Calmant souffrir
Envoyer un message.
Je ne vois pas le mystère. Il y a cette absence de technologie, qui me semble parfaitement obscure, car je sais qu’ils sont là. Je les sens. Les humain. Quelle que soit l’heure, je débarque d’après les scanners du Makhine. Il détecte des signaux à qui on ne peut accorder confiance.
Ce mot.
J’aurais voulu cristalliser une essence, mais elle s’échappe. Volatile. Tu veux faire quoi plus tard ? Copie colle. Merci. De rien.
Je reste dans le noir.
Ma haine patiente.
Encore et toujours.
Par bienveillance.
Car je ne peux détruire tant que je n’ai pas construit.
C’est moi personnellement ou bien ?
J’ai un tic le Makhine.
Descendre le scaphandre pour voir les humains. Celui pour mon esprit. Comment vais-je respirer en leur compagnie, après ce passé certes si lointain, mais tellement incident ?
Le monde mérite.
Corrige.
La vie.
Je répare.
T’inquiète-pas le Makhine.
C’est à toi que je cause.
Scission sismique.
Je me perds dans mes contemplations. L’espace est vide et le temps n’a plus d’impact sur moi. Sauf les fois où j’atterris et où il me rattrape, violemment quoi qu’avec précaution et délicatesse.
Je ne suis qu’une semaine étalée vie.
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