Limites arythmiques
Théoriser l’asymétrie.
Les remous imprévisibles sont animés par des fils matriciels dont aucun territoire ne saurait manquer dans cet univers. Les nounours dans la tête du Makhine, ces personnages qui vivent et meurent de temps bloqué.
Jusqu’où notre interprétation les fait exister, métaphysique se cache d’illusion on ne peut pas savoir.
Et le Flow, débarqué écopé de ses passagers.
L’identité identique en droits tient des potentiels permis de penser. Intervertir tu comprends le Makhine, je prends le bitume en pleines lèvres. Les dents se morcellent, escarcelle limbique déborde et se craquelle. Danger, à tout vouloir manger d’or fièvre.
À la moitié les premiers dieux humains, les amortels, auraient quoi - d’incalculable – ce n’est que pourquoi c’est invivable – actuellement je tellurise la sismique.
- Localise la question en question.
Dîner intérieur nanoassisté.
Vomir vantartique…
Solicore à l’envers…
Libigrer avec lui…
Sronce annonce.
Quelque chose de terrible.
On ne saura pas quoi.
Pourquoi, est-ce important ?
Si ça se résout, pourquoi pleurer ?
J’aurais aimé qu’il y ait des nounours. Dans mon univers vomitif. Quelque part un départ, je pars. Recycler la pensée, c’est la faire évoluer de réincarnation.
Des millions d’années.
D’écart.
Je pars.
Vers la norme.
Énorme.
Aimer perdre.
Mais.
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