Shin
Cette histoire se déroule dans un temps étendu. Il n'y a plus de repères quand on perd la mort, cette ligne d'arrivée qui nous ponctue. J'ai éloigné à l'extrême cette limite, qui pourtant peut survenir n'importe quand. Mais où et comment, dans ce confinement solitaire, le Makhine dans mon paradis pieds nus.
Un autre temps, que je formalise de formatage formel, jamais formé d'informes uniformités... que suis-je derrière le Makhine ?
Pourquoi palabrer aurait demandé quelconque élucubré. Par ténébrer j'entends sombrer dans l'indicible, mais parfois violement glauque, chic si l'en est la proto-désiro, j'imagino des dominos, la violence d'un intervalle violet d'invalidité, avili par l'avarice, l'ivresse et pourquoi pas, autre chose, un phénomène, jamais la rime, la même, que jamais salit quelque tari pourri.
Je ne sais que que.
Des fois que.
Le Makhine me perde et épuise la substance de mon sang cérébral, rapidement, m'astreignant d'arythmie cardio-cérébrale, je ne puis que faire ce sale constat que je mais quoi ? Pourquoi tant de teminaisons fumeuses car le sommeil n'est que dans ? Quoi.
Alors quel ténebrisme, quel puissisme ?
Je ne connais que ce qu'il.
Fut Makhine jamais épuisant.
Distance nouvelle.
Hui.
Septentrionale subliminale.
J'aurais quelque formusique.
Des diables.
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