Chapitre 4 : L'éveil

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Alors que le petit groupe, composé d’Amset, Aswad et Nazim quitté Kashaam, à Sepsaï, dans le temple, une voix ferme et féminine, s’élevait dans les ténèbres.

- Réveil toi ... Allé, réveil toi ! Le moment est venu …

Comme secoué par la voix, la jeune femme, plongé dans le noir, ouvrait lentement les yeux. Autour d’elle tout était sombre, elle ne voyait rien. Les chaînes qui lui maintenaient les poignets lever vers le ciel, s’entrechoquait lorsqu’elle essayait de bouger. L’odeur de renfermé et la lourde chaleur de l’endroit la prenait au nez et lui fit lâchée un léger gémissement. Assise là, au centre de cette salle, sans pouvoir bouger, elle regardait l’espace qui l’entourait.

- Ou, … ou suis-je ? …

Dans le noir, bien qu’elle ne pût voir quoi que ce soit, elle ressentait près d’elle une présence. Une présence qui l’enveloppait.

- Allons souviens toi. Souviens-toi de la trahison, de la douleur …

- La, … trahison …

Semblant reprendre ses esprits, et par la même occasion se souvenir de son passé, elle laissé échapper des larmes le long de ses joues. La colère se mélangeant à sa peine, elle se mit alors à hurler. Un cri douloureux, terrifiant et long qui résonné dans l’espace vide dans lequel elle était enfermé.

- Relève toi … l’heure de ta libération est proche.

La jeune femme, écoutant la voix qui semblait la soutenir, se relevé alors et tout en hurlant, tiré violemment sur les chaînes qui la maintenait prisonnière. De plus en plus fort, lorsqu’une force surhumaine s’introduit en elle et brisé le bloc de pierre auquel les chaines avaient été accroché. Ce dernier retombé sur le sol autour d’elle avec fracas. Le bruit sourd de cet effondrement à l’intérieur du temple, atteignait les oreilles des hommes du prince qui gardé les alentours.

- Quel était ce bruit ?

- On aurait dit… un effondrement…

- Que se passe-t-il dans ce lieu maudit ?

Les soldats, peu rassuré fixait alors l’endroit, et avec attention tendais l’oreille. L’espace d’un instant, le cri perçant de la jeune femme leurs arrivé et fit glacer leurs sangs. Certains pris de panique reculé en tremblant, d’autres s’uriner dessus, restant figé de peur face à la bâtisse hurlante.

Perdu dans le noir, la jeune femme, trainant ses longues chaînes rouillées avancé à tâtons dans l’obscurité. Se retrouvant face à un mur elle suivait ce dernier, espérant trouver une sortie. Elle marchait longuement en suivant le mur de pierre, mais réalisé bien vite qu’elle tournait en rond. La brutale réalité la prenait alors.

- Emmuré, … je, je suis emmuré vivante ! non, … non-pitié aider moi !

Frappant le mur de toute ses forces, en sanglot et paniqué elle hurlé à l’aide en vain.

- Personne ne te sortira de là.

- Je vais mourir, ici ?

- Non tu ne mourras pas, car je suis avec toi !

- Mais qui êtes-vous ? Pourquoi m’aidez-vous ?

- Qui je suis ? Mais je suis toi, et maintenant, cesse les lamentations, ferme les yeux et abat ce mur qui se dresse sur ton passage.

- Vous êtes, moi ? … je ne comprends pas, Je ne peux …

- Fais-le !

Obéissant à cette voix, elle fermait les yeux et frappé aussi fort qu’elle le pouvait dans celui-ci. Le coup puissant fit alors trembler l’édifice, créant une onde de vibration qui s’étalé jusqu’au village. Sous leurs pieds les soldats armés pouvaient les sentir et reculé en fixant le temple.

- Commandant ? Commandant que ce passe-t-il ?

- On dirait qu’une chose essaie de sortir … il faut prévenir le prince au plus vite !

Le mur de la salle ou était enfermé la jeune femme s’effondrais alors sous la force des coups qu’elle donnait, mais la lumière du jour était encore loin. Une autre salle murée lui faisait maintenant face. Dès lors qu’elle entrait dans celle-ci des projectiles lumineux vinrent enflammer quelques torches se trouvant là. Aveuglant la jeune femme, ces dernières qui éclairé maintenant cette grande salle, laissé visible un sol sableux. Les murs de pierre nu, renvoyait toute la froideur de l’endroit. Lorsque sa vue s’habituer enfin à la lumière, la jeune femme descendit le petit escalier et enfoncé ses pieds dans le sable frais. Se rapprochant du mur en face d’elle, elle frappé de nouveau dans ce dernier. Le sable a ses pieds prit alors une couleur noire et un grondement sourd ce fit entendre, alors que les coups violents, effrayer davantage les soldats. Les habitants du village sortaient de ce dernier, et observait le temple avec inquiétude. La zone de mort autour de l’édifice, prenait, elle aussi une couleur noire et dès lors, les spectateurs inquiets, purent voir une énorme pierre être projeté au loin. Au même moment, tout le sable contenu dans le temple s’échappé alors. Du sol, il s’élevé en une violente tempête, et venait s’abattre sur les villageois et les soldats. Leurs cris retentissaient, s’élevant dans les airs, mais hélas, nul ne les entendait. Tous couraient se réfugier dans leurs maisons, ou n’importe quel autre endroit pour se protéger du sable. Les animaux à l’extérieur hurlé de douleur et s’écroulaient en un instant. Le sable noir sur la peau des hommes, femmes et enfant leurs donnaient des sensations de brûlure intense, aussi rapidement, tous venaient comme il le pouvait rincer leurs corps endoloris.

Tous les cadavres furent propulsés dans les airs et venait s’abattre comme une pluie sordide, sur les habitations, et dans les rues. Le vent chaud du désert était devenu brûlant et le son qui provenait du sable noir, gorgé de miasmes, ressemblait aux rugissements d’une meute de lion. Recroqueville contre les murs de leurs demeures, les habitant priaient les dieux de leurs venir en aide.

- Par tous les dieux, quel mal avons-nous commis pour mériter un tel sort !?

Alors que la tempête s’abattais sur le petit village, la jeune femme, maintenant libre sortait du temple. Son regard fut attiré par les hurlements des habitants et lorsqu’elle fixait le sable ravagé le bétail et ensevelir la petite cité paysanne, elle prit une profonde inspiration et se mettait à rire à gorge déployé.

- Souffrez ! Vous les chiens de pharaon, souffrez !

Sa silhouette seulement visible à travers le sable, elle s’éloigné enfin en s’étirant, avant de disparaître à l’horizon. Alors qu’elle s’éloigné, un soldat bravé la tempête sur ordre du commandant pour rejoindre le prince et lui portait le message urgent.

Après deux jours de tempête incessante, violente et effrayante, le calme semblait être revenue. Dans les rues le sol était couvert d’une épaisse couche de sable noirci. Le commandant regardant à l’extérieur sursautait soudain lorsqu’un cadavre en décomposition lui tombé dessus alors que le sable s’écoulé sur eux, dans la pièce de vie de la demeure du doyen. Se relevant rapidement il reculait en essuyant sa tenue, haletant légèrement.

- Tout va bien mon brave ?

- Oui, ça va vieil homme. Comment va votre corps ?

- Douloureux, mais ce n’est pas une nouveauté pour moi.

Ce mettait-il à rire légèrement, ce qui eut l’effet de faire sourire le soldat.

- J’espère que mon homme a pu rejoindre son altesse …

- Que s’est-il passé commandant ?

- Une chose est sortie du temple. J’ignore ce que c’est mais j’espère que le prince aura trouver comment stoppé ce mal… car maintenant, ce dernier est en liberté …

Dans les heures qui suivaient la fin de la tempête, les habitants. Malgré leurs douleurs, ils débuter le nettoyage des rues de leurs villages. Ainsi se munissant de sceau, et autres ustensiles il déblayaient les accès des habitations, ou certaines familles étaient encore bloqué. Les brûlures sur leurs corps, causé par le sable deux jours plus tôt, commençais à s’infecté. Les démangeaisons débutées, aussi lorsqu’ils se grattaient, ils venaient jusqu’à s’arracher la peau causant par la même occasion, une surinfection.

Le soldat messager, ayant réussi à quitter la tempête et dont le corps était douloureux s’arrêter au bord du Nil pour le rincer, la sensation de l’eau sur son corps brûlé, le fit gémir de douleur, il haleté et souffrait le martyr. Pourtant il devait à tout prix apporter ce message a Amset, aussi il reprenait la route vers Kashaam, marchant lentement tout en trainant les pieds. « Je dois, je dois tenir et remettre ce message … », ne cessait-il de pensé afin de résister à la douleur. Sur sa peau les plaies laissées par le sable le démangeais et des cloques était apparus. N’ayant aucun médecin auprès d’eux, les habitants espéraient simplement recevoir l’aide rapide de son altesse. Mais leur calvaire ne faisait que commencer.

Dans la nuit les menants au troisième jour, les plus jeunes furent touché par la lèpre, celle-ci s’étendait en une nuit à tout le village. Au matin, les corps des infecté commençais à ce nécrosé, lentement, principalement là où les infections étaient les plus grande. La nécrose se répandant sur tous leurs corps en quelques heures seulement. A la mi-journée, certains vomissaient du sang. En petite quantité, puis au fil de la journée, abondamment. Le mal étaient si douloureux que certains se donnaient la mort pour s’en libérer. Le village n’était plus qu’un terrain de lamentation et de gémissement douloureux. Le commandant, résistant au mieux à la maladie, se tenait debout contre le mur en brique d’une maison, à l’entrée du village, espérant voir arrivé les secours. Ses hommes, dont certains avaient survécus et tenaient encore debout, enlevé les dépouilles les regroupant toute en tas en retrait des habitations.

- Que quelqu’un nous vienne en aide … ô dieux, déesses, libérez nous …

Expirant ses dernières paroles, le commandant s’écroulé au sol, les jambes en lambeau, tant la nécrose était importante. Les mères hurlant de douleur, lorsqu’elles devaient se séparé des petits cadavres de leurs enfants, ne supportaient plus la situation et commençais à s’en prendre aux hommes armés.

- Vous étiez censé nous aider ! où est donc le prince !?

- Allons calmez-vous ! nous comprenons votre douleur, mais …

- Mais quoi ? Vous ne comprenez rien ! le prince nous avait promis son aide, il nous a juste abandonné à notre sort !

Trois jours plus tôt, dans le désert près de Kashaam, le prince et ses accompagnateurs, venaient à arriver au temple du Kasharam. C’était un lieu magnifique, plein de couleurs, aux statues d’or qui brillé de mille feux sous les rayons du soleil. La bâtisse à moitié ensablé, attiré le prince comme si une force inconnue semblait l’appeler.

- C’est un lieu magnifique, je n’avais jamais vu tel merveille auparavant …

- Malheureusement il n’est pas tout près du village et l’entretenir se trouve être impossible.

- Je comprends bien cela. Alors c’est là qu’il repose ?

- Oui, j’ai apporté avec moi, un plan de sa construction. Cela vous aidera à vous repérer dans les différentes salles.

- Je vous remercie.

Prenant le plan, le prince, après être descendu de sa monture, se dirigé vers l’entrer de l’édifice. Sur le seuil, il put apercevoir devant lui, une immense salle plongée dans l’obscurité. Pourtant dès qu’il eut mis un pied à l’intérieur, toute les torches s’étaient enflammées d’un coup. A cet effet, il sursauté légèrement, serrant contre lui le papyrus enroulé. Les bas-reliefs sur les murs étaient minutieusement peints et incrusté de pierre précieuse, une immense statue de Ptah trôné fièrement en face de l’entré et à ses pieds un escalier menant à une autre salle en sous-sol. Amset fasciné par ce lieu, avancé lentement vers la statue divine. Celle-ci semblait comme le suivre du regard tant son air été réaliste. Lorsqu’il levait les yeux vers elle, et plongé son regard dans le sien, un profond silence s’installé autour de lui, son esprit semblait vide et il eut la sensation d’être entre les mains du dieu créateur.

Aswad, qui l’avait suivi le fixait et s’approchait de lui.

- Mon prince ? Mon prince tout va bien ?

Voyant qu’il ne lui répondait pas, il attrapé rapidement son épaule, ce geste ayant pour effet de sortir le prince de son état de trans.

- Quoi ?

- Vous allez bien ?

- Oui, oui ça va … regarde cette statue. Tu ne trouves pas qu’on dirait qu’elle est, vivante ?

- Vivante ? Elle est très bien réalisée c’est vrai, je la trouve inquiétante personnellement.

- Inquiétante ?

- Oui, on dirait presque qu’elle nous suit du regard …

Amset se mit à rire aux propos du soldat. Ce dernier tournait le regard en se frottant la tête.

- Ne riez pas, je vous assure que … c’est vraiment malaisant.

- Quel idiot tu fais. Tu as la trouille d’une vulgaire statue… et de Ptah en plus. Tu crois peut-être qu’elle va se levait tout à coup et te courir après ?

- Vous croyez que c’est possible ?

Le fixant un peu surpris, il riait de plus belle ayant l’impression de revoir l’enfant qu’il était auparavant. Sans dire un mot de plus, il soupirait légèrement essuyant une larme au coin de son œil avant de descendre le grand escalier. Aswad le fixait et relevait la tête pour regarder la statue. Le regard de cette dernière venait alors se poser sur lui. A cette vision, il sursauté et se mit à courir vers son prince.

- Altesse ! Attendez-moi, ne me laissez pas tout seul ici !

- Bon sang Aswad, je te rappel que tu es un soldat pas une femme !

- Ce lieu est inquiétant, il émane ici quelque chose de …

- Magique ?

- Effrayant.

- Si tu as trop peur alors sort d’ici !

Arrivant au pied de l’escalier en pierre, ils arrivaient dans une nouvelle salle qui, comme la précédente, voyait les torches s’enflammé toute seule. Illuminant ainsi la salle, le prince put apercevoir de nombreux objets, meubles et autres accessoires. Au milieu de tout cela, le sarcophage du magicien, en or et pierre précieuse été fièrement installé. Les bas-reliefs sur les murs, semblaient différent aux yeux d’Amset. Celui se rapprochait alors d’un des murs et l’observait longuement. On pouvait y voir peint, le kasharam accompagné de sa belle épouse qu’il semblait guidé vers sa dernière demeure. Parcourant les autres fresques, il réalisé qu’il y avait dans ces dernière un message caché. Ptah était également représentait aux côtés du kasharam, ou du moins se tenant toujours dans son ombre à chaque représentation de l’homme. L’une d’elle représenté d’ailleurs ce dernier, vieux et tenant son sa main droite un parchemin et dans l’autre une espèce de bourse. Il se concentrait alors sur l’image qu’il avait devant lui et remarquait l’arrière-plan de la peinture.

- Quel est cet endroit ?

- Je, je ne sais pas mon prince… pouvez-vous faire vite s’il vous plait ? Je sens vraiment …

Agacé par le comportement effrayé d’Aswad, ce tournait vers lui posant les mains sur sa taille, tout en le fixant en fronçant les sourcils.

- La seule chose que tu vas finir par sentir c’est ma main sur ton visage si tu continu ! tu es insupportable ! Cet endroit n’a rien d’effrayant !

Le soldat qui relevait les yeux vers les bas-reliefs, comme précédemment avec la statue vit la peinture de Ptah tournait la tête vers lui et le fixé. Il reculé alors en criant la pointant du doigt.

- Altesse ! il, il a bougé. Par tous les dieux je vous jure qu’il a bougé !

Ce tournant pour fixer le mur, la peinture semblait normale, aussi Amset soupirait et tournais le regard vers le soldat.

- Tu es vraiment … sort d’ici ! Et demande à Nazim de me rejoindre ! Je veux savoir s’il connait ce lieu …

- Mais, altesse, …

- Fais-le ! avant que je ne perde vraiment patience Aswad ! c’est un ordre !

- Bien, …

Il se relevait donc à l’ordre du prince et rapidement partie en courant. Amset attendant sur place la venue de Nazim, il observé de nouveau la peinture de Ptah et sans vraiment savoir pourquoi s’adressait à elle.

- Il ne faut pas lui en vouloir, ce n’est qu’un simplet après tout. Comment pourrait-on avoir peur d’un dieu tel que vous.

Alors qu’il discuté, seul avec lui-même, le bruit d’un objet qu’on déplace se fit entendre derrière lui. Lorsqu’il se tournait, la momie du Kasharam, couvert de bijoux et dont quelques bandelettes de lin pendante ne cachant plus son corps momifié, se tenait face à lui et avant même qu’il ne puisse hurler ou faire quoi que ce soit, celle-ci venait prendre son visage entre ses mains squelettique et collé son front au sien. A cet instant, alors que son regard était attiré par les orbites vide et sombre de la créature, il eut comme une vision de l’endroit peint sur le mur, et une voix, l’invité à rejoindre ce lieu.

- Ô prince d’Egypte, le mal ce répand. Pour le stopper, rend toi en ce lieu où je t’attendrais.

En arrivant dans la salle, Nazim trouvait alors le prince assis au sol, contre le mur, le corps tremblant et le visage comme choqué.

- Mon prince ? Mon prince que vous arrive-t-il ?

Il accourait vers lui et posait une main sur l’épaule du prince. Autour de lui tout était à sa place et la momie avait disparu. Reprenant ses esprits le prince tournait lentement la tête vers Nazim et le fixait.

- Mon prince ?

- Je, je vais bien, ça va. Je …

Tournant la tête de nouveau vers le mur, il se relevé, ses jambes encore tremblantes ne le maintenait que très mal debout. Nazim qui l’aidait à s’appuyer sur lui le fixait sans un mot.

- Nazim, dit moi. Quel est ce lieu ?

- Le lieu sur la peinture ?

- Oui.

- Il s’agit du temple de Nekhbet mon prince. Personne n’ose y mettre les pieds car il y a certaine légende sur cet endroit.

- Quel genre de légendes ?

- Ce temple serait protégé par la magie du Kasharam. Il aurait créé pour servir de tombeau a son épouse. Et afin que nul ne vienne perturber le sommeil de sa belle, il aurait enveloppé l’endroit d’un puissant sort.

- Ce sort, quel est son effet ?

- Il donnerait vie aux statues qui se trouve dans le temple afin de chasser les intrus.

- Pourriez-vous … m’y conduire ?

- Je, je peux vous indiquer comment vous y rendre mais …

- Ne vous en faites pas, même seul je m’en sortirais …

Fixant une dernière fois le mur, il ressortait finalement avec l’aide de Nazim. Il l’aidait alors à s’assoir à l’extérieur du temple et lui tendait une gourde en peau de bête. Amset la prit et buvait de grosse gorger avant de soupirer.

- Mon prince vous vous sentez mieux ?

- Oui merci Nazim.

- Que s’est-il passait mon prince vous vous êtes sentis mal ? Je savais que je n’aurais pas dû vous laisser seul c’est de ma faute je suis prêt à recevoir une punition, celle que vous voudrez.

- Aswad, vas-tu te taire bon sang ! je vais bien ! Nazim, nous devons rentrer, je dois me rendre à Nekhbet le plus vite possible.

- Mais pourquoi ce lieu, vous pensez que … ?

Nazim le regardait et semblais comprendre que le prince avait fait une découverte.

- Oui, je le sais car c’est le Kasharam lui-même qui m’a invité à m’y rendre.

- Vous, Vous avez parlé au Kasharam ?

A cette information, Aswad fixait le temple et eu un frisson. Nazim lui souriait aux dires du prince et levait les yeux aux cieux comme pour envoyer des remerciements à son aïeul. Aussi après un peu de repos, ils reprenaient la route vers Kashaam ou ils allaient préparer un nouveau périple. Direction, le temple de Nekhbet.

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