Béthamy et la particule du noble.
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Nue, face à une nature encore assoupie, elle s'étira longuement, offrant son corps aux timides rayons du soleil d'automne.
En communion avec son milieu, elle péta férocement, rugissement sonore, comme venu des entrailles de la terre.
Quelques feuilles rousses se détachèrent des branches.
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