l'équation se rassemble autour
La vraie maison que j’habite.
Un numéro de rue télétransposé dans les limbes informelles de la formation de mes temporalités. Pourquoi mon histoire ? Parce qu’il paraît que je m’importe. Que ne faut-il pas raconter pour se retrouver soi, à l’heure d’aujourd’hui…
Dans les ténèbres tout le monde va CC. Soleil brille.
Un système d’un bas étage de la psyché, si profond qu’on s’énerverait de ne pas creuser assez jamais. Mais jamais c’est à toujours quelque chose d’intranquille dans le temps. Je me comprends.
L’oraison de l’autosatisfaction suffit-elle donc à ma prolifération ? Pas sûr. Mais on tente pour l’instant la quête identitaire de tout réfractaire à la théorie millénaire des tellurismes sismiques, avancée dans le temps par diffraction, réverbération, reflet.
Mise à jour du concept, j’opérationnelle bientôt.
Quelque part dans le temps, l’astéroïde en entrance d’une zone de turbulences… lesquelles ? Je ne saurais prédire le passé, mais j’aurais eu du mal à expliquer mon exposé.
Alors je ténèbre, encore, toujours. C’est ainsi que se fortifie ma tour.
Dans l’idéal un égal.
Dans les faits imparfaits.
Y aurait-il eu des vortex ? Des maelströms ? Des trous noirs ?
Pas un mot.
Pas un mot.
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