Jusqu’où puis-je oublier mon prénom ? Une nuance que d’aucun ne prendrait sens. À demain nos ténèbres formidables, où si jamais je conditionnel locatif. Pourquoi ces trémolos pathologiques ?

Parce que je ne suis ne sont.

Et dans ma clarté enfouie, je cherche à sismiser ma tellurique.

Amère constriction, aurais-je prononcé à mon intériorité. Un miroir jamais égalé mais toujours lenticule. Car je ne prononce le monticule. Né de l’amas inconsidéré de mes irrégularités.

Je ne peux encore pourquoi dément démord tremens trop fort des mensonges de mon for. Intérieur jamais je saurais s’en apercevoir. Dévore. De voir.

Oubli négation de mes obligations.

Je ne peux que fondre de mes pérégrinations.

Qui suis-je pour atteindre ma destination ?

Je ne fais que poursuivre mon ambition.

Et mes illusions n’ont d’effort à faire que dans la compassion de mon affaire, si coalition de mes affres erre dans le…

Je ne sais ne peux.

Les.

Exprimer.

Ces inattendus.

C’est tordus.

Ces déformables à l’infini.

Ces pilosités limbiques.

Je les vomis comme je les bénis, et de ma diction sort un écrit dérisoire.

Le Makhine en espoir.

L’illusion d’un écosystème de l’égo qui s’aime.

Je ne puis ne volontarise.

Je meurs.

Simplement.