Gaïa

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Poumons de la Terre

Quand les poumons partent en fumée,

Par des feux de forêts brûlées,

Son air devient irrespirable,

Sa vie devient insupportable,

Bien plus que des milliers de cigarettes,

Ils perdent toutes silhouettes.

La Terre se meurt à petit feu,

Et reprend ses droits peu à peu,

Elle continuera de s'éteindre,

Et nous ne pourrons la repeindre,

Le vert et le bleu n'existent quasi plus,

Et ce n'est que le début.

Des poumons abîmés,

Une Terre très fatiguée.

Il nous faut réagir,

Si nous voulons la voir vivre.

Notre bien le plus précieux,

Est notre univers miséreux.

Gaïa ma belle,

Je te pensais éTerrenelle,

Face à la cruauté humaine,

Nous devenons ta gangrène.

Essayons de te protéger,

Pour plus longtemps te garder,

Nettoyons tes poumons,

Pour éclore les bourgeons.

J'ai foi en l'humanité,

Utopie ou réalité ?

Un jour que tu respire,

Sans pour autant souffrir.

Ta vie n'en sera que plus belle,

Gaïa notre immortelle.

C.D

24/08/19

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