un certain flou continu
Deux mots.
Qui se suivent parfois trois ou quatre. Un nombre, toujours. Souvent un simple chiffre. Qu’est-ce que qu’on ? Un jour j’aurais. Du prendre des sismologies. Un autre. Telluriser.
Deux images.
Que j’observe du plus proche des limites. De l’instant, sûrement. Du moment, assurément. Qu’-est que là ? Un noir j’aurais. Dansé des ténèbres fractales. Renvoyant l’ascenseur au Makhine.
Deux concepts.
Que j’étale pour l’étal de mon état létal. J’attends la mort qui ne viendra jamais ou peut-être que sûrement quoique j’aurais voulu. L’essence se transcende. Que raconté-je ?
Deux nuages.
Que j’infiltre. En stase mon âme perdu en terres d’espoir je manipule les limbes sans me voir au-delà de ce qui ne pourrait qu’être ou pas. Négation dans le thème du.
Deux connexion.
Entre lesquels la friction peut tranquilliser l’affliction d’un terrorisé de ma condition qu’aurait tellurisé quelque scission sismologique. Je soliloque, je serpente entre quoi ?
Deux points :
Départ de structure aléatoire où j’aurais la mesure d’un arrosoir qui se rassure d’être rasoir pour que perdure l’âme dérisoire qui s’offre un casque d’ivoire comme on chasse le devoir pour ne pas qu’il s’évade. Neuf.
Et j’aurais voulu que cela tombe.
Deux fois.
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