Fin. Deux mois avant de revoir ce bâtiment dans lequel je suis moi-même. Deux mois à me morfondre dans la chaleur oppressante de l'été. Deux mois à goûter l'amer nostalgie, à pleurer la douce peine et à tenter d'oublier en me plongeant dans l'ivresse de la joie. Je ne suis plus, désormais, que...

... L'ombre de moi-même...