Comme bon lui semble
Il n’y a que ça,
Que personne ne me prendra.
Elle est libre comme l’air,
Souvent solaire,
Libre comme le vent,
Raconte mes tourments.
Sur un air de musique,
Un petit antalgique.
Sur des couleurs,
Pour libérer mes douleurs,
Elle arrive ou bien repart,
Comme un nouveau départ.
Se joue parfois de moi,
Quand elle entrevoit,
Un élan de lucidité,
Un écrin de fragilité.
Le plus beau de mes bijoux,
Dans les instants les plus doux.
Mon imagination,
Fait vivre ma nouvelle passion.
Elle me permet de voyager,
Poser ma plume sur papier.
Je ne pensais pas,
Qu’elle m’aiderait tant que ça.
Parfois fugace,
Tantôt m’enlace.
Elle est un merveilleux cadeau,
Que puisse me faire mon cerveau.
Elle est souvent subtile,
Et très pulsatile.
Mon imagination,
Ma déraison.
C.D
24/08/18
Annotations
Versions