Les Voix Incomprises
Ch. 1 part 1 :
L'ombre d'une jeunesse
C'est l'histoire de Jean, un jeune d'une vingtaine d'année actuellement. Il vivait dans un immeuble de 7 étages sans ascenseur, dont la construction était prévue vers ses 20 ans. Il vivait avec ses parents au 4eme étage. C'est long à monter, surtout avec des sacs ou justes son sac d'école. Il a une relation avec ses parents pas courante. Ils ne s’inquiètent jamais pour lui, ce qui le blesse profondément. il ne se sent pas en sécurité. Ils le laissent faire tous ce qu'il veut, pour ses parents c'était une éducation pour qu'il se sente libre et éviter les conflits. Leur "éducation" « c'était surtout pour se débarrasser de moi pense souvent Jean. Il est en recherche d’identité, de bonheur, de joie de vivre chaque jours et monotone tous et exactement comme hier sa l’ennui. Une anxiété sociale s’installes ce qui lui pourri la vie. Il vit en enfer dans ce monde si beau et cruel à la fois. Mais son anxiété sociale n’a pas toujours été là comme son mal être qui n'était pas à ce niveau au début. Des suites d’évènement l’ont créé comme ça à créer des regrets. des penser forte mais dangereuse pour lui-même. C'est regret qu'il ne pourra jamais arrêter.
Ch. 1 part 2 :
La fin commence dès le début.
Quand il était plus jeune vers 10 à 15 ans il "s’amusait"
à embêter 2 filles avec son "groupe d’ami ».
Mélodie la plus petite n’est pas la plus courageuse de première vue elle est toujours discrète elle ne sourit pas, elle était seul toute sa première année d’harcèlement. Elle avait facilement froid pense Jean, elle porte toujours des gros pulls avec de longue manche, le pull est visiblement trop grand pour elle. Sa faisait rigoler Jean qui ne comprenait pas son style vestimentaire, il comprit des années plus tard. Sa seule amie est arrivée après 1 ans d’harcèlement. Elle a déménagé par cause d’une autre histoire d’harcèlement, mais pour Mélodie s’est incroyable qu’elle soit arrivée dans son école ils ont tous de suite sympathiser. Mélodie ses moqueries s’était « elle est bizarre. Je ne voudrais pas être son amie ». Mais s’était pas ces harceleurs, juste les autres de sa classe. Mélodie est presque totalement muette par cause de son anxiété envers les autres. Jean rigolait beaucoup de ça se qui empirait son état. dès qu'ils ont vue qu'elles étaient amies ils ont embêter l'amie de Mélodie qui venait de changer d'école. Les principales moqueries de son amie c'étaient des blagues sur le physique. « Faites attention elle peut vous mangez, » dit-il à ses amis avec un air moqueur, mais sans méchanceté, juste pour rire. Ses amis qui rigolent derrière lui sans la protéger pourtant c’était en classe. ils étaient encore jeunes c’était le début de leur enfer, il a 11 ans. Elle maigrissait beaucoup trop pour son âge mais même en maigrissant, elle continuait à être moquées. C’était comme si, quoi qu’elle fasse, elle restait une cible, prisonnière de l’effet de masse. Elle s’appelait Thanis un nom Grecque, c’est la plus grande et la plus attachante par sa bienveillance. Les parents de cette fille ne l’aimaient pas en tous cas il avait l'impression. Quand il a été invité à son anniversaire ils-étaient très froid avec elle, Jean voyait que sa la blessait mais elle essaye sourire malgré tout ça. Elle se prenait des regards de mépris par ces parents, ça le fessait rigoler avec ses amis, il ne comprenait pas l'acte. C'était vers ces 12 ans. Plus le temps passe plus les moqueries augmente en intensité. Se faire pousser dans les couloirs vers 13 ans c’était aussi sur les écrans. Jean a réussi à se faire inviter par la fille qu’il embête, elle n’a pas pu dire non-cause de sa bienveillance. Mais malgré tout ça elle souriait tout le temps elle avait l’air heureuse alors il continua. Comparé à son ami qui avais toujours l’aire dépité. Mais il continua quand même il se sentais fort comparé à sa vie actuelle qui l’intoxiquait. Le mal-être de Jean augmentait ce qui augmenta aussi la violence du harcèlement. Thanis réconfortait souvent Mélodie, lui disant que ça va s'arrêter. Elle s'inquiétait sincèrement pour Thanis qui ne pensait pas à elle qui ne fessait pas attention à elle-même. le profil type des personnes trop bienveillante mais qui se font avoir.
La bienveillance de Thanis perturbait grandement Jean, malgré la méchanceté qui étais devenu habituelle avec les années. Un jour ils sont eus une discussion Jean le lui a demandé « pourquoi tu nous m’invite quand même malgré qu’on ne soit pas tes amis » dit-il avec un sourire moqueur. « Parce que vous êtes les seules personnes à demander avec Mélodie je ne vous en veux pas. » Jean était surpris par la réponse mais il savait qu’il la blessait elle fait un sourire qui sonne faux. Mais le lendemain il continua. Ils ont 13 ans. Elle disait tout le temps que son rêve s’était d’avoir un métier ou elle sauve des gens. Être infirmière, mais ses notes baisse énormément elle n’arrive pas à se concentrer. Jean ligua tout le monde contre eux les profs de voilait pas tout ça. Personne ne les a aidés Thanis qui se fait harceler dans sa nouvelle école même si elle avait justement changé d’école à cause de ça auparavant. Le cyberharcèlement devient une habitude comme à l’école. Ces parents ne s’intéressent pas à elle, Thanis leurs avait dit qu’elle était encore harcelée son père lui a dit « tu pas foutu de te défendre toute seul tu as déjà changé d’école que veut tu de plus ». Elle tomba dans le désespoir le plus totale ne voulant presque plus se lever le matin rester seul, dans son monde. Mélodie essaya de l’aider mais n’y arrivait pas son harcèlement étais moins sévère. Mélodie réagissait moins que son ami. Thanis était plus fragile malgré son sourire Constans. Ce qui fessait aussi désespérer Mélodie voir sa seule amie tomber en enfers sans pouvoirs l’aider.
Ch. 1 Part. 3
Les dessins macabres
Comme tous les soirs dans sa chambre silencieuse, Mélodie est perdue dans des mauvaises pensés qui remplisse la chambre déjà peu éclairée ce qui la rends maintenant totalement sombre. Elle hésitait elle sait que c’est mauvais que ce n’est pas la solution elle se disait qu’il fallait arrêter mais son corps ne voulait pas. Elle se sent si bien à ses moments-là un sentiment de liberté temporaire mais si rare la durée d’une seconde. Elle prit se stylo elle dessinait des traits elle se sentais libre. Elle contrôlait tous comparer à la tristesse de Thanis, elle n’arrivait pas à l’aider elle se sent très mal à cause de ça. Elle peut en parler à personne ces parents ne sont jamais là elle est tout le temps toute seul. Mais viennent les regrets de son acte, une honte grandissant avec ses marques, ses dessins, son art dont elle avait si honte. Mais c’était si important pour elle, c’est comme si la douleur partait un moment, la douleur physique est plus simple à gérer que la douleur mentale qui étais incessante.
Le lendemain elle prit un pull avec de longue manche comme tous les jours.
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