Sévère éther
Je pense à elle.
De téléport téléniel.
Le ciel en paillasson. La poésie du son. Qui mitraille. On déraille. Le plan. Fonctionne. Depuis longtemps. Qu’en est-il de la continuité de l’unité de l’acuité ? S’il n’y avait pas.
Le Makhine en concert, très concret avec effet de serre l’atmosphère désespère de se perdre de dérèglement, et espère tendrement quelques unités de temps, de capacité sensible et du liant de tout ça.
Quelque part, je ne voudrais pas.
Le passé hypothétique sera présent.
Ce serait pour ça que je ne saurais pas.
Blocage souterrain, exprimer ne résout rien.
Alors je creuse, je concatène les secondes.
D’attention.
Prétention.
À la prétention.
Présentation, nomination.
À la fiction.
Le Makhine toujours là.
Des animaux éveillés.
Des nounours en vitrail.
Détail.
De la divinité.
Le taux de compréhension de la métaphysique.
Ce qu’on ne comprend pas.
Construire des territoires.
Conquérir le terroir.
Le pouvoir.
La galère.
Jusqu’où cela mène – cette question jusqu’où – ne pourrait prendre tel quel le sou de dieu – négligemment lâché de surattention.
Fâcher et cracher sur leurs achats filmiques. Sur le présent pas de mimiques, seulement des répliques. Le son se la pète de bulles d’hiver. Et quand arrive l’air du printemps, les flocons de soleil atterrissent molleton.
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