Que sont les symbiotes ou Klyntar ?

Les Symbiotes sont une espèce d'extraterrestres de fiction évoluant dans l’univers Marvel.

Il s'agit de l’espèce dont font partie plusieurs personnages, le plus célèbre étant Venom, tantôt ennemi de Spider-Man, tantôt allié. Le nom réel de cette espèce est Klyntar, désignés par le terme de « symbiote » en raison de la relation symbiotique que les Klyntar établissent avec leurs hôtes.

Les symbiotes, sont des créatures parasites prenant l'aspect d'une substance à la couleur variable selon les individus. Lorsqu'ils trouvent d'autres créatures vivantes, ils fusionnent avec ces dernières, les enveloppant et formant autour d'eux une sorte de costume quand ils veulent se manifester physiquement, au "repos", ils restent cachés à l'intérieur de leurs hôtes.

Une fois le symbiote accroché à son hôte, ce dernier voit toutes ses facultés décuplées (force, réflexes, etc) et développe un don de régénération. Dans certains cas, le symbiote développe aussi des facultés propres. (Le symbiote de Venom permettait par exemple de projeter de la toile d'araignée à volonté, hérité de sa fusion avec Spider-Man).

En contrepartie, le symbiote se nourrit de l'adrénaline de son hôte et augmente constamment son agressivité, le rendant de plus en plus sauvage. Très souvent, l'hôte d'un symbiote commet des horreurs qu'il n'aurait jamais osé commettre en temps normal, il en est horrifié lorsqu'il s'en rend compte. Peu à peu, le symbiote prend le dessus sur la personnalité de son hôte.

Les symbiotes possèdent cependant des faiblesses : ils sont vulnérables au feu, qui les consume facilement ainsi que les vibrations soniques suffisamment intenses qui peuvent les forcer à se détacher de leurs hôtes.

Au niveau reproduction, les symbiotes, étant asexués, ils se reproduisent par scissiparité une fois par individu, puis laissent leur progéniture se débrouiller. Ils n'ont pas le sens de la famille et peuvent se battre contre leur progéniture sans état d’âme, bien que ces dernières deviennent en général plus puissantes qu'eux en grandissant.

La liste des symbiotes/klyntars utilisés :

- Venom = Venin

- Carnage = Carnage

- Toxin = Toxine

- Scream = Hurler

- Agony = Agonie

- Riot = Émeute

- Lasher = Flagelleur, Fouetteur

- Phage = Éléments qui signifient « manger » (ex. anthropophage)

- HYBRID = Hybride = Qui provient du croisement de variétés ou d'espèces différentes.

- Scorn = Mépris

- Anti-Venom = Anti-venin

- Petit bonus, Klyntar = Enclin trop tard = (En)clin (trop) tard, on enlève ce qu'il y a "(En) (Trop)" et ça donne Clintard donc Klyntar. ( Je vous avoue, celui là, j'en suis un peu fière. )

Cela veut dire aussi que comme tout parasite, ce Klyntar, est "en trop", 2 êtres pour un seul corps, l'hôte de ce parasite voulant s'en débarrasser, car il a une des répercussions hautement toxique et négative sur sa vie jusqu'à la destruction de cette dernière.

Autre fait bonus intéressant, j'ai incorporé chaque symbiote au texte avec une règle, celle de les incorporer dans l'ordre de parution des comics pour suivre un ordre généalogique.

Explication sommaire d'un des sens du texte :

Je possède un venin qui a fait un carnage dans son entourage, une toxine grandissante depuis la première période sanglante,

(Le venin ici peut représenter, l'influence du symbiote qui mène à la colère, l'énervement excessif, la rage, tout cela peut conduire à une haine viscérale. Cette influence qui ne créée que conflit et violence en dégénérant chaque jour qui passe. Une toxine inoculée qui suit son chemin jusqu'à se diffuser dans tout le corps, le corps ici peut être aussi, la symbolique de la vie sociale, du corps de la vie sociale de l'hôte, d'où le carnage dans l'entourage de l'hôte, bien sûr tout cela se répandant et grandissant même au-delà du cercle social habituel, jusqu'à laisser l'hôte dans une profonde solitude comme une explosion qui se transformerais en implosion en bout de course.
La période sanglante faisant office de double sens, d'abord de cette période de destruction frénétique liée à la rage et à l'agressivité de l'hôte décuplée, de ce fait votre vie sociale se détruit, la relation avec vos proches aussi, mais plus que des relations détruites, leurs intégrités physiques, peut-être, mises en danger.
Le symbiote dans ce cas réclame toujours plus d'une certaine dose d'adrénaline due aux chocs émotionnels négatifs.

une émeute morose à laquelle plus je m'oppose plus elle s'impose, je sens cette chose en symbiose, hurlant, agonisant, flagellant tout autour d’elle.

(L'émeute représente justement l'opposition de l'hôte face à son parasite qui prend le contrôle de tout, mais plus la lutte dure plus l'hôte se fatigue et échoue dans son objectif, car le parasite se nourrit constamment de son hôte, des conflits qu'il provoque dans son entourage devenant de plus en plus fort et l'hôte devenant de plus en plus faible, car il perd sa force d'opposition individuel, mais aussi le soutien des gens qui lui sont le plus cher, de ce fait le symbiote devient trop puissant pour être réprimé, l'hôte ne pouvant que hurler et agoniser.
Devenant fou de rage et de désespoir, il se met à se comporter malgré lui comme le symbiote le veut, détruisant tout ce qui est à sa proximité peu importe la chose ou la personne présente dans son rayon quand le symbiote est affamé.)

Hybridage anthropophage, elle a dévoré en premier la personne qui lui était la plus chère dans son sillage.

( Je ne pense pas expliquer cette partie plutôt parlante, signalez le moi si vous la voulez. )

Maintenant que va-t-il se passer, l’anti-venin, existe-t-il ? Enclin trop tard, le passé est déjà présent. Ce pouvoir n’a pas été utilisé et maintenant nous devons en assumer les responsabilités.

("Enclin trop tard" étant déjà expliqué, attaquons-nous à "le passé est déjà présent", cela veut dire que les faits se sont déjà passés et donc tout s'est déjà inscrit au moment du présent de ce fait, tout est devenu inaltérable, mais aussi, ce qu'a fait le symbiote ultérieurement se reproduirait comme si l'hôte vivait dans une boucle temporelle tant qu'il n'a pas mis fin à ses jours ou éliminé le symbiote.

Le pouvoir qui n'a pas été utilisé est implicitement, le fait d'avoir des personnes qui vous aident de manière inconditionnelle et qui font la différence entre les actes de l'hôte et ceux du parasite, ceux qui vous aident à le combattre, et même à gagner, s'il n'y a plus de discordes et de tensions, le parasite ne pouvant plus se nourrir et s'affaiblissant, jusqu'à fuir l'hôte devenu dangereux pour la survie du symbiote, ironique non, tel est prit qui croyait prendre, la colère appellera toujours la colère, pour ce sortir de ce cercle vicieux, il faut soit une volonté, une détermination d'acier et une force d'opposition sans pareil pour faire aller les choses dans le sens dans lequel nous voulons qu'elles avancent, ce qui est loin d'être gagné, dans ce sens peu importe les obstacles ou le parasite qui vous gangrène. Briser ce cercle vicieux avec une ou plusieurs personnes qui vous fournissent un soutien et un amour inconditionnel dans cette guerre. Tout dépendra de votre force personnelle initialle. Peu importe l'issue de cette lutte, il faudra assumer les responsabilités qui en découlent.)

Je t’ai détruit alors que j’essayais de te protéger, je n’aurais pas dû l’écouter, ses sons m’ont paralysé.

(Que veut-on faire quand on sait que la personne la plus proche de nous peut être en danger ? On veut la protéger ! Maintenant imaginez que vous affrontez cette menace de toutes vos forces, que vous arrivez à lui assener des coups brutaux, fier de votre avancée sur l'ennemi, vous le regarder à terre, et là, l'illusion se dissipe et vous voyez la personne la plus chère à votre cœur, détruite, gisant a vos pieds, le regard plein de ressentiment et d'amère déception. Une musique s'arrête soudainement, une musique que vous croyez pourtant n'avoir jamais arrêté d'entendre, tellement présente à chaque instant que même dans le silence, elle se confondait à merveille, le regain d'esprit temporaire octroyé, car cet alien a obtenu ce qu'il désirait, repu de son met favori, vous laissant seul, tranquille temporairement, vous fait réaliser vos actions et que la menace, c'était vous, le danger, c'était vous, la musique, votre propre folie aliénée provoqué par le symbiote qui vous faisait faire ce qu'il attendait de vous. Et quand je dis aliéné, le mot est bien choisi.
En ce qui concerne la paralysie, elle est utilisée pour qualifier l'inaction de l'hôte contre le symbiote devenu obéissant au symbiote, ayant perdu tout esprit d'opposition ou de rébellion. Ces sons hypnotisant que lui seul entend et qui le mettent en rage selon le souhait de cet alien, ces sons, sont comme une mélodie répétitive, macabre et hypnotisante, le poussant à agir de manière démesurée et déraisonnée, paralysant et emprisonnant sa lucidité et sa force d'opposition. Les sons peuvent être interprétés comme des paroles, un discours qui tourne en boucle sans jamais aucun répit mais aussi comme les fameuses vibrations soniques et la propriété du son, qui elle, est censée chasser le symbiote qui se retourne contre l'hôte.)

Il ne me reste plus qu’à brûler pour t'avoir méprisé, un être détruit, le parasite avec qui tu t’es uni.

(Pourquoi brûler ? Car c'est une faiblesse naturelle des symbiotes, ils se consument très vite et meurent tout aussi vite à son contact.
Le mépris est utilisé comme ignorance aux cris de détresse des personnes qui se font détruire, même gisant à vos pieds.
Spectateur et prisonnier à l'intérieur de son propre corps, l'hôte est détruit lui-même par sa lutte intérieure perdue avec le symbiote, de par ce fait l'hôte a détruit l'être le plus cher à son cœur, deux êtres qui pourtant, c'était uni, s'aimaient et voulait se protéger mutuellement, mais ça, c'était sans compter sur les interventions destructrices du symbiote, l'hôte se sentant désarmé et inutile face à cette situation, il se considérera comme un parasite lui même à l'égard de ses proches, car il n'apportrait plus rien à part du négatif, comme ce parasite qui ne lui apporte que du négatif.
Un parasite, parasité, la boucle est bouclée.)

J’ai débarrassé le plancher, mais je n’ai pu me résoudre à détruire toutes tes effigies, les origines du mal, ont périt.

("J'ai débarrassé le plancher" comporte plusieurs sens, le premier, le sens est littéral, l'hôte a été exclu sentimentalement et socialement, il a été rejeter par pratiquement tout son entourage, car il ne voyait qu'en lui plus qu'un monstre ingrat et un paria néfaste, il a donc décidé de s'exiler.

Dans le second sens, c'est une référence à “Web of Spider-Man 1” et “Deadpool : Back to Black” le symbiote Venom doit se cacher en dessous le plancher d'une église pendant un certain temps pour survivre à une attaque sonique, qui a bien failli lui coûter la vie et qu'il le détacha de son hôte, Peter Parker alias Spider-Man.
Dès qu'il est remis, il débarrasse le plancher de cette église pour symbioter le premier humain venu à la recherche de son hôte originel.

"Je n’ai pu me résoudre à détruire toutes tes effigies" même traitement, primo, notre hôte parle des reliques du passé comme des photos et des souvenirs heureux qu'il n'a jamais pu détruire ou oublier.

Secondo, dans “Venom : Dark Origin”, Venom s'est réfugié dans une église, à l'intérieur de l'effigie de la vierge Marie.
L'image d'un tel symbole est très dualitaire dans notre cas, car elle représente un corps saint ou le mal a élu résidence dans le comics et là où le symbiote de notre hôte c'est réfugié, dans un corps qui était très loin d'être saint et encore moins sain de base, ce qui est un choix normalement très discutable pour la survie d'un symbiote, un symbiote préférant un hôte avec un potentiel optimal pour être plus fort, combattre et survivre efficacement mais comme vous l'avez remarqué le symbiote que j'ai créé est un peu spécial et répond à son propre code.
Quand l'hôte dit que les origines du mal, ont périt, je parle de l'hôte qui a mis fin à ses jours dans une église abandonner et a emporter le symbiote avec lui dans les flammes du purgatoire, comme ultime vengeance de tout ce qui la vécut et bien sûr lui offrant une certaine libération et une rédemption, avec une guerre enfin gagné mais a quel prix...

Cette fin est un hommage, au début de “Venom : Dark Origin" et "Deadpool Back to Black" car là où Venom se cachent dans une église pour recouvrir ses forces ou attendant un humain au potentiel optimal pour sa survie, notre symbiote meurt dans une même église celle-ci abondonné, au contraire de Venom qui recherche un hôte et donc a choisi un lieu de passage fréquenté.

De là, a pensé qu'il s'agit de la même église, il n'y a qu'un pas, qui vous appartient de franchir ou pas ! ( À vos hypothèses et théories dans les commentaires ! )

Le symbiote meurt donc par un feu a l'allusion biblique, image du bien contre le mal, David contre Goliath, ou encore dont le seigneur aurait aidés un de ses enfants dans une de ses maisons bien que abondonné, lui offrant la rédemption et la libération mais, aussi le pardon pour cet acte ( le suicide ).
La question du suicide est explicitement abordée par le catéchisme de l’Église catholique dans la troisième partie intitulée « La vie dans le Christ ». L’article sur le « respect de la vie humaine », qui évoque, dans l’ordre, la légitime défense, l’homicide volontaire, l’avortement et l’euthanasie et traite également du suicide.
« Le suicide est gravement contraire à la justice, à l’espérance et à la charité. Il est interdit par le cinquième commandement », est-il résumé au paragraphe 2325.
La position de l’Église catholique se fonde sur le principe que la vie est donnée par Dieu et qu’ainsi elle ne nous appartient pas. « Chacun est responsable de sa vie devant Dieu qui la lui a donnée », est-il écrit. « Nous sommes les intendants et non les propriétaires de la vie que Dieu nous a confiée. Nous n’en disposons pas.»
De ce fait, le suicide est fermement désapprouvé dans le catéchisme, car cet acte « contredit l’inclination naturelle de l’être humain à conserver et à perpétuer sa vie ». De même, il « offense également l’amour du prochain, parce qu’il brise injustement les liens de solidarité avec les sociétés familiale, nationale et humaine à l’égard desquelles nous demeurons obligés ». La doctrine catholique considère finalement le suicide comme « contraire à l’amour du Dieu vivant ».

C'est aussi une référence au titre de “Venom : Dark Origin", car dark origin est traduit en français dans les comics édités en France par "la naissance du mal", j'ai donc opté pour l'origine du mal qui un mixe des deux titres VO et VF et que je trouve mieux avec cette traduction, que celle officielle.)

Morale de l'histoire : Lors de certaines occassions, pour savoir contre qui on se bat dans la vie, il suffit juste de regarder dans un miroir.

PS : il y a d'autres sens à tout ceci dont je n'ai pas parlé, comme la relation fusionnelle partagée entre un symbiote et son hôte, que l'on peut voir aussi comme une métaphore du couple amoureux ou même une maladie psy appelée trouble dissiociatif de l'identité, mais je laisse ceux qui me liront trouver les autres éléments cachés et les expliquer, c'est plus amusant comme ça, comme je l'ai dit, c'était censé être une explication sommaire d'un des sens du texte au départ pour vous donner la marche à suivre, donc toutes les pièces du puzzle ne sont pas données, à vous de le compléter.