Loup Marâtre Canard Ridicule Aumône

Moins d'une minute de lecture

Dans cette société ridicule, je ne demanderais pas l'aumône
même sans toit, sans couverture, et même si je crevais de faim ;
comme le vieux loup, je marcherai loin de votre chemin
le regard plein d'espoir tourné vers la lune.
Artiste, on me tire à vue comme les canards ;
j'profiterais de la solidarité parce que j'rentre pas dans vos clous.
Maman, on t'appelle la marâtre dans la famille,
À cause de tes actes et le malheur de tes filles.
Pourtant même égoïste, je ressens ta personnalité,
toi au moins, tu me laisse essayer au lieu de me tuer.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Le feufollet ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0