J'effleure à nouveau son petit trou du bout des doigts,mais je ne fais que passer, tourner, autour très légèrement sans appuyer et cela juste quelque instant.

Une tension sexuelle extraordinaire émane de la pièce…

Ma vue s'attarde sur sont petit œillet rosé, Françoise serait elle, elle aussi sensible aux caresses?

Voir même sentir mon petit doigt la pénétrer? Mais chaque chose en son temps , je ne sais comment va réagir Françoise lorsqu'elle va sentir mon doigt appuyer sur sa corolle ? Certes j'ai mon idée ? Mais cela n'est pas le moment !

Je suis tellement hypnotisée par le corps de mon amie que je ne me rends même plus compte, que nos chéris nous regardent , trop occupée que j'étais à dorloter sa copine, à la faire monter vers la jouissance...

Je veux la voir se tortiller de plaisir, gémir, me supplier de la faire jouir avec mes doigts…

Je veux la voir hurler au moment suprême, l'entendre crier mon nom !...

Je la masse délicatement autour du pubis, sans déborder sur cette zone sensible pour la rendre folle.

Je sens d'ici l'odeur musquée de sa liqueur d'amour tant elle est trempée !

Maintenant, j’effleure délicatement son Mont Vénus qui n'en peut plus.

Un de mes doigts suit le sillon de sa fente rosée , mes doigts allant se promener ! Non lui caresser l'extérieur de ses lèvres si sensible, je lui caresse lentement le dessus en passant de chaque cotés, mes doigts tout en lui caressant son puits d'amour remonte par l'extérieur pour venir redescendre par l'intérieur.

Je sent que mon index n'a aucun mal pour glisser sur son abricot tellement mon amie est réceptive à mes caresses.

Et cela m'encourage à aller plus loin , c'est donc avec deux doigts que je remonte sa vulve en écartant légèrement ses lèvres, pour pouvoir avoir tout le loisir d'observer l'effet que je produit sur ma copine, et au vue du plaisir qu'elle produit, je ne peux que continuer.

afin de lui donner du plaisir,mes doigts arrivent au sommet de son bouton d'amour et désirent lui chatouiller son clitoris, écartent doucement ses lèvres afin de pouvoir faire apparaître sa petite clochette, je passe lentement mon index sur le dessus dans des mouvements circulaires ,afin de l'exciter encore plus son bouton continue à gonfler et de se raidir , je vais oser le dire ! Françoise bande du clito?

Trop beau a voir !

Je ressens les soubresauts de Françoise.

Ma main commence un doux mouvement de va et vient à l'intérieur de ma copine mes doigts vont et viennent dans son minou et j'entends dans un clapotement flop ! Flop ! Flop ! Mes doigts qui s'enfoncent ne rencontrent aucune résistance, moi même je suis dans un état second , et pour être honnête il n'y a pas que Françoise qui mouille , moi aussi je suis toute humide , non ? Je sens ma cyprine qui s’échappe de ma minette …

Je réprime à grand peine mon envie de poser ma langue sur le minou de ma copine.

Je sens que Françoise est prête à décoller pour un orgasme dévastateur, mais j'estime que ce n'est pas encore le moment...

Je veux la faire durer encore un peu…

C'est alors que notre amie se saisit d'un coussin qu'elle se met à mordre.

Elle veut dissimuler son envie de crier !

Ah non ! …

C'est là , que je décide de faire un petit passage sur sa corolle , mon majeur étant bien lubrifié par sa cyprine je tourne sur les bords de sa rondelle et effectuant des petits cercles de plus en plus appuyés , je voyais son petit trou commencer a s'élargir sans que cela ne la gêne , j'avais même l’impression qu'elle essayer de se pénétrer elle même sur mon doigt?

Ah ! Non .. Françoise c'est moi qui vais te l'enfoncer ne m’enlève pas Ce plaisir ?

Alors sans attendre plus longtemps je commence a rentrer la première phalange, elle secoue son petit cul de droite à gauche , puis m'enfonce mon doigt au fond de son petit trou ,jusqu’à ce que ma main touche ses fesses.

A ce moment là Françoise crie Ohoho ouiiii un autre!...

Ma copine aime mon initiative , alors un deuxième doigt vient à la rencontre de sa rondelle et là pareil mes deux doigts glissent parfaitement dans son intérieur pour son et mon plaisir ….

Tu vas le crier, ton plaisir, Françoise !

Je veux que nos hommes te voient et t'entendent jouir, qu'ils sachent dans quel état je t'ai mise ! et que c’est moi qui t'ai mises dans cet état, oui je veux ma victoire ...

Sa respiration s'emballe et se transforme en un gémissement continu.

Elle se tortille en tous sens comme si elle manquait d'air.

Décidée à lui accorder cette fois-ci la délivrance du plaisir, j'intensifie mes mouvements.

Son corps se tend comme un arc.

Je branle maintenant aussi son clito dardé à toute vitesse ainsi qu'avec mes deux doigts dans son œillet, elle remue de plus en plus , sa respiration est bruyante des longs gémissement sortent de sa gorge , Hummm ouii grrrr Rhoooo.

Ne cherchez pas Messieurs ce langage féminin est codé ! Un langage que seule les femmes ont à ce moment là ! Et qui veut dire '' oui , va-s’y encore ne t'arrête, continue , oui je veux jouir hoho ouii

Ça vient !''

Bon maintenant vous saurez.

Un hurlement de plaisir remplit la pièce. Françoise continue à trembler pendant un long moment.

Je m'approche de Françoise pour lui faire un bisou dans le cou, et je lui glisse dans l'oreille ,ma chérie j'ai adoré , merci

Françoise me sourit : - C'est l'orgasme le plus puissant que j'ai jamais eu !

Je viens de branler ma meilleure amie et de la faire jouir comme jamais, et je n'en éprouve aucun regret.

D'ailleurs, il me serait impossible de nier que ce moment a aussi eu son effet sur moi.

Mon string trempé en est la meilleure preuve.

Je me rassois à ma place.

Marc : - Vous nous avez offert un sacré spectacle !

Estéban m'enlace et me parle à l'oreille.

Mais bizarrement, je ne comprends pas très bien ce qu'il me dit.

Les voix me semblent venir de loin.

Quelques minutes plus tard, quand je reviens enfin à moi, Françoise m'avoue qu'elle voulait depuis longtemps connaître une expérience avec une femme, mais qu'elle n'aurait pas pu l'envisager avec une autre que moi... En guise de réponse.

Je me contente de déposer un tendre baiser sur ses lèvres.

Je sens alors le besoin de parler à mon chéri !

: - chéri J’espère que tu ne m'en veux pas pour ce qui s'est passé mon amour ! : - Tu sais que je t'aime !

Mais Estéban me rassure très vite.

Je n'ai pas fait l'amour avec nos amis, après tout !

Je n'ai pas trompé mon homme !

Nous avons juste vécu une belle expérience que je ne regrette pas mais qui, je crois, ne se reproduira pas…

C'est à mon tour de lancer les dés et le 6 sort...encore

Le gage que j'impose à mon chéri est de m'offrir à son tour un massage mais pas n'importe lequel ?...

J'en profite pour préciser à Françoise et Marc qu'il y aura un petit plus, quelque chose de spécial, et je me tourne vers Estéban pour lui faire part de ma demande à l'oreille.

Il a l'air surpris et tient à s'assurer que c'est bien ce que je veux.

Je le lui confirme.

A nos amis qui nous regardent d'un air interrogatif, je précise que j'ai demandé à mon homme de me faire un massage “yoni”...

Marc et Françoise : - Un quoi ???

Moi : - Vous allez voir... Je pense que vous devriez apprécier !

Estéban me susurre à l'oreille avant que nous ne commencions : - Tu vas décoller, bébé ! Je vais te faire prendre ton pied !

Je suis très excitée, j'en ai vraiment envie et en même temps, je suis un peu partagée : Je ne vais quand même pas jouir devant nos amis ? Estéban me déshabille avec délicatesse.

Je m'allonge en string et soutif sur le ventre.

Je ferme les yeux.

Je suis bien.

Moi : - Je suis prête

Mes jambes sont légèrement écartées et je sens le regard de Marc et Françoise sur moi, ou plus vraisemblablement sur mon cul.

Après tout qu'ils en profitent, j'ai eu ma part moi aussi.

On est là pour s'amuser, alors autant qu'il profite de la vue que je leur offre, non ?

Pendant de longues secondes, rien ne se passe... Pourtant je sais que Estéban est là et qui attend pour me caresser, heu, je veux dire, pour me masser !

Estéban s'approche de la table.

Je le sens près de moi.

Ses mains se posent à plat sur moi, l'une d'elles entre mes omoplates et l'autre au sommet de mes fesses.

Il reste ainsi pendant plusieurs secondes sans bouger.

La chaleur de ses mains envahit peu à peu mon corps.

Il commence à verser tout doucement l'huile de massage, puis soudain s'arrête.

Moi : - Il y a un problème chéri ?.