même, mais les cordes ont engourdi tes jambes, et je te soutiens sans te le montrer pour que tu gardes dans les yeux cette fierté d'avoir réussi ce moment.

Nous arrivons à la station du saut de haie. Ce moment est le tien, tu vas enfin pouvoir découvrir mon corps. Tu commences par déboucler ma ceinture, retirer le bouton de mon pantalon pour découvrir ce membre qui te fait envie depuis longtemps. Je t'ai fait la surprise de ne pas porter de boxer, ce que tu sembles apprécier. Après tous, je te dois bien aussi de partager avec toi certains plaisirs.

Tu commences alors ton devoir, massant ces chairs, les parcourant du bout des lèvres, faisant dresser ce mat. Tu me regardes dans les yeux pour savoir si ce que tu fais me plaît, et tu y vois que tu remplis parfaitement ta tâche. Il est temps maintenant de passer à l'acte final. Tu te retires, va prendre une des haies en main pour te positionner, debout les jambes droites, les fesses offertes.

Je prends une corde pour attacher ton buste sur la barre transversale, ainsi que tes mains, comme sur un pilori improvisé. Je caresse ton dos du bout de mes doigts. Arrivant derrière toi, je soulève cette superbe queue pour la placer sur ton dos, me donnant accès à ton antre, que je pénètre d'un coup sec, te faisant émettre une plainte de plaisir non dissimulé. Je vais alors prendre le temps de me faire plaisir avec ton corps.

Sentant le moment ultime arriver, j'attrape ta laisse pour redresser ta tête et te faire te cambrer autant que possible. Dans cette position, mon vit peut parcourir toute la surface de ta cavité, te caresser de l'intérieur. Je te sens trembler, tes jambes vibrantes, prêtes à lâcher, pendant que ton fourreau m'enserre de plus en plus fort. Finalement, tes contractions et ta jouissance auront raison de ma résistance mentale et physique, je me laisse me répandre en toi.

Une nouvelle fois, je te détache pour t'allonger sur la couverture, me mettant tout contre toi, te remerciant de ce superbe moment en murmurant plein de mots doux dans le creux de ton oreille. Je prends soin de toi, passant de la pommade sur tes fesses rougies, m'assurant que tu as autant apprécié ce moment que moi.

Le moment est fini, je te remets ta robe pour que tu puisses te réchauffer, détache ta laisse, et commence à déboucler ton collier. Mais d'un geste doux, tu m'empêches de te l'ôter. Tu souhaites le garder encore un peu. C'est pour moi le plus beau compliment que tu pouvais me faire, et je t'embrasse tendrement pour te remercier, avant de te porter jusque chez toi.

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