Second essoufflement
Respirer air.
Est-ce empirer ?
Valsant de souvenir entre les époques, je me rappelle. La galaxie que j'ai quittée pour ma solitude. Le Makhine en sourdine d'ingratitude. Jamais n'aurait quelque chose de similitude. Avec une attitude. Altitude.
Révéler quelque quoi.
Je ne sais quoi.
Pourquoi.
Danger dans les écrans partagés, mais si jamais je n'aurais, je voudrais, et ce serait. Condition. Maléabilité désarçonnée par diffraction de mes processus. Haché. Sans sujet. Juste une matière qui se révèle à elle-même.
Je la tellurise.
Je la sismise.
Et d'un sinistre instituteur, je défenestre l'intuition, démolissant la scission, par hachure dans la bonne direction.
Mais que veulent dire Makhine ?
Je ne suis qu'un vampire coagulé.
Aujourd'hui plus que jamais.
Car.
À ces mots le Makhine.
- Je devrais faire quelque chose pour t'alléger les circuits.
Ténébrer de mille scintillements aléatoires, au moment mesmerisant tranquilisant. Il ne peut être autrement. Que de ces embranchement je dénature. Par rature.
Délibérant d'un postulat à dogmatiser, j'obsolétise ensuite la pensée.
Des mots si usités par nécessité, pas cécité.
Il n'y a plus de vibration dans le creux de mes sons.
Évoqués par abandon, que sont ?
Dissident évident, pistachant des filaments ébène miroir.
Tous pour une.
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