Une rencontre de haut niveau !
" Jess "
Il est dix-huit heures, putain, je suis grave à la bourre ! Je viens de perdre un temps fou avec un client qui a passé son temps à reluquer mes nichons. Ce n'est pas que cela me dérange, loin de là, mais quand il ne font plus attention à ce que je dis et me font perdre mon temps, alors là, ça chie des bulles ! Et dire que cet abrutis est là pour adultère !
Bref, j'ai fini par lui mettre le matériel sous le nez, pour enfin avoir son attention. Résultat, il s'est mis à bégayer comme une buse !
Ouais, les mecs sont tous de gros connards, ils servent juste à donner des orgasmes et encore, quand ils y arrivent, ce qui n'est pas souvent le cas, croyez-moi !
Putain, je me demande pourquoi je continue à faire ce boulot de merde ! A ouais, je me souviens, il faut bien payer le loyer et les factures.
Vie de merde !
Me voilà donc en train de courir, pour sortir le plus vite possible du palais de justice et croyez-moi, ce n'est pas facile, quand on porte des talons aiguilles et une robe moulante ! Je dois être à dix-neuf heures tapante à la cité du vin pour l'anniversaire surprise de ma copine Cassie. Jamais j'y serais, c'est humainement impossible et si je suis en retard, je vais me faire défoncer par Nico ! Cela fait plus de quinze jours qu'il organise ça avec Mickaël. Quand je pense que cette salope se tape le meilleur partie du secteur, je suis jalouse.
Bon jalouse c’est un peu fort, je lui laisse toute la partie fleurs et chocolat, le romantisme, trop peu pour moi. Par contre, je n'aurais pas été contre le fait qu'il me donne un bon coup de queue. Apparemment, le beau gosse sait s'en servir ! D'après elle, jamais elle n'avait eu autant d'orgasmes. Dommage pour moi qu'elle ne soit pas prêteuse !
Récemment j'ai investie dans le "vibease" le dernier sexe toy connecter.
Oui, oui j'ai bien dis connecter.
Etant une fervente lectrice de livres érotique, ben oui, il faut bien que je me cultive ! Il a la particularité d'agir à la lecture du bouquin. Ce petit bijou permet de kiffer sans les mains, sans les images, juste avec du son et des vibrations ! Et ne croyais pas que cette petite chose se contente d'une petite variation stable que vous choisissez. Sûrement pas, tout se passe automatiquement ! Et je n’en attendais pas moins, surtout au prix qu’il m’a coûté !
Je m'allonge et je me détends au son d'une voix sexy qui me raconte l'histoire, pendant que Rosy travaille ! Oui, j'ai appelé mon sexe toy Rosy, c'est quand même plus jolie que Vibease non ?
Bref, cette petite merveille me file des putain d'orgasmes, un truc de fou ! Je me serais bien posé une petite demi-heure avant de partir, mais je n'ai vraiment pas le temps.
Bon, Rosy est génial c'est sûr, mais ça ne remplace quand même pas le contact humain. Des mains qui caressent, une langue qui se promène, un corps à corps et une bonne queue qui remplit !
Il me faut un mec et un vrai !
Je suis frustré et en manque putain ! Cela fait bien huit jours, que je n'ai pas vu un mec à poil et franchement le dernier, ne cassait pas trois pattes à un canard ! Cet abrutis a pris mon clito pour un joystick, il m'a palpé les nichons comme on choisit une orange et pour couronner le tout, il a bien failli me foutre sa queue dans le cul par inadvertance ! Entendons-nous bien, je n'ai rien contre, mais je demande quand même un minimum de préparation. Parce que ce faire enfiler à sec, ça fait mal putain !
Non, mais je vous le dis, je ne suis vraiment pas aider !
C'est trop demandé un mec qui connais l'anatomie des femmes et qui pense à donner du plaisir autant qu'il en prend ? Si vous avez un nom et un numéro à me refiler, je suis preneuse !
Je rentre en courant dans mon appartement, heureusement que je vie à deux pas du tribunal, ça aide, y'a pas à dire. J'ai posé mes valises dans ce petit studio bis, impossible de trouver mieux dans mon budget en plein centre-ville.
Ouais, avocate commise d'office, ça ne rapporte pas ! J'entends sans cesse, que j'ai de la chance d'exercer un métier passion et que je viens en aide aux personnes dans le besoin. Ben moi, ce que je vois surtout, c'est que je gagne des clopinettes.
Un salon-salle à manger, une salle de bain de la taille d'un dressing de base, une cuisine dont je pourrais très bien me passer, puisque je ne sais même pas allumer le gaz. Mais, j'ai quand même une chambre, la pièce la plus importante.
A dix huit heures trente, je sors de la douche, je vais devoir me contenter du strict minimum niveau préparation. J'ai toute la ville à traverser et à cette heure-ci, c'est comme tenter l'ascension du Mont Everest, c'est-à-dire, impossible .
J'enfile ma paire de basket et fourre mes talons dans mon sac, question de pratique. Je croise mon reflet dans le miroir de l’entrée, putain, y'a pas à dire, je suis hyper sexy quand même !
Dix-neuf heures deux, j'ai la citée du vin dans ma ligne de mire, j'y suis presque bordel ! J'ai déjà reçu quatre textos et six appels de Nico, auquel, bien sûr, je n'ai pas répondu. Le dernier disait:
" Mais qu'est-ce que tu branle encore ? T'as vu l'heure ? J'te jure que si t'es en train de te faire sauter, j'te tue ! "
Ouais, je sais, ma réputation me précède ! Mais pour une fois, je n'y suis pour rien. Me voilà dans l'ascenseur, je suis sauvé !
Quand les portes s'ouvrent, tout le monde est là. Ils l'ont joué petit comité, mais son mec a mis les petits plats dans les grands ! Toutes les tables du restaurant ont été enlevées et une seule et unique trône au milieu de la pièce. Apparemment, tout le monde a sorti le grand jeu sur le plan vestimentaire.
La famille Dubois est là au grand complet ! Je ne les ai pas vues depuis Noël dernier. Mon regard croise celui de Scott. Putain ! ça c'est un mec, un vrai ! Mais, je n'ai malheureusement pas le droit d'y toucher. Pourtant, je suis sûr que nous deux, ça ferait des étincelles. Hum, j'en ai des frissons dans le dos ! Mais Cassie me pète les dents, si je touche à son frère, c'est vraiment une emmerdeuse quand elle s'y met celle-là.
Mes yeux font un rapide tour d'horizon, histoire de voir ce qui se présente à moi ce soir.
Croyez-moi, j'ai une solide expérience ! Des invités au serveurs, rien ne m'arrête !
Il n'y a que deux têtes qui me sont totalement inconnues, par déduction, ce doit être le frère et la sœur du mec de ma copine ! Jolie fille, y'a pas à dire. Ma fois, pourquoi pas. Il y a déjà un moment que je n'ai pas couché avec une nana.
Je ne suis pas raciste moi, comme dirait Cassie: " je bouffe à tous les râteliers " !
Le frangin par contre, ce n'est pas vraiment mon genre, grand, blond, peau clair, il paraît bien moins musclé que son frère et je suis sûr qu'il cache sous cette chemise un petit ventre. Mais quand mon regard croise le sien. Bordel, il a les mêmes yeux perçants que son frangin.
Si j'avais porté une culotte, elle serait probablement déjà inondée !
Après réflexions, il pourrait peut-être faire l'affaire ! Cassie ne m'a jamais interdit de toucher la belle-famille. Et puis, s'il baise aussi bien que son cadet, ça devrait valoir le détour !
Monde chasseuse activé ! Chéri, ce soir, je t'en fait voir de toutes les couleurs !
" Justin "
Bon sang, mais c'est qui cette fille ? Elle vient de sortir de l'ascenseur en courant, une paire de basket aux pieds. Des baskets, sans rire ? Elle a cru qu'elle participait à une course de relais. A peine est-elle sortie de la cabine, qu'elle s'appuie sur le montant et enfile une paire d'escarpins.
Eh bien, voilà qui est mieux !
Sa petite robe noir, épouse parfaitement les courbes de son corps, c'est un vrai canon. Sa démarche chaloupée, me dit qu'elle connait parfaitement son pouvoir de séduction. La candidate idéale pour une petite sauterie. Cela fait déjà quelque temps que je sors avec la même fille et franchement, y'a pas à dire, je me lasse. Cindy à tout ce qu'il faut, là où il faut, je ne dirais pas le contraire, mais j'ai besoin de sang neuf. En plus, j'ai une appétence particulière pour les petites brunettes de type méditerranéen. Elle a le physique parfait et l'éclat dans son regard, me dis qu'elle n'a pas froid aux yeux !
Ma belle, ce soir, toi et moi on va faire connaissance !
Je me dirige vers le bar, mon frangin à sortie le grand jeu pour sa douce. Il est complètement raide dingue d'elle, qui aurait cru ça possible, certainement pas moi en tout cas. C'est la personne la plus inadaptée aux sentiments que je connaisse, enfin jusqu'à ce qu'il lui tombe dessus.
Je m'empare de deux flûtes de champagne avant de me diriger vers elle. Un peu de subtilité ne peut pas faire de mal et en général les filles adorent ça.
— Je peux t'offrir un verre ?
Elle se tourne vers moi et esquisse un petit sourire en saisissant le verre que je lui tend.
— Oui, merci ! J'ai bien besoin d'un remontant. Mais tu n'es sûrement pas là pour me faire la conversation. Alors si tu nous trouvai plutôt un coin tranquille, pour aller s'amuser un peu au cours de la soirée.
Elle s'approche de moi, pose sa main sur mon entrejambe qu'elle caresse, puis la fait courir sur mon torse jusque derrière ma tête, m'obligeant à me pencher vers elle, avant de me murmurer à l'oreille.
— Intéressant !
Elle se redresse, vide le contenu de sa flûte d'une traite, avant de me la tendre et de tourner les talons.
— A plus tard ! Me dit-elle.
Pas froid aux yeux ? Je crois que je suis bien loin de la vérité. Cette fille est chaude comme la braise oui ! Je bande comme un âne, ma queue est trop à l'étroit dans mon pantalon.
Tu veux jouer ma belle ? Je suis ton homme !
J'ai déniché l'endroit parfait, il ne reste plus qu'à trouver le bon moment. Pas sûr que nous passions inaperçus si on disparaît au milieu du repas. Mon frère regarde Cassie comme s'il avait la huitième merveille du monde devant les yeux. A ce rythme-là, il va lui passer la bague au doigt avant la fin de l'année. J'ai juste envie de rire en imaginant la tête de ma mère si on en arrive à ce stade. Elle va nous faire une syncope !
Je suis installée à côté de la magnifique brune, Jessica de son prénom, grande copine de Cassie. Elle n'arrête pas de passer sa main sur ma queue et si elle continue comme ça, je vais finir par remplir mon caleçon. Le repas à commencé depuis plus d'une heure et elle met mon self-contrôle à rude épreuve. Je n'ai plus qu'une idée en tête: la culbuter et vite !
Et que dire du petit sourire satisfait qu'elle affiche sur son visage. Il me donne juste envie de lui fourrer mon sexe dans la bouche, histoire de pouvoir l'effacer. Mais une autre idée vient de germer dans mon esprit déjà bien remplis d'image parfaitement obscène, la mettant toutes en scène.
Je me décale légèrement, histoire de pouvoir cacher ma main. Je fais tomber ma serviette à ses pieds et me penche pour la ramasser. Je pose ma main libre sur sa cheville et je remonte lentement le long de sa jambe en me redressant. Je finis par passer sous sa robe, je passe à l'intérieur de sa cuisse et elle les écarte aussitôt.
Putain, cette nana me rend complètement dingue !
Je poursuis mon exploration en direction de son con. Je me demande si elle est plutôt du genre épilation intégrale ou bien petit triangle bien taillé. Mais je suis certain d'une chose, l'endroit doit être bien entretenu, ce n'est pas possible autrement. De toute façon, je ne vais plus tarder à le savoir. J'approche lentement de la zone humide et là le choc.
Mes doigts touchent immédiatement ses lèvres. Bon sang, elle ne porte pas de culotte !
Je suis au bout de ma vie, elle vient de me surprendre comme jamais personne n'y était parvenue. Elle m'envoie un grand sourire en se rapprochant un peu, insérant plus loin, mes doigts dans les petits plis de son intimité. Je me reprends, hors de question qu'elle sache l'effet qu'elle me fait. J'ai ma fierté quand même !
J'écarte ses lèvres et plonge un premier doigt dans son vagin, elle est trempée, si bien que le deuxième rejoint l'autre sans problème. Ma position est plus que délicate pour arriver à faire ce dont j'ai envie. Je recule encore un peu ma chaise et elle se rapproche en se penchant sur la table, posant son menton sur sa main. Parfait, elle me facilite la tâche, en voilà une qui a un besoin urgent d'être soulagée. Me voilà rassuré, je me sens moins seul. Mon heure viendra bientôt, mais pour le moment, il s'agit de faire jouir cette demoiselle.
Je suis à moitié tourné vers elle, mon regard en direction de mon frère et de sa copine. Il ne faut pas trop que j’attire l'attention, Cassie à un radar à sexe et si elle nous surprend, je ne doute pas que mes couilles prennent chère.
Je fais entrer et sortir mes doigts lentement et j'alterne en frôlant son clitoris avec mon pouce. Son visage est proche du mien et je peux sentir son souffle sur ma joue. Elle se racle la gorge, tentant de se contrôler. Mais je ne vais pas la lâcher, hors de question, je vais la faire jouir comme jamais ! J'accélère un peu la cadence, faisant taper la paume de ma main sur son excroissance de chair. Il est tellement gonflé que je le sens parfaitement contre ma main. Sa respiration se fait plus rapide, sa main agrippe ma cuisse, plantant ses ongles à l'intérieur.
Encore heureux qu'elle ne m'ait pas chopé les couilles !
Je sens son vagin se contracter, elle y est. Je sors mes doigts et lui pince le clitoris. Ses yeux se ferment et sa tête se pose sur mon épaule, mais rien, pas un bruit, elle ne dit rien.
Je me retire de sous sa robe, voulant m'essuyer sur ma serviette, mais elle saisit mon poignet au vol, portant mes doigts à sa bouche. Elle enfonce les deux à l'intérieur et les suce. Puis, elle se penche à mon oreille.
— Merci, à charge de revanche !
Elle se lève et se dirige vers les toilettes, me laissant là, un peu désorienté. C'est définitivement la plus belle cochonne que j'ai jamais vu et je ne vais sûrement pas m'en plaindre. Je me rends compte que beaucoup sont sur la piste de danse, je crois que c'est le moment d'agir. Entre le fromage et le dessert, moment parfait pour aller la baiser.
Je me rends à mon tour aux WC, ce n'est pas du tout l'endroit que j'avais prévu, mais dans l'état où je suis, ça fera parfaitement l'affaire. Je la trouve appuyé sur le rebord d'un lavabo et elle sourit quand son regard croise le mien. Je donne un tour de clefs, avant de marcher vers elle.
— Alors chéri, tu veux me baiser ? Dit-elle.
Je me colle contre son corps.
— Je vais te baiser ma belle et je vais même te faire jouir !
— Deux fois de suite ? Je demande à voir.
— Et bien, voyons ça !
Je retrousse sa robe sur ses hanches, l'a soulève et l'assied sur le bord du lavabo. Je n'ai même pas le temps de tenter de l'embrasser qu'elle s'est déjà attaqué à mon pantalon, tout en sortant une capote cachée entre ses seins.
Si cela ne s'appelle pas être prévoyante, je ne vois vraiment pas ce que c'est !
Sauter les préliminaires, je n'ai rien contre, mais je suis dans un tel état d'excitation, que je vais me vider en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Et c'est absolument hors de question, je veux la faire grimper au rideau. Si une femme ne jouies pas, je ne suis pas satisfait. Si c'est juste pour me vider, je peux très bien le faire tout seul.
Bref, ma belle, il va falloir que tu sois un peu patiente parce que là, cela ne va pas être possible.
Changement de tactique. Je mets ma tête entre ses cuisses, ce qui me laisse le temps d'apercevoir un joli petit triangle bien net. J'ai un point de vue superbe, de là où je me trouve. Une fente magnifique où il me tarde de me plonger. Je suis en train de la lécher, elle a un goût exquis, une petite pointe d'exotisme sur la langue, qui n'est vraiment pas désagréable. Elle fait tomber ses chaussures au sol et remonte les jambes sur le rebord.
Et souple avec ça, misère, cette fille me tue.
Une de ses mains vient s'agripper dans mes cheveux, me poussant la tête encore plus profondément. Hum, je crois que je suis apprécié.
— Putain, ne t'arrête surtout pas, continue de me bouffer la chatte, c'est trop bon !
Et vulgaire pendant l'acte, Putain, je vais tomber amoureux ! Ses hanches suivent les mouvements de ma langue, Je sais que je devrais m'arrêter et la prendre tout de suite. Mais c'est plus fort que moi, c'est tellement bon, que je ne peux pas. Quand sa main tire sur mes cheveux, je sais qu'elle y est.
— Baise-moi et vite !
Je remonte et elle m'enfile le préservatif qu'elle a déjà ouvert. Sa main prend ma queue et la conduit devant son entrée. Un mouvement de hanche bien dirigé et me voilà en elle. Je lui laisse le temps de s'habituer un peu avant d'entamer un va-et-vient.
— Pas de douceur, pas de délicatesse, je veux juste sentir ta queue bien au fond, alors bouge, putain !
Mais apparemment ce n'est pas du tout à son goût.
Alors comme ça, elle veut de la violence, elle veut que je tape dans le fond, et bien ma belle accroche toi.
— Tes désirs sont des ordres !
Ses jambes passent autour de ma taille, je remonte sa robe par-dessus sa poitrine et dégrafe son soutien-gorge. Si je veux avoir une chance de la faire jouir une troisième fois avant d'obtenir ma propre délivrance, il va falloir que je trouve son point sensible. Toutes les femmes en ont un, voire même plusieurs. Je la pousse un peu en arrière de manière à pouvoir dévorer sa poitrine. Putain, ils ont une forme parfaite. En poire et pas trop gros, comme j'aime. Je mets un téton dans ma bouche et le suce, tout en la pilonnant de toutes mes forces. Je crois que c'est la première fois que je suis aussi brutale avec une femme, mais je ne peux pas nier que j'adore ça. Et à entendre les bruits qui s'échappent de sa bouche, elle aussi !
Je ne vais pas pouvoir me contrôler trop longtemps à une vitesse pareille. Je m'apprête à me retirer pour retourner la dévorer quand elle saisit mes cheveux dans sa main, collant mon visage sur sa poitrine. Ses pieds poussent mes fesses.
— Continue, continue, ne t'arrête pas !
Je suis incapable de lui répondre, j'ai la bouche pleine. Mais je suis certain qu'elle y est presque. Je serre les dents et me concentre du mieux que je peux. Je ne peux plus, je ne peux vraiment plus me contrôler.
Alors dans un élan désespéré, je mort son téton pendant que je me vide dans le préservatif. Ses muscles se resserrent sur ma queue, lui arrachant un cri.
Victoire ! Sa main reste quelques instants dans mes cheveux, avant de se redresser et de me repousser. Elle se remet sur ses pieds, rattache son soutien-gorge, descend sa robe et remet ses chaussures. Elle se tourne vers moi et passe son index sur mon sexe toujours emballé.
— Tu devrais ranger le matériel mon choux, je suis pas sûr que ce soit du goût des invités.
Elle me fait un clin d'œil, me donne un baiser sur la joue et se dirige vers la sortie. Avant de franchir la porte, elle se retourne une dernière fois vers moi et me dit:
— Merci chéri, pas mal, pas mal du tout !
Elle disparaît, fermant la porte derrière elle. Je reste planté au milieu des toilettes, la queue pendante durant quelques instants avant de me ressaisir et de me rhabiller.
C'est une idée que je me fait, où elle vient juste de me planter là comme une merde et en me disant merci en plus !
Si elle avait été un homme, j'aurais dit qu'elle vient juste d'agir comme un parfait connard !
Mais quand c'est une femme, comment on appelle ça ?
Bonjour à tous !
Disons que dans ce premier spin off, je n'ai pas fait dans le subtile, dans l'écrit comme dans la couverture ^^ la plupart d'entre vous avez déjà lue ce premier chapitre, puisque je l'avais mis à la fin d'un des volumes de l'effet papillon. Je l'ai un peu retravailler, mais dans l'ensemble, il est rester tel quel ! Comme je vous l'ai préciser à la fin du roman de Noël, ce spin off est entièrement terminé. Je vais dans les jours à venir me lançer dans la relecture et l'envoie aux bétas lecteurs, je vais donc le publier assez rapidement pour avoir votre retour à peu près en même temps que mon équipe.
Bref, j'espère que la suite de cette nouvelle publication vous plaira !
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