(04) A1 Ep4 - Les rumeurs d'Haruna
L'allée dans laquelle déambulaient d'innombrables passants était remplis de marchands de toutes parts. Une sorte de jour perpétuel était présent sous la lueur de toutes les lumières éparpillées, on ne pouvait dire si il faisait nuit. Capy qui notait la localisation des marchands ne savaient où donné de la tête, les jumeaux durent s'arrêté plusieurs fois sur le coté du chemins pour admiré les si nombreuses étales sous leur yeux.
Les chemins qu'ils empreintaient ne semblait jamais s'arrêter, et lorsqu'ils atteignaient un mur pour y signé la fin d'un de ces longs couloirs, on pouvait y voir de nombreux autres, encore visibles sur le côté.
"On a actuellement parcouru... près de sept allées... et j'ai l'impression que c'est loin d'être fini. Dit Capy tout en fouillant dans ses notes.
- On s'arrête là, c'est exténuant d'avoir autant d'info et de personnes à gérer, ça va que les fins d'allées sont toujours au calme."
Le ventre gargouillant d'Ennebelle fit se lancer un regard compréhensif aux enfants.
- On trouve à mangé et on se pose pour aujourd'hui.
- Va pour ça," rigola sa sœur d'un air gênée.
De là où ils étaient, on pouvait apercevoir un petit comptoir en hauteur,quelques allées plus loin, on ne pouvait cependant pas apercevoir le chef ni sa nourriture mais une odeur alléchantes attira nos deux loups.
Ils firent glissé le traîneau jusqu'au mur proche du restaurant et montèrent à l'échelle qui permettait d'atteindre l'étage auquel il était perché.
"C'est quand même surprenant ces échoppes et plus qui sont sur plusieurs étages qui ne semblent guère stable. Fit Capy en s'installant sur la chaise la plus au bords.
- Et pourtant je t'assure qu'elles le sont, gloussa la femme devant eux.
- On aimerait de quoi se nourrir avec ça ! Ennebelle sorti 3 pièces et les posa sur le comptoir.
La femme les pris, vérifia l'état et l'authenticité des pièces, et regarda fixement la jeune fille sans dire un mot, puis les serva avec les plats qu'elle préparait. Elle servit d'ailleurs une troisième assiette et s'installa avec eux pour mangé.
"Vous sentez comme elle vous savez...
- Excusez-nous, de qui parle-t-on ?
- Oh vous n'êtes pas d'ici alors..! Une sorcière plutôt connue d'ici est officiellement disparu ce mois ci. Même si... on sait tous qu'elle s'est éteinte.. Cela m'attriste, changeons de sujet les enfants !
- Je peux vous demander ce que vous êtes ? Et puis comment est la vie ici ? Capy agita son crayon pour montrer qu'il voulait écrire.
- Eh bien, pour ce que je suis, je ne peux en parler qu'en partie ! Mais disons que j'ai fait un pacte des ombres avant d'arriver ici ! Et l'allure humaine ne te convient pas dis donc !
- Oh si si excusez-moi ! Rigola-t-il
- Et pour ce qui est de la vie ici... J'y trouve mon compte. Haruna est loin d'être un paradis mais on s'y habitue et la cité est plutôt bien réglementé même si ça ne se remarque pas vraiment, on en a rarement mais il est déjà arrivé que les dirigeants fasse des discours !
- La cité est contrôlée donc...
- Tu n'as pas vu le blason à l'entrée ?
- Si, j'y ai même déposé une pièce.
- Ah très bien, attend, une seule pièce ?
- Euh oui.. Pourquoi aurait-il fallu qu'on en donne plusieurs..?
La dame se pencha pour se rapprocher de l'oreille de Capy et se mit à chuchoté.
"Lorsque vous aurez des ennuis, si on vous attrape, pense bien à donné deux pièces pour ta sœur. Et proclame ton droit de discours ainsi que le patron.
Penses y quand vous serez dans le pétrin," gloussa-t-elle rapidement en r'attaquant son assiette.
Le frère se demanda si Ennebelle avait fait attention à ce qu'il s'était passé juste avant et se rendis compte qu'elle s'était endormi après avoir fini son assiette. Il resta au comptoir avec l'autorisation de la maîtresse des lieux et observa les alentours qui paraissaient paisible à cette heure.
Un calme qui lui permis de se détendre correctement et il remis la tête dans ses carnets pour faire le point avec ce qu'il y avait noté.
La femme du comptoir tapota l'épaule de la jeune fille qui manquait de tombé et elle se réveilla sans trop de contraintes, le temps que ses yeux s'écarquillèrent elle remarqua la présence d'un petit rongeur en train de fouillé le chargement du traîneau et s'empressa d'aller voir ce qu'il se passait. Le rongeur qui se fit interpellé commença à prendre ce qu'il pouvait et couru aussi vite qu'il pu, les deux loups s'affolèrent de cette situation nouvelle et poursuivirent le rongeur qui prit un tournant et les jeunes ne pouvant suivre à la vitesse à laquelle ils couraient durent glissé sur le côté mais continuèrent de courir pour rattraper le voleur, ce fuyard continua dans une allée vide de passants et les enfants ne cessèrent de le poursuivre, en ligne droite, sans obstacles, Ennebelle pu l'attraper mais fit des roulé boulets et percuta les vases d'un marchand. Les deux bêtes en train de se battre beaucoup trop proches des étales percutèrent d'autres objets tels que des sculptures. Capy était désemparé par la situation et ne su quoi faire jusqu'à qu'il se fit plaqué contre le mur du fond, il en était de même pour ses deux compagnons. Ils se firent fouillés pendant qu'ils étaient écrasés contre le mur, sans pouvoir voir qui les gardés ainsi.
"Pas d'armes apparente sur lui.
- Sur elle non plus.
- Lui par contre il a de belles dagues maudites. Rigola une imposante panthère noire.
- C'est ce qu'il m'a volé ! Pesta Ennebelle encore coincé contre le mur.
- Et tu peux expliquer la destruction des biens de ses gens aussi ?" Demanda sèchement la panthère qui la retenait.
Capy, qui, ne savant pas comment réagir, se rappella de ce que lui avait mentionné la dame du restaurant. Il pris son courage à deux mains et tendis deux pièces devant sa sœur.
"Je demande notre droit de discours. Il hésita quelques secondes puis repris. Je demande aussi le patr..."
Il n'eut le temps de finir sa phrase qu'un renard se tenait devant lui souriant pleinement face à l'enfant.
"Qui t'as appris ça petit ? Et puis tu infestes, ils sont intéressants je les garde. Finissez aussi le rat lorsqu'il aura tout rendu.
- Bien monsieur Max-Ja...
- Oui oui, allez faire votre travail vous faites peur aux gosses.
- Nous y allons.
Le renard tendis les lames sacrificielles à Ennebelle qui les pris avec hésitation
- Ne t'inquiètes pas ! Je ne vais rien te faire !"
Il avait beau tenir de telle parole, son sourire permanent ne faisait qu'inquiété les enfants.
"Il te reste combien sur toi petit ?
- Une quinzaine de pièces..
- Va dédommagé ces gens, ils n'attendent que ça."
Capy alla remboursé les dommages causés puis r'alla vers le renard qui les mena vers ce qui ressemblait d'apparence à une taverne, des tables y étaient installés, quelques groupes occupaient chacunes d'elles, ils étaient généralement séparés par races hormis quelques uns.
Le goupil installa les enfants aux comptoir situé au milieu, au fond de la salle. On n'y comprenais rien à ce que les autres pouvaient dire tellement les sons venaient de partout.
Il les servi, un verre d'eau semblerait-il, et commença à fêté leur arrivée.
"Au fait ! On m'appelle Kuadz haha"
Il avait l'air prit dans l'euphorie de la salle.
Et dansait, une choppe à la main
Kuad's tourna sur lui même en criant et en éclatant d'un rire des plus singuliers mais sincère.
"BIENVENUE À LA CITÉ DES EMMERDES LES JEUNES !"
Ce qui semblait être deux ours polaires posé dans un coin à l'écart des autres mais près du comptoir, le fusillèrent d'un regard meurtrier en serrant leur choppe.
"À la cité des ennuis-" rectifia le renard en baissons d'un ton quelque peu terrifié par la situation.
"Kuadz ! Joins les à nous plutôt que de leur faire peur sur notre dos !" dit amicalement l'une des ourse qui avait lancé ce terrifiant regard.
"Matania... rigola-t-il nerveusement, vous vous présentez vous-même ou..?
- Laisse faire et gère tes clients, dit le second ours.
- Vous allez nous tué ? Demandé Ennebelle inquiété par les réactions de Kuad's qui semblait pourtant être le maître des lieux.
- Mais bien sûr que non ! Qu'à-t-il encore pu dire à notre sujet... s'interroga l'ourse
- Il n'a encore rien dit mais comprenez-nous, on le voit euphorique depuis le début et c'est la première fois que je vois une telle descente émotionnelle d'un type aussi joyeux...
Qui plus est on ne sait rien de vous hormis votre dominance ici.
- Vous êtes bien les enfants de la sorcière, déclaré morte récemment... Elle ne perd pas de sa réputation, vous êtes bien élevé dites moi. Interrompus l'ourse.
- Excusez-moi moi mais on nous parle de notre mère qui serait une sorcière et elle serait réellement morte ?
- Bon. Je vais faire simple. Si tu ne me crois pas peut-être croiras-tu la majorité. L'ours se leva, alla devant le comptoir et fit quelques signes pour interrompre le brouhaha actuel de la salle. Les signes n'aillant pas l'air de fonctionner sur une dernière table qui continua de parlé aussi fort qu'au départ. L'ours ne perdit pas de temps et pris la choppe d'un lézard et la balança sur l'homme qui tomba au sol quelques secondes après l'impact de la choppe dans son crâne.
Le silence régna à l'exception de Kuad's qui se lamentait de la dégradation de son matériel, désespéré par la situation mais ne critiqua pas l'acte non plus.
"Bien. Maintenant que vous m'écoutez tous, on va pouvoir parlé. Les jeunes gens là bas cherchent la dame Legendz.
- La sorcière est morte ! Hua un groupe d'humains.
- Elle nous a abandonné ! Fit un nain qui avait l'air d'avoir trop bu.
La plupart des gens de cette pièce hurlait les mêmes choses à la manière de dire près.
Capy et Ennebelle furent choqués, en premier lieu par les propos mais aussi que tant de gens connaissent leur mère. Qui était-elle aux yeux des autres ? Qu'avaient-ils manqué dans la vie de leur mère pour en découvrir une si grosse partie seulement après sa disparition ?
Après tant de questions sur ce qu'ils avaient manqués, ils commencèrent à avoir des vertiges ainsi que des particules noires qui s'affichèrent dans leur visions jusqu'à ne plus rien y voir. Ils tombèrent ensuite au sol, inconscients.
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