Chapitre 115

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Nous venons à peine de finir nos entrées qu'à ce moment, je ressens comme une décharge électrique dans mon bas ventre.

Mes mains se crispent sur la nappe, mes lèvres se resserre, mes jambes se raidissent, un soubresaut inattendu me fait légèrement décoller de mon fauteuil.

Cela inquiète mon chéri, qui me demande.

- Ça va ma puce ? Que t'arrive-il ?

Je lui réponds

- Oui, oui ça va, c'est juste que j'ai cru sentir une bestiole qui monté le long de ma jambe et cela m'a fait tout de suite réagir.

- Ah, d'accord. Tu veux que je regarde sous la table au cas où ?

- Oui, je veux… Non, non, c'est pas la peine, c'est bon, je ne sens plus rien.

- D'accord,

* Ah ah ah, elle a une sacrée imagination ma copine Hoani hi hi *

. La serveuse nous apporte notre second choix, du poisson pour Françoise et moi ainsi que de la viande pour nos hommes.

Shoraya pose l'assiette devant Françoise.

Au même moment Françoise, pousse un petit couinement et les clients à côté de notre table se sont retournées vers elle.

- Tout va bien madame ? me demande l'homme assis à côté de notre table.

- Oui…Ouii, ai-je réussi à bafouiller ! Comme j'ai pu.

Une délicieuse sensation se propageait aux creux de mes reins, mais c’était une véritable torture, car je ne devais rien laisser transparaître de ce qui m'arrivait.

La serveuse me dévisage durant quelques secondes, en observant les expressions étranges de mon visage.

Je me demande si elle a compris ?

Marc a son tour s'inquiète de mon état.

- Ça va, Françoise ? Mais que vous arrive-t-il ce soir les filles ?

Vous, ne vous sentez pas bien ?

- Non, non, ça va Marc, ne vous inquiétez pas les gars, c'est juste que j'ai eu un énorme frisson !

Esteban nous dit que si on ne se sentait pas bien, on rentre de suite les filles.

- C'est bon mon chéri, ça va aller. Je pense que Françoise a eu ce petit frisson par rapport au plaisir qu'elle prend… D'être ici dans ce succulent restaurant en voyant la belle présentation de son assiette.

Hein ! Françoise… C'est bien ça...

- Mouais ? C'est quand même bizarre, des frissons au mois d'août ? Et des bestioles dans un restaurant comme celuicicelui-ci ? Enfin si vouvœu le dites !

- Oui, tout à fait, vous avez vu la classe de nos assiettes ! Franchement, je ne regrette pas d'être venue.

Les garçons nous répondent.

Il faut bien que la qualité et la présentation aillent de pair avec votre élégance et la beauté de nos chéries.

Vous êtes trop mignons les gars, surtout ne changeaient jamais. C'est comme ça qu'on vous aime que nous leur avons dit.

Nous dégustons chacun notre plat que le chef nous a préparé avec soins avec son équipe, ainsi que l'amour qu'ils sont pour la cuisine et surtout l'envie de faire plaisir aux clients et régaler nos papilles.

Après avoir fini mon assiette, mon regard se tourne vers Françoise et je perçois son petit sourire sur son visage angélique, aussitôt, je recommence à sentir les mêmes vibrations ! Qu'au début du repas.

C'est vibrations ne me laissent pas indifférente, c'est comme si je me sentais devenir toute chose et qu'une petite douceur, comme une main parcourait l'ensemble de mon corps en laissant ses doigts se promener dessus.

Je sers les dents pour ne pas éveiller quoique ce soit !. Puis le calme revient

À mon tour de jouer ma cocotte ! Me dis-je. Tu vas voir...

Françoise avait du mal à rester sur sa chaise, je vois bien qu'elle essaie de faire au mieux pour ne pas mettre le doute chez les garçons.

Je voulais voir jusqu'où elle tiendrait, j'augmente le volume et aussitôt, Françoise laisse échapper un gémissement presque silencieusement et me regarde droit dans les yeux.

* Tu exagères Hoani ! De monter le volume comme ça, hum mmm *

M

Je ressens chacune de ses vibrations qui me traverse de part en part dans tout mon corps.

Mes muscles se crispent et une première vague de plaisir m’envahit.

Je m'accroche à la nappe avec mes mains. Mes doigts se crispés sur le bord de la table, je me mords les lèvres pour étouffer les gémissements qui montent dans ma gorge.

L'œuf vibrant me fait un effet pas possible et je ne savais pas combien de temps, j'allais pouvoir lutter contre les assauts de l’œuf. Ma petite chatte était si chaude…. Si humide ! Si désireuse !,

Puis les vibrations se sont arrêtées.

Hoani s'amuse, elle en profite puisque c'est elle qui a la télécommande.

Je sens le regard de Marc sur moi et je crois qu'il a compris que je ne suis pas dans mon état normal !

Pour détourner son attention de moi, j’essaie de le diriger sur Hoani et à mon tour, je joue avec elle !

J'allais commencer à manger mon fromage, lorsque je recommence à sentir les vibrations qui reviennent.

J’ai un petit sursaut de surprise et je vois que la serveuse me regarde avec un ravissant sourire, devinant ce qu'il m'arrive

- Ça va ? Me demande-t-elle ?

- Oui, bien sûr. Ai-je réussi à dire.

L’œuf continu à vibrer. Je sens que je commence à m’ouvrir, mon minou devient humide (heureusement qu'avec Françoise à n'avait changé d'avis et que nous avons mise un dessous, sinon la honte en traversant la salle ! Avec des traces sur ma robe !) , j’ai envie de couiner et je doit me mordre les lèvres pour étouffer mes cris dans ma serviette.

Je serre mes jambes, mais cela ne fait que de mettre encore plus de pression sur mes lèvres intimes secoués par les vibrations de l'œuf.

La serveuse plonge son regard dans le mien, tout en nous resservant du vin.

Elle Arrive à côté de moi pour me servir et discrètement, elle arrive à me dire à voix base.

- Vous n'allez pas tenir jusqu'à la fin du repas, mademoiselle ? Où alors ! Il va falloir demander à votre copine de ne pas monter le volume aussi vite, sinon vous ne pourrez pas !

J'ai sent tout mon corps qui se tends, une chaleur m’envahis.

Je ne savais pas quoi lui répondre, le silence aurait été la meilleure chose que je puisse faire.

Mais cela m'avait couper le souffle et voulant faire une grande inspiration en rentrant au maximum son ventre, ceci à eu pour effet de gonffler ma poitrine faisant entrebailler et ouvrie mon décolleté plus qu'il n'en fallait pour lui offrir une incroyable vue sur mes seins dont les pointes se tenaient fiérement pointées en direction de Marc.

Je vous confirme que vos seins sont d'une rare beauté me dit-elle, j'avais l'impression que c'est mot résonné dans ma tête et que cela excitait encore plus mes mamelons.

- Merci du conseil. C'est tout ce qui m'est venu comme réponse.

Françoise s’amuse à changer le rythme des vibrations, parfois lent, parfois rapide. Le plaisir prend la possession de mon bas ventre.

Voyant que j'avais un peu de mal à me contenir, Françoise décide d'arrêter les vibrations de l'œuf pour me laisser reprendre mes esprits.

Je continue à manger comme si de rien, sauf que j'ai la sensation que ma chatte est chaude et humide, je ne peux pas contrôler les picotements de bas ventre.

Je vois que Françoise est satisfaite de son coup. Elle m'a grave chauffé avec les vibrations de l'œuf dans mon minou qu'il en redemande, mon petit abricot n'a plus qu'une envie, que l'on s'occupe de lui, il veut être à l'honneur, sentir la langue de mon chéri.

* Mais sincérement , j'aimerais bien que ce soit celle de Françoise*.

- Franchement, Hoani, je n'ai pas eu le temps de te le dire avant, mais je trouve que tu as eu beaucoup de courage pour mettre une robe aussi sexy !

Car en plus d'être belle, elle te va à ravir et tu sais combien j'aime la féminité chez les femmes.

- N'est-ce pas ma chérie, déclare Marc à Françoise.

- Oui, mon cœur

Je ne veux surtout pas te mettre mal à l'aise, Hoani, parce que tu sais tout le respect que j'ai pour toi et depuis le temps que l'on se connaît, je t'adore et il n'y a pas de perversité dans mes mots, juste des compliments.

Mais là, je t'avoue et à toi aussi mon pote, que j'apprécie de regarder ta chérie, regarder la beauté de son décolleté me laissant apercevoir de temps en temps une partie de sa féminité, même si je la connais déjà ta poitrine Hoani, lorsque tu fais seins nus sur la plage.

Mais là, c'est pas pareil, dans cette robe cela amène un côté très sensuel et excitant.

T'avoir en face de moi et m'offrir un tel spectacle, c'est vraiment charmant, et je vous remercie tous les deux d'être aussi belles.

Bien sûr, je ne t'oublie pas ma chérie, car toi, tu es mon rayon de soleil au quotidien, tu es la femme dont j'ai toujours rêvé et espéré rencontrer.

Tu es celle qui me donne la joie de vivre, de me dépasser, de te couvrir de baisers, de t'aimer, chaque seconde de ma vie, chaque minute que je passe à tes côtés sont des millions de secondes de bonheur.

Je t'aime comme tu es, j'aime ta spontanéité, tes folies, tes joies, j'aime quand tu m'excites, j'aime quand on fait l'amour, j'aime tous tes petits jeux coquins qu'ils soient juste entre nous deux, où avec nos amis ici présents, j'aime ce naturel que tu as en toi, jaime tes délires, ta délicatesse...

Je t'aime ma chérie.

- waahhh !!! Mon bébé, tu sais que moi aussi, je t'aime.

Je les regarde, ils sont beaux, et je remercie Marc pour tous Les compliments qu'il m'a faits et le félicite pour tout ce qu'il a dit sur ma meilleure amie.

- Merci, Marc et je sais que lorsque tu me regardes, c'est pas avec des yeux de pervers et avec des idées tordus.

Tu es notre ami et j'ai une totale confiance en toi et cela me fait plaisir que tu apprécies ma robe.

Je sursaute au moment où je finis ma phrase, Françoise a appuyé sur la télécommande, les vibrations relance le désir en moi.

- Mais Hoani, je ne comprends pas ce qu'il t'arrive ? Me dit Esteban

- ne t'inquiète pas, ce sont juste des vibrations.

À, c'est mots, je sors mon téléphone et je lui envoi un message !

'' Coucou mon chéri,

Est-ce que tu veux t'amuser ! "

Réponse d'Esteban

A quoi et quand ?

Je réponds

Maintenant ! Tu le sauras après !

Esteban

D'accord

Moi

Prends ton télépone et connecte toi ensuite sur l'application ' Abner Pretty Love '

Il me regarde tournant sa tête sur sa droite, la bouche légèrement entre-ouverte et les yeux grands ouverts.

o

Je pense qu'il a bien compris ! Au vu de la brillance dans ses yeux

Il me regarde avec envie, je sens qu'il va avoir envie de jouer avec l'appli Hihihi.

Mais il va être drôlement surpris ! hihihi

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