L'affaire à exploser par cause d'un procès contre Jean commencé par les parents de Thanis pas par amour mais pour l'argent. Jean le gagna avec une accusation principale la personnalité de ses parents. Il gagna le procès mais ne gagna pas son bonheur. Tout le monde en parlait une vague d’haine, de cyberharcèlement extrême à poursuivit. Une partie c'étaient par pur plaisir d'insulter, de blesser. L'autre parti c'étaient une "justice" parce que la police ne savait pas faire leur travail. Ont tous cas c'est ce qu'il dise. Même ces parents se font violement harceler. Ça va jusqu’à leur travail leur voiture volé, brûler. Ils ont dû déménager, son père a perdu son travail à cause des événements actuels, il commença à boire. Jean n’utilise que peu son téléphone trop marqué par tous ces événements. Des pensés noir émergent de son esprit le plongeons dans l'isolement totale. Sa vie l’intoxiquait la pression social le désespoir, l'isolement, les regrets, cette rage violente contre lui-même. Ce qui le poussait à commettre des erreurs, il dessina toute son âme. Par ces dessins sort la douleur, la noirceur de ses penser mais c'est temporaire elle revenait inévitablement. Mais ses dessins restaient, les traits de stylo sont indélébiles.

Mélodie savait mieux que Jean que c'était temporaire pourtant elle continua elle aussi.

la relation de Jean avec ses parents est très perturbante, il ne les connait pas comme eux ne le connait pas. L'ambiance de la maison est très lourde et oppressante.

Ch. 4 Part. 2

Les liens instables

Sa mère essaie de détendre l’atmosphère mais elle n’y arrive pas elle est très touchée par tous c’est événement elle veut reconstruire cette famille mais elle sait que c’est impossible. Jean est très distant avec elle mais surtout avec son père. Il ne peut toujours pas aller à l'école à cause du harcèlement qui se prend à chaque fois qu'on le reconnait.

Il est en échec scolaire depuis toujours mais actuellement c'est critique, sa moyenne pour les évaluations qu’il a fait est de 3 sur 20.

Il se sent mal « Pourquoi des gens ne travaille pas est ont des 20, moi je n’arrive à travailler je ne peux pas me concentrer même quand j’arrive ça ne dépasse pas 10. » Sa mère voulait jouer au Monopoli pour créer des liens avec lui. Elle l’appela elle lui dit d’une voix enfantine et hésitante tu veux… veut-tu jo… « Ferme-là ta jamais été là pourquoi tu viens maintenant quand c’est trop tard ! »

hurle-t-il avant de repartir vers sa chambre. Sa mère ne savait pas quoi répondre, elle regrettait de ne pas avoir été là quand il le fallait ces regrets la submerge.

Jean, épuisé, sans repères, se laissa tomber sur son lit. Le poids de ses pensées le noyait. Il avait une rage constante non pas contre elle, mais contre tout ce qu'il portait en lui. Il s’est défoulé sur la première personne venue. Mais au fond, il savait que ce n’était pas elle qu’il rejetait. C’était ce vide en lui. Son reflet lui est horrible sa lui tends le cœur il voit sa chute, il voit son monde se détruire un peu plus à chaque regard.

Un jour, après de longues hésitations, il regarda son téléphone, là où se cachaient tous ces "justiciers ».

Il se rappela pourquoi il n’avait plus toucher son téléphone Depuis plusieurs semaines. Il lisait toutes les insultes « T’es qu’un fardeau pour ceux qui t’entourent, tu crois vraiment qu’on veut t’aider ? T’as rien à offrir à personne. » « Des gens comme toi me font pitié va en enfers. » « t’as tellement pas de personnalité que t’ai obligé d’harceler des personnes qui ne t’ont rien fait ! »

« Tu mérite de crèver pour sa » Des insultes comme ça, par milliers, Jean se dit « Je devrais peut-être les écouter.