Le constat d’un monde fragile

Auteur : Florian Pierrel

Chapitre Un : Affronter la vie écrit par Florian Pierrel

« Qui sommes-nous ? »

« Des humains, des vivants. »

« Où suis-je ? »

Léonore issue d’une famille richissime atteint d’une maladie incurable qui détruit la mémoire profondément.

Elle a vingt-huit ans et des cheveux bruns.

Elle mesure presque un mètre quatre vingt.

Ce jour-là, elle se rendit aux tours jumelles détruites des attentats de 2001.

- Je dois faire un constat sur ce monde fragile, parler des attentats, des guerres, de l’humain, des problèmes psychologiques, des maladies qui rongent nos sociétés.

Sa mémoire avait des failles mais elle se surpassa pour prouver qu’on peut y arriver si on persévère si on a de l’ambition …

- Comment faire ?

Elle observa les buildings, et fixa le ciel.

Des avions passèrent.

- à quoi servent ces attentats ? Cette haine ?

Pourquoi croire en dieu ? Quel est l’avenir des vivants ?

Et si toutes les réponses venaient de l’environnement ?

Les gens chantèrent « Happy » de Pharell Williams.

Mais étaient-ils heureux ?

Tant de questions que Léonore voudrait répondre …

Mais se sent-elle capable de dépasser sa maladie incurable et rare ?

Elle se rendit chez elle et prit des affaires.

Joséa, sa mère était en fauteuil roulant.

- Ma fille, tu perds la tête …

- Je vais faire un constat sur le monde.

- Mais tu es folle ! Avec ta maladie !?

- Bon vent …

Un ami la contacta.

- Je peux te filmer, on pourra tout mettre en vidéo.

- Merci Laurent.

Ils commencèrent à faire de petites vidéo d’entraînements.

- Parfait.

- Bon nous irons parler de guerres, attentats, racismes, homophobies, xénophobies, transphobies, réchauffement climatique, avenir, de paix, de moments d’humanité marquants à tout jamais l’Histoire …

- Tu es ambitieuse !

- Je veux … avant ma mort, ce constat et laisser ces vidéos comme traces sur Terre.

- Tu es une battante.

Laurent avait des cheveux typiquement long et des couettes, originaire de Martinique.

- Viens …

- Une première photo devant les buildings avant notre périple.

- Cheese ! Disent-ils ensemble.

Et la route leur tendait les bras vers des buts précis et de l’ambition démesuré !