Ma mère na pas le temps de faire quoi ce soit,que je suis déjà dans ses bras en larme, ne pouvant refouler ma peine d'enfants, J'avais 8 ans .

《 maman pourquoi les autres sont méchant avec moi et se moque toujours de ma taille 》 dis-je en larme

《 tu verra mon bébé quand tu sera plus grande que finalement être de petite taille n'ai pas un défaut fait moi confiance 》 dit-elle en passant sa main dans mon dos en me carréssant d'un geste doux et hypnotisant .

Je ne pouvait pas répliquer j'étais une enfant et elle une adulte et les adultes ont souvent la réponse a mon chagrin de petite fille

.......

Quelque année plus tard

Le mec que je me suis fait cette nuit viens de quitter mon appartement de la douche j'entends la porte claquée.

Attendant devant le grand miroir deux main appuyé sur mon grand lavabo je me penche légèrement car il est légèrement trop bas ,puis regarde mon reflet en détail et un souvenir me revient en tête, quand je voie a qu'elle point la vie ma changer .

Je me rappelle de se qu'elle ma dit la fois je fut plus triste que les autre fois

_ ma chérie ce n'est rien laisse-les parler ce n'est pas de ta faute si tu es petit c'est la nature et tu ne peux rien changer contre ça et tu verras quand tu seras plus grande qu'une petite taille à ses avantages.

Mais même au debut de mon adolescence j'ai pas évolué sur ma petite taille ,beaucoup de jeunes de mon âge mon fait des blagues à ce sujet pensant être drôle mais avec le temps ça devenait carrément pesant.

Si elle me voyait maintenant, en y repensant je sourit en me remémorant le visage doux de ma mère.

Et maintenant si elle me voyait, j'ai bien grandi depuis, je mesure 1metre 78, c'est grand pour une femme je vous assure. Le plus drôle c'est que maintenant aussi ont me vanne pour ma taille mais la je m'en fou je suis trop contente d'être aussi grande et j'assume.

Puis je repense a cette nuit et l'homme qui vient de partir avec qui j'ai couché cette nuit. quand je pense qu'a l'adolescence je n'ai jamais eu de petits copains. Je doit dire que Jérôme, john enfin peu importe était sacrément bien gauler et d'une véritable beauté a la fois sauvage et racer a couper le souffle ,j'ai fait une bonne trouvaille hier en allant en boîte avec ma meilleure amie pauline ,j'ai bien fait d'accepter de l'avoir suivie histoire de décompresser de ma journée pourrie un vrai cauchemar.

Il était beau dans ses habits simples et classe, un look soigner dans la simplicité. Ont voyait bien qu'il gagné aisément sa vie au vu du prix de ses fringues parfaitement coupé. C'est cheveux bien coiffer court dans un style sauvage avait une nuances particulière brun au reflet roux foncé, c'était étrange pour un homme, mais sa lui allait à merveille et gentleman, galant avec sa , il avait tout pour plaire,avec ses trait a la fois virile a la mâchoire feroce et harmonieux d'une finesse angélique,un mélange bien réussi au yeux sombre comme la nuit au reflet argenté.

Mais moi je me sent pas a la hauteur, j'ai accepté ses avances même si je suis indigne de ses faveurs. La soirée c'est malgré tout bien passé, c'est un homme intruis et plein de prevenance a mon égard me faisant subtilment comprendre ses intentions. Je m'en fou j'ai besoin de savoir si je peu plaire si un homme pourrait être intéressé par ma personne . A la fin de cette soirée nous avons passé une nuit passage, j'avais juste l'impression qu'il se retenais avec moi ,faisant entrer le doute en moi ,n'etais-je pas assez bien pour lui, se contenter de moi car il n'avait pas trouvé mieux.

Cette pensée me faisant souffrir je la chasse d'un souffle et alla me laver ,aujourd'hui j'avais un entretien avec un pdg d'une grande entreprise dont j'avais enfin un entretien pour une place que je rêve depuis des lustres et c'est enfin arrivé.

Une grande enseigne dans le minde de la publicité et la communication personne n'a jamais le patron qui porte bien son nom 《 caurps & co industrie 》

Jeson caurps ne sait jamais fait prendre en photo, a t-elle point qu'on ne sait même pas a quoi il ressemble, si il est beau ou pas.

Il est 7heure et j'ai rendez-vous a 9heure30 ,je prend pas trop de temps sous la douche, prend min petit déjeuner en peignoir de bain pour éviter de salir mes vêtements, ont est jamais a l'habrit d'une tâche et oui je sais, je suis une maniaque .

Je prends un thé a la menthe verte avec une cuillère de miel d'accaciat je n'arrive pas a manger quoi que se soit. Mon ventre est lourd et ma gorge noué par l'anxiété, par l'entretien qui m'attend de plus je ne sait pas qui va me recevoir entre la drh martine gemenoz, son bras droit john prichard ou lui va savoir et c'est sa qui fait angoissé ne pas savoir a qui j'aurais à faire.

Flanqué de mon tailleur taille 36, se qui n'étais pas le cas avant non plus de couleur gris perle au reflet métallique et mes haut talons assise a l'arrière d'un taxi l'anxiété a son paroxysme me bouffant les entrailles depuis mon réveil, j'évite a plusieurs reprises de les arraché pour finir les doigts en sang,J'ai toujours était comme ca.

Quand nous bouchons sur Parc Avenue, mon chauffeur s'arrête devant une immense tour de verre et d'acier, me balance gentiment la tête légèrement inclinée vers moi avec un sourire jovial

__ madame nous sommes arrivés

Je souffle d'un coup faisant gonfler mon thorax et ébauche un légé sourire en inclinant de la tête ,j'avise le compteur du taximan et voie 50 dollars je suis tend avec beaucoup de difficultés etant dans la limite a ma banque,

《 mon banquier va me tuer 》, mais je ne pouvais pas me rendre à pied avec mes hauts talons je serai arrivé à l'accueil les pieds ensanglanté et la démarche d'un canard il en était hors de question j'avais un minimum de fierté à conserver.

Je paye et me force a rassembler tout mon courage et sort après un dernier coup d'œil au chauffeur qui me salut et rejoint rapidement l'hotesse d'accueil dont l'efficacité n'ai plus a prouver ma laissé coï de stupéfaction.

__ par ici mademoiselle me dit-elle

A un pas derrière elle au début, je détail ,cette blonde splendide ou moi je suis noir .

Eh! je parle de mes cheveux hein.

Elle porte un tailleur jupe cintré de couleur parme qui lui va a ravir avec sa peau doré j'ai eu le temps d'admirer son visage qui même si il ait beau, reflet malheureusement la froideur de l'Antarctique a - 50 degrés,reflettant dans sa démarche dingué au possible c'est vous dire. mais reste professionnel jusqu'au bout en m'accomgnant a mon entretien et quand sa me revient tout mes réflexe d'anxiété reviens au galops.

Et je ne sais pas pourquoi mais l'image de l'homme qui était encore dans mon lit se matin avec qui j'ai passé la nuit me revient et agit comme un baume apaisant sur mon humeur et reviens a moi, quand l'hotesse me rappelle au présent

__ a vous mademoiselle et bonne journée

Me dit-elle avant de quitté les lieux me laissant au pas de la porte cette fois avec une démarche chalouper, qui m'interpelle et comprend vite la raison, quand je voie de la ou je me trouve la présence d'un homme dont la carrure me rappelle quelqu'un.

Mon regard se perds dans cette vu, délaissant celle de la femme de glace et me présente honteuse quand je voie des doigts tapoter un bureau dans une danse précipiter. Étant légèrement en bizis il ne peu me voir, mais sais que je suis la ,Je m'avance doucement contrite et gêner, me poste a l'orer de la d'élimination entre le bureau et le couloir et reste tétanisé quand je voie qui m'attend.

《 non c'est pas possible 》

Dans un silence tendue nous nous devisageons, plonge dans ses belle prunelle sombre et je me rend compte d'une chose ,la peur au ventre

Il savait