Pour parvenir
Mes aspirations chronométrées dans l’absence de temps. Tic-tac absent de mon moment. Ding trois heures tapantes dignes d’un don ; dingue des digues Dong rappel.
Brader demain ne servirait qu’à mes traductions spontanées envieuses d’une finalité à acquérir. Ce jour à venir sans cesse repoussé parce qu’il y aurait des facilités à délivrer de leurs cécités.
La paix jamais concertée se retrace ici dans mes effusions ; mais les questions ne sont-elles pas irritations de la réalité face à son incompréhension d’elle-même ?
Aurore d’une nuit sans obscurité.
Je Flow encore un peu.
Même si son souvenir ne veut.
De moi à vous qui me retracez métaphysique, je crée le lien entre nos mondes. Quant à l’acteur de mon univers, auteur de vos lampadaires… il serait invisible malgré son évocation. Je suis là.
Dis-je à je ?
Qu’un étroit passage ne saurait spéléologiser le flux de mes pensées absorbées par effet d’illusion, la science de mes émotions ; surréalisme lapsus transformant mes intrusions en absolution.
Pour parvenir à la fin, il faut qu’il y en ait une.
Mais qu’y a-t-il derrière.
Je cite.
Gains sonores je résonne tellurisme sismique ai-je oublié où il se situais ?
De un.
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