Arbalètes
Cas n’a mana qu’à moins qu’almanach n’eut prévu ça.
Une station fantôme. Détruite par le vide.
Le patavoïdal me livre ses mystères.
Ou pas.
Pourquoi.
Commencer comme ça.
C’est toujours avec quoi qu’on fait quoi.
Alors je traine sur l’amas abrasif en espérant guérir mes brûlures. A l’intérieur de la station. Des restes de je-ne-sais-quoi. Des néons à moitié. Coupe.
Coupe.
Coupe.
Témoignage des lits béants oublie pas ou pas.
Le Makhine et le ça ronge Sronce, ça lubrifie Libigre, ça se claque Solicore et vante Vartantique. Je ne sais qui sont ces personnages délibérément – je me rappelle – scindés aux disséminations.
Je voudrais quoi que quoi ?
Makhine, le.
Pratiquement du péripatéthique aux relents des risoirs aux lames assez réalisées pas des coups purs aux réels frères blessés à la ronde. Copie colle la la la la la.
J’aurais des arbalètes face à des quoi.
Je trouve pas quoi.
Quoi je sais, c’est quand j’ère, et je cherche, j’me démerde pour me sortir de la merde. Logiquement. Quand la course au profit ce système que j’accuse dérangé.
Avec quel que quoi ?
Encore un nombre et l’apocalypse.
Flow dans l’euphorie.
Je passe une porte.
Quelque chose de vraiment insupport…
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