Chapitre 150
* Mais elle fait quoi avec sa main Hoani ? Elle lui caresse le dos ? Mais alors pourquoi Féline a-t-elle soulevé ses fesses à plusieurs reprises ? Je suis sûr qu'elle a sa main directement sur les fesses de copine ! Ptain si cela se trouve, elle lui caresse sa petite rondelle !!! GRRRRRRRRRR et moi, je suis là , comme un con avec la bite en feu à les regarder ! Il va être temps que, je raisonne comme un mec et que je leur disent que moi aussi j'aimerais bien faire parti de la fête !! ... *
Je vois dans le regard de Féline qu'elle essai de comprendre pourqoui ,elle a laissé cette main se poser sur elle ?
* Je me sentais comme une fleur fragile, frêle et délicate, lorsque la main de Hoani caressait le haut de mes fesses avec une douceur infinie. Une chaleur délicieuse, c'était répandue dans tout mon être, mais en même temps, ma timidité m'avait profondément m'envahit, elle est indissociable de moi-même, tissée dans les fibres mêmes de mon être. Je suis comme une observatrice dans l'ombre, préférant rester à l'écart plutôt que de me jeter au cœur de l'action.
Ses caresses, empreinte de tendresse, avait éveillé en moi des sensations que je j'avais déjà osé explorer une fois. Mais j'étais plutôt habituée à observer le monde depuis les marches, me contentant de regarder les autres vivre leurs vies avec une intensité que je ne parvenais pas toujours à comprendre. Ma timidité est à la fois ma protection et ma prison, ma protection car elle peut me servir de barrière contre des situations sociales potentiellement inconfortables ou intimidantes.
Une prison, car elle peut se transformer en une forme de prison émotionnelle. Lorsqu'elle devient excessive, elle peut restreindre considérablement ma vie sociale et mon épanouissement personnel et dans ces moment-là, je me procure un cocon de sécurité tout en me refusant l'accès aux expériences les plus profondes et les plus intenses.
Pourtant, alors qu'Hoani continuait de me prodiguer ses caresses avec une affection sans équivoque, je n'ai pas pus m'empêcher de ressentir une lueur d'excitation brûler en moi. C'était comme si cette simple interaction avait eu le pouvoir de briser les barrières de ma timidité, m'offrant un aperçu fugace du monde qui m'entourait. Ma copine voulait me montrer que moi-aussi, j'avais le droit de prendre du plaisir tout en respectant ma timidité qui peu à peu commencé à s'estompre.
Dans un mouvement presque imperceptible, j'avais tourné les yeux vers Esteban, dont le regard était fixé sur moi. Mon cœur avait bondit dans ma poitrine alors que nos regards se croisèrent. Esteban, en réalité, je le connaissais peu. Il demeurait pour moi le copain de mon amie. Et même avec lui, je voulais garder une certaine distance, une réserve instinctive qui semblait disparaitre à mesure que la soirée avancée.
Pendant que je me laissais emporter par ce mélange d'émotions, j'avais perçu une lueur de curiosité dans le regard d'Esteban. Son visage était tellement expressif, que je pouvais quasiment sentir son esprit en ébullition, ses pensées se bousculant pour tenter de comprendre les méandres de mon propre être.
Hoani qui me caressait paraissait, elle aussi, perdue dans ses pensées. Ses gestes étaient doux, empreints d'une tendresse sincère, mais je percevais également une sorte de détermination dans ses yeux. Comme si elle cherchait à percer mes défenses, à me comprendre au-delà de ma timidité, à me faire oublier celle que je suis !
Pourtant, malgré ma gêne et mon manque de connaissance envers Esteban, je lui avais offert un sourire timide, mais sincère. Il m'était difficile de dire si Esteban comprenait réellement la profondeur de mes émotions, mais à ce moment-là ! Je me sentis plus proche de lui que jamais.
Alors que Hoani, continuait de me caresser le haut de mes fesses avec une tendresse infinie, je me retrouvai partagée entre le désir de me laisser aller à cette vague de sensations nouvelles et l'instinct de me replier sur moi-même, de revenir à la sécurité de ma timidité. C'était comme si je me trouvais à la croisée des chemins, sur le point de prendre une décision qui changerait à jamais le cours de ma vie ? *
Je secoue ma tête de droite à gauche pour sortir de mes pensées et de revenir avec mes amis.
Je sens mon cœur battre plus vite, mon souffle devient un peu plus court. Je suis captivé par la scène qui se déroule sous mes yeux, un mélange enivrant de désir et de jalousie qui s'empare de moi.
Voir Hoani caresser Féline d'une manière si discrète et tellement intime fait naître en moi un sentiment complexe d'une part, je suis excité par la vision de ses deux femmes si belles et si sensuelles.
Mais d'autre part, je ressens une pointe de frustration en réalisant que c'est Hoani qui a le privilège de toucher Féline de cette façon et moi, je ne peux rien faire, ni toucher, ni caresser l'une ou l'autre et pourtant, ce que j'aimerais pouvoir sentir la langue de Féline sur ma queue ! Et la bouche de ma chèrie sur mes boules. J'aimerais tellement avoir ses deux bouches qui s'occuperais de moi, de mon sexe, de mes couilles, de mes fesses, de mon corps...De moi ...DE moi...DE Moi....DE MOI.... !
Je me surprends à imaginer ce que ça ferait d'être à la place de Hoani, de ressentir la douceur de sa peau sous mes doigts, de partager ce moment d'intimité de ses fesses avec elle. Une vague de désir monte en moi à m'en faire mal accompagner d'un sentiment d'envie envers Hoani, qui semble avoir tant de chance d'explorer les plaisirs que Féline peut lui accorder.
Pourtant, malgré mes pensées troublantes, je sais que je dois rester en retrait, je dois me contenter de rester là en les observant silencieusement. Me laissant emporter par l'énergie sexuelle qui flotte dans la pièce, j'ai une grande envie de me caresser la verge ! En me disant, cela, je ne peux m'empêcher de frotter ma main sur ma hampe cacher dans mon short, en appuyant dessus pour faire sortir mon gland de son prépuce. Je me laisse aller à répéter ce geste plusieurs fois jusqu'à sentir monter un désir le long des veines qui longent ma hampe.
Je perçois dans le regard de Féline tout le plaisir que Hoani lui donne avec ses caresses.
Mon cœur bat un peu plus vite, captivé par cette timidité qui contraste si délicieusement avec son assurance pour narrer son histoire.
* J'ai l'impression qu'Estebanest entrain de se masturber ! discretement certe, mais je vois bien sa main que longe son sexe par dessus son vêtement, cela ne va pas m'aider, déjà que Hoani me fait grave de l'effet avec sa main ! Si maintenant, c'est son mec qui se branle devant moi. Je fais finir trempé *
Féline me regarde avec une certaine gêne et une timidité qui la fait rougir. Instantanément, je remarque le rouge qui colore ses joues, ajoutant une touche de charme à son visage déjà séduisant.
* Je pense qu'elle à compris mes gestes ! Faut que j'arrête pour ne pas la mettre mal à l'aise ...*
Dans un élan de complicité, je lui adresse un sourire tendre, cherchant à apaiser ses éventuelles appréhensions. Mon regard, empreint d'une douceur rassurante, lui murmure silencieusement que je comprenais et que j'appréciais sa disrétion, ainsi que cette pudeur qu'elle me dévoile en cet instant.
Je me sens honoré de pouvoir partager cet instant avec elle, d'être le témoin privilégié de cette intimité naissante entre elles.
Féline détourne légèrement son regard, déconcertée par la tendresse qui émane du mien. Pourtant, même dans sa gêne, je sens un élan de chaleur au fond de moi, une sensation nouvelle et électrisant qui me laisse à la fois euphorique et vulnérable.
Nos battements de cœur résonnent en harmonie, créant une symphonie silencieuse qui enveloppe l'espace entre nous trois. Nous nous perdons un instant dans cette connexion fugace mais profonde, où les mots deviennent superflus et où seules les émotions, les expressions, les gestes parlent.
Puis, avec un léger hochement de tête, Féline laisse échapper un souffle retenu par timidité, accompagné d'un discret gémissement comme pour signifier qu'elle était prête à explorer cette nouvelle dimension de cette relation, où le désir et la tendresse se mêlent dans une danse enivrante. Et dans ce simple geste. Je la vois offrir ses lèvres à Hoani.
Afin de retrouver mes esprits, je dis à Féline « tu nous racontes la suite, avant que cela ne soit plus possible ! »
* Mon mec serait-il jaloux de moi ?*
Féline détourne son visage d'Hoani, vers moi et reprend le cours de son histoire.
Lola était passée entre mes jambes, agenouillée. Elle avait relevé l’une de mes cuisses pour en caresser l'intérieur et l'avait déposé sur son épaule droite.
Sa main gauche remonta l’autre cuisse dans une caresse sensuelle qui se glissait encore plus vers mon sexe totalement lubrifié par les rivières de cyprine qui s'en écoulait.
Puis la bouche de ma copine partie à la rencontre de mon vagin, à ce contact, je ferme les yeux pour savourer les petits baisers déposés furtivement sur mes petites lèvres.
* Ohhhh... Ouiiii, j'en ai encore le goût sûr mes petites lèvres de la langue de Françoise, c'était vraiment délicieux de sentir la chaleur de sa bouche, la douceur de ses mains. J'ai trop envie de retrouver ce goût et la douceur d'une langue féminine. *
J'en voulais encore plus maintenant, j'étais prête que Lola me prenne. Je voulais sentir sa langue en moi, qu'elle caresse mon bouton d'amour, qu'elle le fasse sortir de son enclos pour qu'il puisse voir la personne qui lui donne ce plaisir. Je voulais tout d'elle à présent.
Pensée de Nicolas
" SUPER !.. Lola, merci d'avoir remis ton portable debout… Me dis-je. Je vais enfin pouvoir voir les filles !
'' Waouhhhhh, mais elles m'excitent comme ce n'est pas possible, ce que je vois sur mon écran me fait durcir la bite jusqu'à m'en faire mal. Mais je dois avouer que le spectacle auquel j’assiste à travers mon portable et d'une grande beauté. je n'avais Jamais, vu deux femmes se brouter le minou ? Et voir la bouche de Lola sur la vulve de Féline, c'est sacrément bandant. Il va falloir qu'elles me laissent entrer dans cette chambre. J'ai une grave envie de les baiser ! Je sais, c'est vulgaire, mais c'est ce que j'ai envie de faire. Mais je sais que je ne serai pas un bourrin avec deux aussi femmes qui se caressent et que je vais caresserai."
Et mes pensées furent entendues, quand la main de Lola rencontre mes petites lèvres humides, ainsi ce contact sur mon sexe me rendit folle d’excitation.
Ses doigts caressaient mes douces petites lèvres inondées. Elle me caresse et remonte vers mon clitoris devenu tellement sensible et recommence encore et encore, chacune de ses caresses m'arrachent des gémissements de plaisir, cela devenait incontrôlable pour moi.
Sentir cette main contre mon minou, qui le caresse, me rendait folle. Ses doigts glissés légèrement entre mes petites lèvres, c’était un vrai délice. Je me croyais au paradis des plaisirs.
Puis la bouche de Lola revient juste à l’intersection de mes jambes, elle pouvait sentir le souffle chaud de sa bouche contre mon sexe.
Lola semblait hésiter, puis succomba au désir. ENFIN ! Je sens pour la première fois une bouche de femme sur mon vagin ! Mais quel plaisir, un frisson inonde tout mon corps, j'ai l'impression qu'il y a plus que ce contact que je ressens et que plus rien d'autre n'existe ? Cette bouche sur mes lèvres intimes, léchant et avalant ma cyprine, jouant avec mon clito, c'est plus que ce que mes spasmes ne peuvent supporter, sa bouche se cale sur mes petites lèvres, les embrasse d’abord timidement, ensuite avec passion(sans fruits. lol)
Elle lissait mes lèvres de baisers sensuels. Ensuite quand sa bouche commença à s'ouvrir et sa langue qui remontait le long de ma vulve. Je sentais ma cyprine m'échapper contre la bouche de mon amie. Je n'ai ps pu retenir mes gémissements tandis que mon corps se cambrait dans des soubresauts comme cela ne m'était jamais arrivé.
Ohhh… Oui ! C'est bon, je vais venir ...LOoolaaaa... Tes lévressss ....
Mais n'ait pas peur de te lâcher, Féline, tu as le droit de crier... De gémir... De jouir... De prendre ton pied...Laisse-toi aller au plaisir, je veux t'entendre gémir, crier, hurler, je veux t'entendre jouirrr
À ces mots, j'ai senti une certaine libération venir au fond de moi et sans comprendre , pourquoi je me suis mise à gémir et a exprimer mes désirs.
Encore …. C’est trop bon Lola… Encoreee… Vas'y ne t'arrêteeeepasssss…. Fais-moi jouirrrrrrrrr OOOhhhhhh ouiiiiiiiiii. Ma chérie !... Ouiiii comme ça...
Je, m’exprimai-je avec difficulté, prise par ce plaisir que m'offrait ma copine ? Mais jamais, je ne mettais laissé partir dans un tel langage de plaisir, mes mots sortaient de ma gorge avec autant de puissance que Lola avait déclenché cette jouissance en moi.
AAAAANNNNHHHHHHH...HHOOOAANNIIIIIIII... OUIIIII …. JE JOUISSSS...Tu me fais jouiiiiiiirrrrrrrrrr lolaaaaaaaaaaaaaaaa....Ouiiiii comme ça...Ta langue ouiiii....continueeeeee...suce mon clito encoreeee ..je jouisssss Ooooh c'est bonnnn. AAAAHHHHHhhhh.
Je regarde Lola pas très fiére d'avoir autant crier si fort. Désolé si j'ai gémis trop fort.
Ah ! Mais surtout pas ma chérie ! Je suis bien trop contente que tu es pris ton pied et que que te sois laché... C'est cequi est bon ma puce quand on prend son peid c'est tout oublier et ne penser qu'au plaisir et l'exprimer et je peux te que j'ai apprécié de te voir jouir !
Je vois sur son visage, un sourire qui me fait comprendre qu'elle est fière de m'avoir fait connaître ce plaisir féminin. Mais moi aussi, je veux lui donner ce plaisir.
Pensée de Nico
Je ressent une certaine tension qui commence à m'envahir, ne sachant pas quoi faire, car mon corps, lui, me dit :
« Va s'y ouvre là cette porte ! Et va avec les filles ! »
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