Cette étude, bien que courte, nous éclaire sur la dangerosité du pet. Il nous faut soit l'éradiquer, soit le maîtriser.
L'éradiquer suppose beaucoup de travail dont une alimentation rigoureusement contrôlée mais qui entraîne d'énormes contraintes. On entend déjà la Guilde du Saucisson Sec d'Auvergne monter au créneau alors que les producteurs de bières assiègent déjà l'Élysée. Non, c'est définitivement trop difficile à mettre en place.
Maîtriser le pet serait plus abordable à condition de commencer, dès le plus jeune âge, une flatulo-éducation digne de ce nom avec, on s'en doute, des spécialités : Certification à la reconnaissance auditive du pet local et exotique*, 2 années obligatoire en synchronisation du sphincter. BAC gastro-olfactif classique. Hautes Études consacrées à la mécanique du pet et son implication quantique... Bref. De nombreuses pistes s'offrent à nous.
Le L.S.I. espère que les générations futures saisiront l'opportunité pour faire évoluer les choses et peut-être que, souhaitons-le, cette enquête servira de base à leur réflexion.

Au plaisir.

* Par exemple, le pet argentin ne siffle pas comme le pet Norvégien beaucoup plus court. Le pet Aborigène diffère d'un demi-ton seulement de celui des mayas yucatèques et enfin, certains hommes des hautes castes indo-népalaises péteraient en infrason ce qui leur faciliterait la communication avec l'éléphant.