Seigneur pour la vie

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Il était une fois en 1400 un jeune homme nommé Sigismond âgé seulement de 18 ans il vivait dans une maison au bord d’une rivière dans la charmante ville d’Auberluine entre le marché sur la place et la Taverne du druide située à quelques pas de là il s’y rendait souvent avec ses amis notamment Abélard et Borel il buvait ensemble des chopes de bière jusqu’à l’aube, Abélard provenait d’une famille noble son père travaillait à la cour il aidait le Marquis Alaric dans ses tâches et devait également se préoccuper de la santé et de la forme du Marquis en échange il recevait beaucoup d’écu pour ses tâches effectués Abélard avait tout pour être heureux seulement une chose lui manquer une mère l’amour et la bienveillance d’une mère elle est décédée dans un tragique accident de chariot sur une route du Royaume sa chute fatale aura brisé le cœur de ce jeune homme à tout jamais. Borel lui est un jeune homme venu d’une famille de paysans ses parents tenait une ferme ou il passait beaucoup de temps dedans à aider ses parents à élever le bétail à planter des légumes tels que des carottes des oignons du chou et des betteraves il n’avait pas la vie facile mais était très heureux et vivait une vie paisible entourée de sa famille, les deux amis de Sigismond vivait très proche l’un de l’autre il pouvait donc facilement se voir et organiser des concours d’arc ou des entraînements avec de vieilles épées en bois presque effrité il s’amusait et passer leur temps comme ça, mais Sigismond avait d’autres rêves en tête il rêver de voyager et de partir à l’aventure voir d’autres contrées lointaines découvrir de nouvelles choses et surtout rencontrer en personne le Roi Sothimes dirigeant du Royaume de Almares la ou vivait Sigismond depuis tout petit ses parents n’arrêter pas de lui répéter que c’était impossible de rencontrer le roi en personne et puis si bien même il le verrait un jour qu’aurait t’il à lui dire ?

Un homme de classe moyenne n’a que peu de valeur aux yeux du Roi Sothimes. La mère de Sigismond était marchande et son père était forgeron enfaîte, il n’était pas simplement une famille ordinaire, Gautier, le père de Sigismond, était le forgeron attitré du marquis Brunwin, marquis de Dunark, ville voisine d’Auberluine.

Le marquis Brunwin était un homme plein de courage et de détermination ; il gérait Dunark d’une main de fer ; aucun faux pas n’était toléré ; son but était de garder le calme et la convivialité dans sa ville. Les bandits et toute autre racaille de ce genre étaient emprisonnés dans les geôles de son château avec seulement un bout de pain rassis et rien d’autre ! Il avait ordonné au père de Sigismond de lui confectionner une nouvelle épée pour la mettre dans son armurerie personnelle et pouvoir la porter sur lui le jour où il en aurait besoin. Gautier, très heureux de pouvoir rendre service à une personne noble et pleine de courage, ne s’attarda pas et commença la création de cette épée qu’il décida de nommer Galatyn. Lui aussi, Gautier était très courageux : il commença à travailler dès l’âge de quatorze ans dans les champs pour pouvoir nourrir sa famille et pouvoir se payer sa maison ainsi que ses terres qui ensuite lui serviront pour faire pousser ses légumes. Il eut même assez d’argent pour se payer un cheval nommé Achile, il s’en allait chasser avec dans les bois aux alentours.

Parlons maintenant du Royaume d’Aerim et plus précisément de son roi Kunigag, un homme très dur et méchant avec son peuple qui a eu quelque histoire douteuse avec un certain groupe de bandits qui dévalise les campagnes et les villages à la recherche d’or et de produits de valeur depuis maintenant quelques mois. Il semblerait que tout serait orchestré par le Royaume d’Aerim, mais rien de sûr pour l’instant.

Le Roi Sothimes est prévenu déjà depuis quelques semaines de ce qu’il se passe de l’autre côté de la frontière, mais impuissant, n’ayant aucune preuve irréfutable contre le roi, cela ne s’arrête pas et s’aggrave même : il a même peur que ce groupe de bandits vienne jusque chez lui détrousser son peuple.

Quelques mois plus tard, un soir d’hiver par des températures avoisinant les zéro degrés, Sigismond, Abélard et Borel sortent une fois de plus à la taverne du druide pour s’enfiler quelque chope de bière jusque tard dans la nuit. Sur la table, un sujet revient beaucoup : l’envie d’aventure de Sigismond. Ses amis pensent que ce n’est pas une très bonne idée, car le monde est rempli de dangers en tout genre et qu’avec son jeune âge, il est susceptible de perdre la vie. Mais si ce soir la Sigismond à réuni ses amis a la taverne ce n’ai pas pour parler de son aventure qu’il convoitise depuis des semaines mais pour parler de L’épée la fameuse Galatyn que son père eu fini quelque jours avant c’était une épée magnifique longue aiguiser et brillante comme une étoile mais Sigismond aller faire la pire erreur de sa vie il bu toute la soirée chope après chope et en partant dans la nuit de la taverne les bougies s’eteignerent les une âpres les autres et plus personne dans la taverne sauf une chose la Galatyn, elle était rester sur le banc, Sigismond rentre chez lui avec beaucoup d’alcool dans le sang il finit par s’endormir profondément très profondément jusqu’au lendemain matin, c’est en se réveillant qu’il vit l’énorme erreur qu’il venait de commettre, a peine habiller de sa tenue en jute de ses bottes et de son chapeau il couru jusqu’à la taverne pour demander a l’aubergiste si il aurait vu une épée seule qui traînait sur un banc ou bien autre part mais aucune réponse de l’aubergiste rien n’a été vu dans la soirée ni dans

la nuit Sigismond se mis la tête entre les mains et commença a pleurer fort très fort car il savait ce qu’il allait devoir dire a son père, mais quelque chose n’allait pas d’un seul coup il entendit un bruit très fort venant de l’extérieur des murailles d’Auberluine il se metta a courir vite pour parvenir aux remparts et c’est en levant sa tête qu’il vit une foule d’une soixantaine de soldat tous habiller en cotte de mail et épée a la main prêt a en découdre avec a leur tête un homme habiller de noir sur un grand cheval également habiller de noir Sigismond pris de panique cour jusqu’au château de son village pour avertir le Marquis Alaric de ce qu’il venait de voir le marquis pris de court ne penser pas une telle chose et décida accompagner de quelques gardes d’aller jusque la muraille et c’est la qu’il vit une armée de bandit prêt a tuer les villageois violer les femmes et piller tout ce qu’il pourront prendre le marquis regarda Sigismond et ferma les yeux quelques secondes les rouvrira et lui ordonna de prendre son cheval a coter du château et d’aller prévenir au plus vite le Seigneur Osmond de cette attaque Sigismond ne réfléchit pas et part prendre le cheval pour parcourir plusieurs dizaines de kilomètres pour se rendre dans la célèbre capitale de Varac.

Après plus d’une heure de cheval Sigismond arrive enfin à Varac la Capital et siège politique du Royaume d’Almares, il était essouffler plus aucune force il s’effondra devant la porte de Varac en demandant de l’aide et en demandant également a voir le Seigneur Osmond, les gardes de la porte ne comprenne pas ce qu’il se passe et essaye tant bien que mal de relever le jeune homme au bout de ses forces il explique au garde qu’il vient d’Auberluine et que le Marquis Alaric l’envoi car une attaque est en cours sur son village un des garde cours vers l’entrée du châteaux de la capitale et quelque minutes plus tard ressort avec le seigneur en personne entourée d’une dizaine de garde Le Seigneur n’en croit pas ses yeux, il demande de suite à Sigismond si Alaric se porte bien et si rien ne lui est arrivé, il répond tout de suite que le marquis va bien, mais que si personne ne bouge, c’est Auberluine tout entier qui sera brûlé et pillé.

Le Seigneur Osmond rassembla ses hommes au plus vite, une centaine de gardes pour former une armée et partir vers Auberluine au plus vite pour éviter le massacre Tout le monde est en selle et la route démarre. Sigismond est en compagnie d’un des gardes du Seigneur sur son cheval et il s’apprête à faire plus d’une heure de route pour arriver dans son village natal. Une heure de route plus tard, l’armée de Varac arrive enfin sur place et c’est avec une immense désolation qu’il voit que plus rien ne reste de son village, même plus l’auberge où il a passé des heures à boire des chopes. tout est incendier des corps gisent sur le sol des pics on été installer par les bandit et des tête on été placer dessus dégoulinant de sang c’était pour Sigismond une vue effroyable mais il pensa a une chose encore plus forte retrouver ses parents il couru directement vers ça maison sans que le Seigneur n’ai eu le temps de dire le moindre mots et c’est en arrivant devant sa maison qui n’est plus qu’un tas de poussière qu’il se rend compte que ses parents ne sont plus de ce monde et qu’il on été assassiner dans l’attaque, Sigismond s’effondrent beaucoup de choses lui passent par la tête notamment le faite de s’être fait dérober l’épée qui était destinée au Marquis Brunwin et surtout que son père avait confectionner de ses mains la remord l’envahi et il continue le tour de son village a la recherche de survivants mais plus rien ni même ses amis Abélard et Borel ont été tuer pendant l’attaque . Sigismond se prend d’un sentiment de solitude et de désarroi face à ce qu’il vient d’endurer, de voir et de comprendre. Notamment, un de ses sentiments vient plus fort que tout et c’est la revanche qu’il a envie de prendre face à ces bandits qui lui ont tout retiré, qui lui ont brisé sa vie en l’espace de quelques heures…

Le seigneur Osmond laissa une cinquantaine de soldats dans le village toujours incendié et jonché de corps tandis qu’il regarda Sigismond et lui dit : « Fils, nous devons rentrer à Varac. Tu en as assez vécu pour aujourd’hui, tu dois prendre soin de toi et te reposer. Je mettrai un garde à ta disponibilité si tu as besoin de quelque chose et je t’offrirai une chambre dans l’une des salles de mon château. »

Quelques jours plus tard dans la chambre du château offert par le Seigneur Osmond après un bon repos de bon repas et une hygiène tout a fait convenable le moral de Sigismond est encore très bas suite au décès de ses parents et de ses amis dans son ancien village, en sortant de sa chambre il passe devant la salle de réception du seigneur et entendit : je te l’avais dit ces bandits ne nous laisseront jamais tranquille est continueront a détruire nos village et tuer notre peuple mais il faut que tout cela cesse.»

Auberluine a été massacrée et des centaines d’habitants sont morts par la faute du royaume d’Aerim. Le jeune homme, encore choqué de tout ce qu’il venait de vivre, ne semble pas comprendre qu’une guerre est en cours entre les deux royaumes. Sigismond tapa a la porte de la salle du Seigneur et lui demanda : Seigneur je dois retourner à Dunark le Marquis Brunwin attend son épée que mon père avait fait pour lui mais je l’ai égarer durant une soirée de beuverie avec des amis a moi je suis le coupable et je dois avertir le Marquis, le Seigneur Osmond lui réponda tu n’ira pas seule je vient avec toi c’est alors que le Seigneur Osmond et Sigismond suivi de prés par quelque gardes prennent la route pour le village de Dunark.

En arrivant devant le village, les deux hommes se regardent et entrent sans même se parler. Ils arrivent devant la cour du château et demandent à voir le marquis Brunwin pour lui expliquer tout ce qu’il vient de se passer. C’est alors que le marquis arrive. Surpris de voir le Seigneur en personne et de voir Sigismond, le fils de Gautier, il leur demanda : que faites-vous ici ? Quelque chose ne va pas ? Le Seigneur répondit directement : « Votre forgeron est mort dans une attaque sans précédent. » Gautier et sa femme Astrid sont morts dans l’attaque.

Brunwin leur répondit : « Ce n’est pas possible, c’est impossible. » Pourquoi les as-tu attaqués avec une telle violence ? Pourquoi lui, un village si paisible ? » Sigismond dit alors : « Seigneur, je vous ai entendu parler du royaume d’Aerim, de leur inculpation au sein de cette attaque contre mon village, contre ma famille, contre mes amis. » « Je vais et je dois savoir la vérité. »

Seigneur, c’est alors que Brunwin regarde Osmond et lui dit : « Comme ça, tu n’avais pas prévenu cet enfant, tu ne lui avais pas tout dit et il n’est au courant que de la moitié des choses, vous allez devoir lui dire, Seigneur ! » Sigismond répliqua : « Qu’est-ce que je dois savoir ? » « C’est des choses importantes sur moi ? » Sur vous ? Sur ma famille ? Le seigneur répondit : « Nous en parlerons au château de notre arrivée ce soir, attendons, rentrons… »

Le soir tombé, c’est au château dans la salle d’honneur où seuls Sigismond et le Seigneur Osmond sont en tête à tête que toute la vérité éclata. Sigismond dit : Que se passe-t-il ? J’ai besoin de savoir, je n’en peux plus de n’être au courant de rien, de passer pour un imbécile aux yeux des autres. J’ai l’impression que tout le monde sait tout et que moi, je ne sais rien ! Le seigneur Osmond répondit : Sigismond, tu es mon fils, je suis désolé de te l’avoir caché pendant toutes ces années, de ne pas t’avoir parlé, de ne pas t’avoir protégé. La vie a été très dure pour moi, c’est quelques années passées et je n’ai jamais rien voulu te faire subir, mais malheureusement, c’est aujourd’hui que tu souffres en sachant la vérité. Je vais tout te raconter :

Il y a une vingtaine d’années de cela, je me suis marié à ta mère Astrid, nous avons passé de merveilleux moments ensemble et des moments de peine, puis nous avons décidé d’avoir un enfant, c’est là que tu es arrivé dans ce monde, nous étions très heureux, mais tout ne s’est pas passé comme prévu. L’ancien seigneur de Varac s’est fait assassiner par un groupe de bandits et le seul à pouvoir prendre la relevé, c’était moi. Je suis donc arrivé au poste de seigneur de Varac, chose que ta mère n’a pas du tout appréciée, car j’étais courtisé et je vivais dans la noblesse. Nous avons donc fait chacun notre vie de notre côté, et en ce moment même, je regrette de ne jamais t’avoir dit tout ça en face : la vérité, simplement, est que maintenant, ils ne sont plus de ce monde et nous nous retrouvons

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Seigneur pour la vieChapitre2 messages | 4 mois

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