Escape game Chapitre 8
- Alors mes amis, je ne vous ai pas entendu me remercier. A part Hugo, mais pas à haute voix.
Les filles se retournent fâchées vers Hugo.
- Vous n'allez pas me dire que vous n'avez pas trouvé ça agréable ? lance Hugo. Je t'ai vu Agathe avec Jules et vous êtes allés beaucoup plus loin qu'une simple danse.
- Toi, ta gueule, hurle Agathe dans sa tête qui déteste avoir tort.
- Allez pas de grossièreté Agathe et on dit gentiment merci, dis-je.
- Merci, dit-elle d'un air boudeur.
- Merci qui ?
- Merci Satan !
- C'est mieux et maintenant aux autres.
Chacun s'exécute, mais c'est Jules qui à le plus de mal à le faire.
- C'est bien maintenant que tout le monde est prêt, nous allons pouvoir commencer.
- Agathe tout à l'heure j'ai été charmé par certaines de tes pensées et tu seras donc la première à profiter de ce lieu. Vois tu les menottes attachées au mur ?
- Oui, dit-elle en levant discrètement ses yeux.
- Et bien Jules, aide Agathe à s'installer. Tu ne voudrais pas qu'elle soit punie, dis-je, voyant sa réticence .
Agathe se dirige la première vers les menottes et place ses bras tendus au dessus de sa tête. Les yeux fixant le sol elle attend Jules.
- Allez Jules, à ton tour. Ne vois-tu pas qu'elle te veut.
Jules prend délicatement les poignets d'Agathe et ferme dessus les bracelets métalliques.
- Maintenant Jules, ce corps offert attend un orgasme. Mais tu ne dois utiliser que tes doigts et ta bouche.
Deux fauteuils apparaissent derrière Prune et Hugo, mais si près qu'ils tombent tous deux dedans.
Jules qui a encore les mains sur les poignets d'Agathe, redescend doucement le long de ses bras fin. Agathe se tortille et frissonne. La pauvre est très chatouilleuse.
- Tu me permets de t'embrasser ?
- Je n'attends que ça petit con, pense-t-elle.
Mais c'est un simple "oui" timide qui sort de sa bouche. De son pouce il caresse sa bouche et dépose un baiser léger et timide. Pourtant Agathe a déjà les yeux fermés et la bouche entrouverte. Ses pensées lui hurlent, de la prendre sauvagement, mais Jules est tétanisé. Alors Agathe attrape ses liens et soulève ses jambes pour le serrer contre lui. Leur sexe se frôlent et se pressent l'un contre l'autre et sa queue réagit immédiatement. Enfin il attrape son visage et vient glisser sa langue dans sa bouche. Son bassin simule des mouvements incontrôlés de pénétration pendant que l'une de ses mains quitte son visage pour venir caresser sa poitrine.
Hugo ne perd pas une miette de ce spectacle, assis confortablement dans son fauteuil. Une main lui caresse la poitrine et l'autre branle doucement son sexe en érection. Prune qui n'a pas quitté du regard Agathe et Jules, prend conscience qu'Hugo ne fait pas qu'observer. Discrètement elle tourne son regard vers ce manche en érection. En plus d'être de belle taille, il est bien dessiné. Le gland est lisse et rosé, légèrement plus large que le reste de sa queue.
Elle le fixe fascinée, quand elle sent Hugo la regarder. Ses yeux se lèvent, le temps semble s'arrêter quand les deux fauteuils se transforment en un petit canapé qui les rapproche l'un de l'autre. Il prend sa main et vient l'approcher de son sexe tendu. Prune remplace sa main sur sa verge et la branle doucement. Elle ne le quitte pas des yeux, mais ses pensés son ailleurs. Elle imagine ce sexe dans sa bouche et cette idée l'excite terriblement. Mais elle est effrayée à l'idée d'oser lui montrer son désir.
- Vas-y suce le, lui ordonné-je en pensé.
Ce petit coup de pouce lui donne le courage qui lui manquait. Elle se lève du canapé et se met à genoux devant Hugo. Il écarte les jambes et la laisse avancer. Elle approche sa bouche avec envie, entrouvre les lèvres et caresse ce gland lisse avec sa langue. De petites gouttes soyeuses perlent au bout de la queue de Hugo. Elle les lèche avec envie, découvrant ce nouveau goût. Enfin elle l'enfourne dans sa bouche, de quelques centimètres au début, puis de plus en plus profondément. Le pauvre Hugo qui n'a jamais connu de femme intimement sent déjà son orgasme monter.
Au même moment, Jules a délaissé la bouche d'Agathe pour s'occuper de ses autres lèvres. Il se délecte du sexe de cette jeune femme encore attachée par les poignets. Elle a ses jambes autour de son cou et semble apprécier ces plaisirs de la chair. Son visage se déforme sous les effets du plaisir, elle sent des sensations nouvelles dans tout son corps. Ce corps qu'elle ne contrôle plus maintenant, qui tremble sous les assauts de ce premier orgasme tout proche. Le visage de Jules est trempé par la cyprine d'Agathe, quand il sent enfin la jouissance de sa partenaire lui prendre toute la bouche. Son corps se tend et se soulève comme porté par une main céleste. Elle joui bruyamment.
Comment Hugo peut-il résister à ce chant mélodieux. A son tour, il jouit dans la bouche de Prune qui accueil ce plaisir et l'avale.
Jules détache Agathe et vient la déposer dans le lit ou elle s'effondre. A genoux à ses côtés, il ne la jamais trouvé aussi belle. Prune se redresse et vient perdre son regard dans celui d'Hugo.
- Je vous félicite et vous accorde quelques instants de repos, dans ce grand lit douillet, mes amis dis-je satisfait.
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