Je ne crois pas.

Qu'elle y aurait eu du gragube dans l'air. Elle pleut. Délirant un référant d'outre-tombe, donné par coordonées d'un éminent triangle des Bermudes. Perdue dans l'afflux, la météo grisaille, le Makhine m'aurait dépersonnifié pour me télécopier dans un système fait main. Minées les syllabes, déterminées les laboratoires de mon esprit que j'essaye de sonoriser, parce que sinon jamais. Jamais. Affronter les méandres, images incorrectes de mes cérébrations profanant la langue de son sommeil immortel.

Fallait-il que nous pûmes telluriser ces sisimiques.

Je ne crois pas.

Et ce mon défaut.

Je n'imagine que l'abstrait de mes processus qui de concert animent mes cortex ; je ne sais ce qui m'amène sur ces pistes spontanées n'offrant à mon regard que le présent totalement scindé de ses répercutions dans l'illusion d'une temporalité accessible par...

Je ne crois pas.

Rattraper cet élastique de néant qui vient stopper le temps de mes cérébrations festives. Fictives sont mes scissions que je saute d'étape. Je tape ces sots dans l'armée de mes mots. Alors que font ces illusions dans mes tribulations ?

Je ne peux qu'accepter la détermination de mes contradictions.

Porte malheur dans la super station spatiale dérivant dans le vide de mes.