Chapitre 123

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Je me réveille, il me semble qu'il doit être un peu tôt pour se lever, car en regardant vers la terrasse, je vois qu'il fait encore nuit.

Je me tourne sur le côté, afin de pouvoir prendre mon portable pour regarder l'heure quatre dix du matin, c'est effectivement trop tôt pour que je puisse me lever.

Tiens je n'avais pas vu, j'ai message ?

C'est mon chéri, qui m'a envoyé un message hier soir, après qu'il soit parti avec Marc.

-

'' Ma puce ,

Tu sais que je t'aime comme un fou et que chaque jour, je ne pense qu'à ton bonheur, que ta vie ne soit illuminée que de joie porté par notre amour.

En te regardant chaque soir t'endormir à mes côtés, ta tête posés sur mon torse, laissant passer ta douce chaleur et ton odeur que je ne pourrais jamais oublier, ta respiration dont je cale la mienne sur la tienne pour que l'on ne fasse plus qu'un.

Tes lèvres dont je ne peux y retirer les miennes, lorsqu'elle s'accouple dans une danse dont nous seule en avons le secret bien gardé au fond de nos cœur.

Mon Amour, mon amour pour toi ne peut tenir dans une main ! Seule l'hyper- espace serait assez grand pour pouvoir le contenir puisque l'espace est à l'infini, tous comme mon amour pour toi.

Ma chérie, je t'aime tellement et je suis tellement heureux avec toi.

Afin que mon bonheur soit comblé. Sache que je suis heureux que tu puisses enfin réaliser ce beau moment, se rêve où se fantasme ? Je ne sais pas comment le définir.

Mais je sais ce que je veux, c'est que cette nuit-là soit pour toi la plus belle de toute tes nuits.

Je veux que tu ne penses qu'à toi, c'est ton moment à toi, pour toi, et pour vous.

Je sais que tu auras des doutes par moment, que tu vas te crisper voir même culpabiliser ! Mais sache que je ne veux que ton bonheur et celui-ci, ne peut que passer par ton épanouissement.

Donc mon bonheur pour le moment, c'est que rien ne doit venir troubler cette soirée avec Françoise.

Je vous souhaite le meilleur à vous deux et profitez-en bien…

Je t'aime ma chérie

Il est vraiment très gentil mon chèri et moi aussi, je l'aime tellement que je ne pourrais pas concevoir ma vie sans lui.

-

Je regarde Françoise qui dort à côté de moi, aussi nue qu'un bébé à sa naissance. C'est bien la première fois que je me réveille sans mon chéri à côté de moi !

Je suis avec cette superbe sirène nue dans cet immense lit dont les draps en satin ont encore les traces de notre belle nuit d'amour, ainsi que de notre plaisir partagés.

Tout cela me semble être un rêve, j'ai peut-être rêvé du plaisir que j'ai eu hier soir avec ma copine, je tends mon bras en direction du corps qui est à côté de moi.

Le contact de sa peau sous mes doigts me trouble au plus haut- point ! Des ailes de papillons se remettent a battre dans mon ventre.

En effet, je n’arrête pas de me dire qu’elle est incroyablement belle. Elle a des seins et ses fesses magnifiques.

Tout en regardant ma copine, je me disais que j'avais beaucoup de chance de l'avoir comme amie.

Car des amies comme Françoise, peu de gens doivent en avoir. Françoise est prête à tout pour moi, jamais, elle ne se permet de me juger, de me dire des choses qui pourrait me blesser, d'être méchante avec moi, elle est d'une bienveillance incroyable.

Mais elle ne se gêne pas pour me dire quand, je fais des conneries et c'est normal, c'est mon amie…

Avoir une amie, comme Françoise, ce n'est que du bonheur et cela va faire bientôt vingt ans que l'on se connaît !

Et oui, vingt ans, alors que je n'ai que vingt-quatre ans… C'est déjà une longue amitié.

J'aime beaucoup aussi mes deux autres amies, mais ce n'est pas pareil, car on se connaît depuis moins longtemps.

Mais quand je les revois, je suis toute excitée de joie.

Je me penche sur Françoise, approche mon visage du sien, mes yeux se posent sur ses lèvres, ne pouvant pas détourner mon regard des siennes.

Je sens ses lèvres qui se posent sur les miennes. Je ne veux pas ouvrir les yeux pour garder leurs douceurs et ne voulant pas que se baiser se termine.

* je ne vais pas ouvrir mes yeux et lui laisser croire que je dors ! Je veux voir ce que Hoani va faire ! Si je ne me réveille pas *

Elle se rapproche encore plus de moi, je sens sa poitrine qui rentre en contact avec la mienne.

Impossible d'empêcher mes tétons de réagir au moment où elle effleure mes lèvres avec les siennes.

Une vague de sensualité me traverse tout le corps, je me sens envahie d'une chaleur méconnue jusqu'à ce jour !

Ses lèvres, son si douces que je lutte pour garder les yeux fermés.

J'entends Hoani me dire !

– Je sais que tu ne dors pas, Françoise et je vais te le prouver.

Françoise est allongée sur le lit, les yeux fermés me faisant croire qu'elle dort.

Je m'allonge sur elle, le contact de sa peau chaude contre la mienne me fait frémir.

Je recommence à l’embrasser, toujours avec beaucoup de tendresse.

* j'adore l'embrasser, être au contact de ses lèvres.

Elles sont d'une telle douceur et je perçois encore légèrement le goût de ma cyprine dessus ses lèvres.

Je sais qu'elle fait semblant, car si j'étais à la place de Françoise, je ferais exactement la même chose*

Je lui mordille gentiment ses oreilles en lui suçant les lobes de ses oreilles l'un après l'autre.

* j'aimerais tellement lui rendre ses baisers, la caresser, profiter de son corps sur mien.

J'aime cette nana, car vous ne le savait, mais c'est vraiment une belle personne. Pour ses amis, elle ferait l'impossible. Elle aime vraiment faire plaisir aux personnes qu'elle apprécie.

Juste, ils sont peu nombreux, elle a ses raisons qui lui appartiennent.

Mais je sais que nous devons être pas plus cinq ou six faisant partie de son entourage.

Je ne sais pas ! Si elle vous a déjà parlé de ses deux autres copines ?

Ce sont des chouettes nanas aussi <3 *

Hoani descend le long de mon corps pour atteindre mes seins durcis. Elles les massent tendrement puis se met à lécher mes tétons.

Aussitôt, une vague de chaleur parcours mon corps.

Je n'ai jamais été autant excitée qu'en ce moment. Cela n’a rien à voir avec l’excitation que Marc provoque chez moi ! Là, j’ai l’impression que c’est une excitation plus forte !

Non en fait, c'est à la fois épicé et doux ! Je sais, c'est compliqué à comprendre ! Comme si j’avais à la fois les picotements et les papillons qui butinent mon minou et en même temps tout mon intérieur.

Ce qui fait que mon corps ne veut pas de repos, il veut rester en transe ! Je me sens comme un volcan prêt à exploser sa lave…

Hoani, descend sensuellement jusqu’à mon ventre, puis arrive enfin en face de mon jardin secret tout lisse.

Hoani, m'écarte un peu plus les cuisses. Mes doigts frémissants partent alors à la rencontre de ses lèvres mouillées.

Je les effleure d’abord, comme s’il s’agissait d’un fragile bouton de fleur, puis mes doigts plongent avec délice dans les replis secrets de sa chair.

Son odeur, ses soupirs m’enivrent, j’ai l’impression d’être une abeille affolée devant un pot de nectar.

Mes lèvres lui butinent goulûment les pétales de son sexe qui s’ouvrent complètement.

Elle passe sa langue tout autour ! Mon excitation est de plus en plus intense. Je sens enfin la langue de Hoani qui se pose sur ma chatte humide.

Elle me lèche avec une tendresse incomparable. Sa langue excite tout mon minou dont je ne peux pas retenir ma cyprine d’aller à la rencontre de son membre linguale. C’est encore plus intense que la première fois !

Je crois que sa langue a pris de l’expérience. Je la sens plus agile, plus sûre d’elle, son rythme est plus soutenu. Je ressens tout le plaisir qu’Hoani prends à me faire ce super cunnilingus.

Mon corps n’est que spamme, je ne peux absolument rien contrôler. J’aime me sentir dans cet état ! Savoir que mon corps ne m’appartient plus, qu’il appartient désormais à la langue de ma copine ! C’est très jouissif !

Sa langue me fournit un plaisir inimaginable. Mon ressenti est encore plus intense ! Hoani entreprend maintenant de revenir exciter mon clitoris.

À peine sa langue le touche, que je ne peux plus retenir mes gémissements.

Ouiiiiiiiiiiiiiii... encoreeerrr... hummmm... tu arrêtes pas…

- Tiens, tu ne dors plus ma puce. Je savais bien que tu faisais semblant. Hihihi.

- Ben franchement, comment veux-tu que je dorme, alors que tu me caresses avec ta langue le minou

- hummmm c'est trop bon, Hoani, continueeeer

* Ce que me fait Hoani, c'est franchement délicieux...*

- Ma chérie, c'est trop bon ce que tu me fais… Tu as pris des cours pendant que je dormais ? Hihihi

- Non, non, c'est juste que je te fais ce que j'aimerais que l'on me fasse, ainsi, j'ai moins de risque de te décevoir où de me tromper… Lol.

C'est ce que j'ai compris tout à l'heure, quand tu avais tes lèvres sur mon petit abricot. C’était tellement bon ce que tu me faisais.

- waouhhhhhhh, encore ma puce ouiiii. Encoreeeeee

Ma pote Hoani continue, elle sait me donner du plaisir et effectivement, elle a tout compris, me faire ce qu'elle voudrait qu'on lui fasse. C’est exactement cela faire, ce que l’on voudrait qu’on nous fasse

Elle active sa langue et augmente la vitesse et l’intensité. Je sens très vite que je ne vais pas pouvoir me retenir mon orgasme, plus rien autour de moi n’existe à part sa langue. Je ne sens qu’elle !

Je n’en peux plus, elle a raison de moi, tout mon corps et en ébullition, mon abricot est à point ! Je me sens partir.

Hoani, redouble d’intensité sur mon mont Vénus, l’intérieur de mon vagin est tellement humide et chaud qu’il faut qu’elle me libère de ses lèvres. Sa langue passe et repasse sur mes petites lèvres, c’est juste exquis.

Mon clito ne demande que ça, qu'Hoani s’occupe de lui. Je sens bien sa langue qui joue avec lui, maintenant qu’il n’a plus de protection sa langue a eu raison de mon petit chapeau.

Sa bouche me dévore, sa langue me fouille et me fait mouiller grave, elle se promène dans mon jus, elle me lèche de haut en bas.

Son clitoris est en pleine érection, je le caresse délicatement. Je fais le tour, je le maintiens entre mes deux doigts. Son plaisir augmente, Hoani, respire fort, moi aussi.

Je suis en voyage avec elle, je pourrais la caresser ainsi une éternité.

Je pose mes mains sur la tête de Hoani, je ne veux plus qu’elle retire sa langue de mon clito, je veux qu’elle me fasse partir dans un terrible orgasme ! Je sens mon plaisir à la limite d’exploser ! Je bloque sa bouche contre mon vagin et oblige sa langue de titiller mon clito.

La chaleur de sa bouche sur mon bouton d’amour n’en peut plus, mon clito est devenu trop sensible.

Hoani, exerces quelques mouvements avec son bassin venant à la rencontre de ma langue. Dans mon excitation, je l'aspire avec ma bouche. Françoise respire de plus en plus fort et pousse de petits cris, elle va jouir et bouge de plus en plus.

Ma langue ne lâchent plus sa vulve. Je ne pense qu’à la faire jouir pour goûter son nectar.

C’est l’explosion, son corps est agité par des vagues de plaisir et se tend dans plusieurs spasmes. Ses cuisses se referment et garde ma tête prisonnière entre ses cuisses, avec sa main Hoani, appuie sur ma tête pour que je puisse plus bouger, afin que sa liqueur envahisse ma bouche.

Hoani, libère sa main droite et viens me pincer un téton, ce qui de suite me fait jouir.

Hannn ….ouiiiiiii….encoreeeee ….Hoaniiiiiii , je jouisssssssssssssss ahahahah.

Haoni, relève son visage dans ma direction et je vois mon nectar qui fait briller ses lèvres.

C’est trop bon de la voir ainsi, elle m’a fait tellement jouir et j’ai eu tellement d’orgasme que je ne pourrai même plus jouir !!!

Je dépose baiser sur la bouche d'Hoani. Mais avant que je n’ai fini mon étreinte, elle me rends mon baiser se saisi de mes lèvres pour un baiser langoureux.

Je fixe les yeux de Françoise, aussi intensément qu’elle fixe les miens et dans un même élan, nos lèvres se soudent à nouveau. Encore et encore avec une tendresse infinie que seules deux femmes peuvent s’offrir.

Nos baisers deviennent de plus en plus intenses, plus profonds et nos langues viennent à s’enlacer dans nos bouches.

Françoise m’embrasse merveilleusement bien, j’adore son goût, m’en délecte voluptueusement. Ses mains lâchent les miennes et viennent se poser délicatement sur mon visage.

Je fais la même chose. Nos lèvres ne se quittent plus, nos mains se caressent, s’enlacent puis se caressent à nouveau. Nous faisons durer ce baiser…

Puis Francoise viens sur moi, mes bras enserre sa taille. Nos corps entrent en contact nous arrachent un petit frisson de plaisir. Peau contre peau, bouche contre bouche.. nos mains se détache de leur étreinte et commencent à explorer nos corps respectifs.

Hoani roule sur le cote et je me retrouve sur elle. Je te donne mon baiser magique, celui dont je t’ai parlé ? D’abord, je fixe tes yeux et descend sur ta bouche sans te lâcher du regard.

J’effleure ta lèvre supérieure, embrasse ta lèvre inférieure avant de sceller mes lèvres sur les tiennes dans un baiser langoureux.

Nous nous allongeons l’une à côté de l’autre, nos jambes se croissent et nous continuons de nous embrasser.

Je quitte ta bouche et descends lentement sur ton cou que je couvre de milliers de baisers. Ma langue dessine sur ta peau des images qui sortent de mon imagination.

Je descends encore, mes mains caressent ta taille. Je continu à descendre et m’arrête sur tes seins, deux seins magnifiques dont j’embrasse les pointes.

Ma langue s’en mêle et prend la relève de mes baisers. Mes mains explorent la douceur de ton corps, et te délivrent d’infinies caresses.

Une fois avoir retrouvé mes esprits. Je fais comprendre à Hoani de rester allonger à côté de moi. Elle écarte les jambes, son envie était très claire. Je caresse son corps parfait, ses petits seins ronds et durs aux tétons qui se dressent sous les caresses de mes doigts et de ma langue.

Mes mains explorent la douceur de ton corps, je te délivrent d’infinies caresses. Mes mains viennent se poser sur tes seins pour les honorer comme tu le mérites. Tu fermes les yeux. Je me délecte de toi, de ton odeur,de ta peau, de ta beauté.

Puis je descend tout doucement ma bouche sur son berlingot que je lèche avant de passer à son petit œillet.

Mes doigts caressent son clitoris, ouvrent sa vulve, je pénètre son vagin de ma langue. C’était la première fois que je goûtais à une femme et son goût ne me déplaisait pas.

Je vais chercher son jouet qui était sur la petite table qui sert de salon. Hier soir, je n’avais pas remarqué que son jouet était plus gros que le mien ?

- Ah oui. Il est vraiment gros, ma chérie.

- Ne t’inquiète pas ma puce ! J’ai l’habitude, je m’en sers régulièrement. Et tu verras demain Esteban est encore plus impressionnant !

- Ah ouais…. !

Mais je n’ai aucun doute pas qu’elle a l’habitude.

Hoani se met tout de suite à quatre pattes devant moi, me faisant très vite comprendre ce qu’elle désire.

Je présente son joujou à l’entrée de son minou, le maintenant d’une main ferme. Je le rentre doucement, centimètre par centimètre, son jouet commence à disparaitre. Je le ressors un peu pour la pénétrer un peu plus loin.

Je sens son sextoy buter dans le fond de sa grotte, j’entame un va-et-vient, modifiant aussi le rythme en fonction de ses gémissements qui deviennent de plus en plus importants.

Une idée me survient en voyant ses fesses offertes et sa petite corolle qui m’attire. Je lubrifie mon majeur de ma main gauche avec la salive de ma bouche.

Puis je dirige mon doigt vers son petit trou. Au contact de mon doigt. Lentement. Je le fais entrer tous lentement, Hoani apprécie cette intrusion dans son petit derrière. Cela double son plaisir, elle se déondules sous mes caresses.

J’accélère mes mouvements de pénétration avec son joujou. Hoani pousse un long cri de jouissance.

Ouuuuiiiii ouiiiii françoiseeeee c’est délicieuxxxxxxxxxxxxx wuoiiiiiiiii hannnn …hummmm je parssssss.

Hoani s’écroule sur le lit. Délicatement, je retire de son intimité son sextoy, puis, je m’allonge auprès de ma copine en la prenant dans mes bras.

Après quelques instants, l'une et l'autre retrouvons un peu de calme. Elle plonge ses yeux troubles dans les miens et vient se serrer contre moi.

Nous sommes encore toute tremblantes.

Je dépose un baiser sur sa bouche, afin de conclure notre première et unique expérience avec une autre femme.

Après avoir frôlé ma bouche, Hoani, m’embrasse dans le cou. Je fais de même sur ses yeux gorgés de joie.

Au petit matin, je me lève la première et je me retourne en regardant Françoise qui dort encore. Il faut dire que notre nuit a été plutôt agité et que nous avons peu dormis.

Je me dirige vers la salle de bain, j’ai besoin de prendre une bonne douche, je rentre dans la douche italienne, je me retourne lève la poignée et j’utilise la température programmée au moins, je ne risque pas d’avoir de l’eau froide.

Je me mets sous la pomme et profite de l’eau qui ruisselle sur mes épaules et longe ainsi tout mon corps, l’eau est douce, je sens bien toute la douceur que cela produit à mon être.

J’appuie sur les deux boutons, afin d’utiliser la fonction de jet massant, je me positionne au milieu pour que les jets viennent s’exploser sur moi.

J’aime bien ce que me font les jets et je reste ainsi pendant de longues minutes pour apprécier ce massage à l’eau.

Je suis tellement bien que je n’entends pas Françoise qui m’appelle. Je vois François, se dirige pour me rejoindre sous la douche, je lui souris et lui demande.

-Ça va, tu as bien dormi ?

- Oui, ça va un peu courte la nuit quand même. Mais bon cela en valait la peine, hihihi. Elle est bonne

-Oui, excellente, allez vient dessous

Françoise, passe dessous, penche sa tête sous la pomme et passe ses mains dans ses cheveux pour les remonter sur le haut de sa tête et les laisser retomber.

On se détend tous les deux, on se savonne avec le gel douche qui se trouve dans le distributeur, nos mains parcours nos corps sans chercher à les exciter, nous voulons juste profiter pour nous sentir plus fraiche pour accueillir nos hommes d’ici peu.

Nous sortons, puis nous nous séchons l’une et l’autre, puis Françoise utilise le sèche-cheveux pour se les sécher, pendant ce temps, je vais m’habiller et je viens à mon tour me sécher les cheveux même si je n’aime pas trop utiliser cet ustensile, car il abime mes cheveux.

Françoise est maintenant habillée et nous, nous installons sur la terrasse pour discuter de tout et de rien. Je prends le téléphone de la chambre d’hôtel et compose le numéro du service d'étage pour les prévenir qu’ils peuvent apporter le petit déjeuner pour quatre personnes.

À ce moment même la sonnette de la chambre retentit, Françoise se précipite pour aller ouvrir.

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