5. Le dernier lit
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Son crâne sans essence et chair me fixe. Un rire fantomatique perce le silence du cimetière. Mes compagnons entament un chant funeste, un dernier hommage à celle qui m’a soutenu, à celle qui a chéri mon cœur, à celle qui me hante, chaque nuit. Il n’est jamais trop tard pour honorer la mort d’un être cher. Demain, la vengeance hurlera.
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