Quelque chose fatigué oh merde (cf Ivanitch)
Un titre à démon.
Baron des millions.
Au revoir Grayaïde. Fut et au revoir la terre. Où vais-je maintenant ? Une galaxie passée forcément au futur rattrapé au fur et à mesure que j’avance dans l’espace de mes traces matricielles.
Minuscule car minuscule.
Jamais je n’aurai la prétention. Alors je baisse mes armes et le délire total est radical. Il n’y a de professorat dans la recherche. De la proésie d’original. Moi merde papier partout par terre et des.
Mais comment. Quelle motivation ?
Mer de mes sentiments, le Flow. J’aime pas. J’aurais voulu. Un quelconque autre prisme que celui qui me constitue. Je suis tatout. Je me sers je ne sers. Alors le voyage perds de son intensité car je m’en approche.
Les compères sont réunis et je les distingue. Moi avec eux et avant. Des histoires complaisantes mais prisantes et trop tôt tribulationnées ? Je ne suis que ce corpus transitoire bien placé dans mon identité.
Quels sont ces mots que j’entends dans ma tête. Je ne suis pas moi. Je vous le dis et le répète. Accédez à cette illusion. Nous sommes. Connectés. Dieu.
D’ailleurs j’arrive à la fin.
Fin de rien.
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