J'aurais lu la Réalité
Coincé dans l’espace.
Je pourrais aller aux confins.
Mais ne crains que ce soit le fins.
Alors je remplace.
Mon triste destin.
Qui célèbre le soin.
D’un mal rapace.
Célèbre pour son bien.
Ses erreurs de rien.
Et sa carapace.
Que nul ne parvint.
Si ce n’est en vain.
À gémir de grâce.
Comme ici survint.
Un élément divin.
Pour élever la race.
Commune aux humains.
Aux non humains.
À toutes les classes.
De genre et de gains.
Correspondant j’y viens.
A l’effervescence grasse.
Qui décline les malins.
En de tristes matins.
Les tournant de limaces.
Pourqu’autant ce terrain.
Se doivent d’être serein.
Une sombre menace.
Vient délivrer le chemin.
Qui s’élève dans les mains.
D’un oracle tenace.
Correspondant au lendemain.
Comme jamais d’aucun.
Sur le travail prélasse.
D’un mouvement taquin.
Car la joie se plait qu’un.
Grand bien leur fasse.
Avant d’estimer pain.
Laissent un étrange sapin.
Qui oublie la préface.
D’un projet mesquin.
Qui voudrait les desseins.
D’une entité de masse.
Pour laquelle des fantassins.
S’occultent les dessins.
De faculté d’impasse.
Jusqu’à la racine du sapin.
Tellurisé en train.
Sismisé par crevasse.
Plus que cet espoir teint.
D’un relevoir en festin.
De ma surface.
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