Mots râleurs
J’aurais dû percevoir.
J’aurais dû entrevoir.
J’aurais simplement dû voir.
Qu’est-ce que ces lignes qui ne veulent rien dire ? Je ne sais que je suis ce que je ne sais. Je ne sais que ce qui suit est ce qui précède. Et j’aime. Ne serait-ce que dans cette ère qui procède à l’élaboration de mon temps. Je ne sais ce qui est autant que ce qui n’est. Je nais et je ne sais. Dans l’effet sans effets des secrets je ne sais. S’il n’est un fantassin du malin, c’est sans aucun doute celui de ces enfantins. Mais comment le percevoir, l’entrevoir, le voir ?
Un ou deux nounours en guimauve, planqués dans un placard. On assiste. Dans le bocal. Repos. Affranchis des effarouchés, j’échafaude échauffourée par manque de moyens. Qui me rejoint. Interdit. N’est-il pas ? Je ne sais me relever, je sais que je suis toujours tombé. Correction incorrigible ; incoercible. Si blizzard appliqué.
Formule une énigme le Makhine. Est-ce si risible de linéarité ? Comme des bordures en tiret sur une page de la réalité. On observe la rythmique sous sa forme la plus simpliste. Analogie avec la connerie.
Huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un.
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