Le petit chaperon -2

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Red s'enfonce dans les bois, ses rangers éparpillant les feuilles mortes du chemin. Elle fredonne les premières mesures de "Born To be wild" de Steppenwolf, la musique du fameux film Easy Rider. Sa grand-mère qui l'avait quasiment élevée seule lui avait fait découvrir le rock, le vrai, celui des années 60-70, Steppenwolf, Deep Purple, T-Rex, Creedence et tant d'autres.... en particulier Led Zeppelin dont elle possédait tous les enregistrements existants ! Un peu plus de 350 morceaux dont elle avait expliqué l'histoire de leur création, de leurs enregistrements et toutes les anecdotes les concernant à sa petite fille captivée. Red avait d'ailleurs fait modifier sa Harley pour y ajouter une sono de fou. Elle ne conçoit pas de rouler sans musique....

Bon, on s'éloigne du sujet, revenons à nos moutons... Tout en marchant, elle est soudain prise d'une furieuse envie de se soulager, les vibrations de la moto sans doute. Elle se dirige vers un bosquet de bouleaux, ouvre son jean, le baisse et s'accroupit. Ah que ça fait du bien de pisser, se dit-elle.

Elle n'avait pas vu que Jean-Loup, après avoir fini de mater la grand-mère, attiré par la pétarade de la moto l'avait suivie. Il l'avais vue disparaitre entre les arbres et l'avait suivie discrètement, curieux de ce qu'elle pouvait bien aller faire. Quand il l'avait vue ouvrir son jean et s'accroupir, il s'était approché discrètement. Le bruit l'excitait au plus haut point et, en se penchant un peu, il pouvait même voir le flot d'urine s'écouler. Les mains de la jeune femme étaient de chaque côté de sa chatte, elle avait les yeux fermés, comme si elle était en train de se caresser... Immédiatement il sent, une nouvelle érection naitre dans son pantalon. Lui aussi il l'ouvre et prend sa queue en main et commence à se masturber frénétiquement devant le spectacle qu'il a devant les yeux. Il ferme un moment les yeux pour savourer le plaisir de sa caresse et quand il les ouvre à nouveau, il n'y a plus personne devant lui... Elle a disparu ! Mince... Et c'est alors qu'il se sent décoller de terre, propulsé par un magistral coup de rangers entre les fesses.

-"Alors vieux pervers, on s'amuse à mater les jeunes filles en train de pisser dans les bois ? Ça t'excite vieux cochon de voir une fille accroupie, les cuisses ouvertes ? Surtout qu'elle est bien impuissante dans cette position... Tu vas voir si je suis impuissante, mon coco..." Fait Red en l'attrapant par le col et par la ceinture en le ramassant.

"Je connais quelqu'un qui va bien s'amuser avec toi. Elle va être ravie du cadeau que je vais lui amener."

Elle n'a l'air de rien cette Red, enflée comme une allumette. Elle a été bien élevée par sa grand-mère pour qui, une fille doit savoir se défendre contre n'importe quel mec. Donc, mince, fine mais ce n'est que du muscle... et du muscle bien entraîné par plusieurs heures de sport de combat hebdomadaires. Sans compter des heures passées à soulever des haltères, de la fonte comme elle dit. Trimbaler le Jean-Loup, la queue à l'air en le portant par le col et la ceinture semble vraiment être de la rigolade pour elle. Elle arrive devant la maisonnette de sa grand-mère et cogne la tête de sa proie contre la porte pour frapper.

-"Mamie, c'est moi, je t'apporte du champagne et un cadeau."

-"Entre, Red ma chérie et montre-moi ce que tu m'as apporté."

Elle entre et laisse tomber Jean-Loup sur le sol. celui-ci se recroqueville et tente de cacher sa queue entre ses mains. Il ne le montre pas, mais cette situation l'excite. Il vient en plus de s'apercevoir qu'il a été amené dans la maison de celle qu'il avait observé en train de se caresser quelques temps plus tôt. Il se demande quel va être son sort quand il entend dire :

-"Mets-le dans le cagibis pour le moment ma chérie, j'en ai déjà un en route...."

Red se penche un peu vers la porte entrouverte et découvre un homme attaché sur une croix de Saint André, les fesses apparentes avec déjà quelques marques de cravache. Elle prend son "colis" et va l'enfermer dans un cagibis attenant à la "chambre spéciale" de sa mamie. Ah oui.. Comme je vous l'ai dit en début de cette histoire, Marie, sa grand-mère était connue comme "Madame Marie", une Maitresse femme qui savait satisfaire les soumis les plus difficiles. Elle s'était rangée des voitures mais, ne dédaignait pas, de temps à autre, recevoir des anciens clients. Ça lui permettait d'arrondir un peu sa retraite et de ne pas perdre la main. Et puis, ça la faisait aussi mouiller de voir ces hommes à ses pieds, quémandant qui une fessée, qui des coups de cravache, qui de se faire prendre par un gode ceinture. Elle avait même un ancien ministre dont le péché mignon était de venir faire son repassage nu, après une bonne fessée et avant de se faire fister par la Maîtresse... Chacun ses goûts...

Jean-Loup se retrouve dans le noir, dans une pièce qui fait à peine 1 mètre carré. Un mélange de crainte et d'excitation l'envahit. Il a lui aussi aperçu un homme attaché sur cette croix de Saint-André avant d'être jeté dans cette pièce sombre. Il tient peut-être l'occasion de satisfaire un de ses fantasmes secrets. Mais en même temps, Dieu sait de quoi sont capables ces deux bonnes femmes. C'est la jeune qui l'inquiète... Elle doit être capable de tout celle-là. Au moins la vieille doit être plus raisonnable... quoique, au vu de sa salle de "torture"....

-"Ma chérie, tu me donnes un coup de main pour "finir" celui-là avant qu'on passe au tien ?" demande Marie à sa petite fille.

-"Avec plaisir, Mamie, j'aime bien t'aider moi... Tu veux que je fasse quoi ? Que je prenne la cravache ou autre chose ?"

-"Oui, ma chérie, prends la cravache, le temps que j'enfile ce gode ceinture"

Red saisit la cravache qui était au sol et en éprouve la souplesse entre ses mains et s'approche de l'homme attaché. Vous en vous doutiez, il s'agit de Robert, le gendarme retraité qui a ramassé les champignons et le lapin pour Marie, en espérant qu'il pourrait profiter à nouveau de ses services, lui qui était un ancien bon client. La cravache claque sur ses fesses, sur ses cuisses. Il gémit de plaisir et bande de plus belle. Putain que c'est bon...

Mamie arrive, nue mais habillée avec un gode-ceinture noir, en cuir. Red arrête ses coups et s'approche de Robert en lui disant à l'oreille :"Cambre toi, mon petit, ça va être la fête de ton cul"

Aussitôt, Robert, habitué à obéir sans discuter aux ordres de sa Maîtresse , se cambre et écarte les jambes. Marie s'approche de lui et d'un coup s'enfonce entre ses fesses jusqu'à la garde. Dans un hoquet, Robert accepte cet envahissement qu'il attendait. Sa queue et ses couilles sont devenues dures comme de la pierre. Red se met accroupie à ses côtés et lui caresse doucement les couilles.

-"Tu aimes ça, mon cochon, une grosse queue dans ton cul ?"

-"Oh ouiii", gémit-il

-"Oui, qui ?" fait-elle en lui donnant une tape sur ses couilles tendues

-"Oui, Madame" gémit-il

-" Voilà un gentil garçon" fait-elle en lui caressant à nouveau les couilles, pendant que sa grand-mère accélère ses va-et-vient dans le cul de la maréchaussée. Red se lève et détache un des poignets du gendarme pour lui permettre de se caresser.

-"Vas-y, tu as le droit de te faire jouir", lui dit Red

À peine sa main se pose-t-elle sur sa queue tendue que Robert explose et envoie des milliards de futurs petits gendarmes sur le sol dans un grognement. Au même moment Mamie se plonge au plus profond dans son cul, comprimant sa prostate et lui permettant de se vider totalement les couilles. Il ne sera pas venu pour rien dans la forêt aujourd'hui, Robert...

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