Gwendoranne retrouva l'étranger le soir, près du pont sur l'eau gelée. La glace était froide comme un mort. La brume dansait dans les flots glacés comme des écume de chevaux emprisonner pour toujours dans la bataille contre la congelation. On aurait dit la fin du monde, mais non. La ville dormait ou bien, elle ecoutait les contes pres du feu le soir, devant le foyer ardant. A l'époque on écoutait les épopais heroiques des anciens chevaliers qui avaient battus les forces du Mal.

L'étranger lui dit :

-- Alors comme sa l'anneau existe ?

-- Comment sais-tu, noble étranger ? cria Gwendoranne vraiment choqué. J'ai jamais annoncé la nouvelle à personne. Comment...

-- Ah ah , il coupa. Ne t'emporte pas, Noble Princesse. je ne vous est pas dit, j'ai un talent très très particulier. Je sais d'avance prédire le futur et l'avenir. Je savais que tu dirais sa. C'est comme sa, je n'y peut rien, c'est meme un malédiction pour moi car personne ne me croit. Ils disent que j'espionne !

-- D'accord. je sais comment utiliser ton talent. Ensemble nous partirons faire la Quête de l'Anneau.

La Princesse piégait l'étranger. Elle ne disait pas que l'anneau était chez le vieux Sage de la Tour car elle ne lui faisait pas encore confiance. Si il savait vraiment le futur alors...

-- Ah ah, je vois ton manèje , l'anneau est .... dans la Tour !! Donc pas de quête.

Gwendoranne fut soulager. Il disait la vérité avec son pouvoir.

-- Eh bien si, figure toi. Ce sera un Quête car le vieux sage est un puissant sorcier. Tu devras l'affonter seul dans la Tour et me ramener l'Anneau unique.

-- Je ne peux pas tout seul. L'anneau est trop puissant pour moi. Je serai tenté de l'utilisé et ...

-- Ai confiance, coupa Gwendoranne en souriant avec son visage d'ange. Tu sauras récompensée.

-- J'accepte

Elle sourit mais pas trop pour qu'il ne comprenne pas qu'elle le manipuler. Comme sa personne ne pourrait dire qu'elle avait volé l'anneau du vueix Sage ! Surtout son père, il n'aurait pas aimé que sa fille se comporte ainsi qu'une voleuse alors qu'il lavait éduquer avec les meilleurs percepteurs de l'Empire.

En vérité c'est encore l'étranger qui avait agit en cati mini. Elle allait le regrettrer.