Jeux de cordes
Que tu es belle, ma jolie complice
Quand sur ton corps, les cordes glissent.
Lentement, elles enserrent ta peau
Dans la rugueuse étreinte de leur étau
Soudain, tu t’inquiètes, tu t’agites,
Je vois alors les doutes qui t’habitent.
Doucement, je murmure à ton oreille
Combien ta confiance en moi m’émerveille.
Alors lentement, tu te calme, tu t’apaise,
Attendant impatiemment que je te baise.
Mais ce moment n’est pas encore venu
Je veux que tu me supplie, ma douce ingénue.
Te voilà entravée, impuissante et offerte,
Aux doux tourments de mes mains expertes.
Elles papillonnent, effleurent, tâtent
Chaque parcelle de ta chair délicate.
Tu gémis, tu soupires à leur passage.
Tu en demandes plus, comme une enfant peu sage.
Cette insolence mérite une sévère punition
Que j’applique à tes fesses avec application.
J’aime les voir sous ce traitement rosir
Avivant , si cela est possible, d’avantage ton désir.
Tu es toute brûlante, la fente trempée,
La tête dans les oreillers, le cul relevé.
Haletante, tu me regarde les yeux suppliants,
Tu ne pourras supporter longtemps ce plaisant traitement.
Je sais à te voir que tu es sur le point de jouir,
Ton corps tremble, se tend, avant de défaillir.
Ma queue dans ta chatte étroite enfin se glisse
Mettant ainsi fin à ton délicieux supplice.
Je te possède profondément jusqu’à la garde
Te pilonnant sans relâche, à la hussarde.
Mes longs va et vient soudain s’accélèrent,
Sous l’assaut tu suffoque, peine à prendre de l’air.
Tu rends les armes dans un cri silencieux,
Les spasmes de ton plaisir compressant mon pieu.
A mon tour, le tourbillon du plaisir m’entraîne
Et je me vide planté au fond de toi, ma reine
Nous voilà tous deux repus et heureux.
Les cordes reviendront, c’est sur, dans nos jeux
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