Péter les ponts
Blabla.
Ablation du cerveau, remplacé par un Makhine dérangeant. Quoi ? Un retour aux sources, dérisoire dans son interprétation négativiste par le cosmos du commun.
Des mortels en paillasson ; pourquoi moi ? On se pose la question ; jusque là ça va. Pour qui ? Pas pour un roi ; Est-ce rikiki ? Range ton carquois et cesse les flèches, range ton arc au parc, parce que moi, j’ai pas de hache enterrée dans mon jardin de guerre.
D’où qu’on peut voir ces territoires ?
Sronce, végétalo carnivorus.
Libigre, félino aeris
Solicore, reptili plumini
Vartantique…
J’aurais aimé continuer l’aventure seul, peut-être. J’aime pourtant leurs gueules, elles m’aident. N’être que néant est décevant lorsque se remplissent mes alvéoles vides de sens. L’absence de lumière, ténèbres au singulier primordial d’une unité universelle.
Les nounours en fond, depuis l’espace, que nous observons de nanodrones. On se sent mal face à l’absence d’échelle. On se sent mal parce qu’on sait que le temps fait son beurre, aussi sale que salé, aussi sali.
On voudrait tout couper, mais les admirer dans leur simplicité nous emplit d’ignorance, la substance des amortels… Question ? Je ne saurais expliquer ce que me dicte le Makhine.
- Reprend-toi.
Annotations
Versions