- Où noumènes-tu ?

Je ne sais que répondre.

Désormais plus rien ne fonctionne. Il n’y a que l’erreur, l’obscure oraison qui dénature les saisons et récure la prison de mon cortex plongé à froid dans un passé qu’il se croyait prêt à affronter. Il n’en est rien. Plus les saveurs disparaissent autour de moi par leur souvenir. Et plus je meure de bouillonnement.

La formule de l’idée. Encapsulée par je ne sais quelles ténèbres. Un facteur déterminant. J’ai besoin. De. Tatout. Ralentir. Les pulsations. D’un accent de vie. Qui un peu trop molasson. Se sentirait bien de conspiration. Par delà de son déficit.

Familièrement, instinctivement.

Alunir maladroitement. Et se relever sans enivrement. Envenimer sans pimenter. Ou l’inverse sans conspirer. Je ne sais contre qui pour je suis. Alors je sautille d’un à l’autre, moi et eux, nous et notre passé. Sans distinction. Je fais pourtant pas. La jonction.

Initialement paradisiaque, l’idéal se tache de fatras amalgamés dans l’infernal spirale des illusoires passoires débridées par retard au filament terre de nos passions dégénérées par exquises excuses esquissées à l’écluse de nos pensées masquées.

- J’abuse encore un peu, mais je ne suis pas sûr de suivre tout ce.