- Dis Hugo, c'est quoi ce truc que tu as choisi, remarque Agathe.

- Ça s'appelle un gode ceinture. On le met autour de la taille et ça remplace un sexe d'homme, explique Hugo.

- Mais pourquoi tu mettrais ça, ton sexe fonctionne très bien ?

- Agathe, réfléchis, ce n'est pas moi qui vais le mettre.

Mais Agathe, qui n'est pas très portée sur la chose, ne comprend toujours pas.

- Agathe tu vas mieux comprendre, dis-je. Hugo vas t'allonger sur le dos. Les filles vous trouverez deux liens sur les barreaux du lit. Attachez-y les poignets de Hugo.

Hugo avance vers le lit, inquiet, mais s'exécute. Les filles sont placées de part et d'autres et lui prennent chacune une main pour l'attacher. Ses muscles se dessinent magnifiquement sur les draps blancs et son sexe est déjà en érection.

Hugo regarde Prune qui lit dans ses yeux toutes ses peurs. Elle l'embrasse tendrement sur la bouche.

- Si tu veux, je vais bien m'occuper de toi, en douceur ? lui susurre-t-elle à l'oreille.

Elle commence à l'embrasser sur tout le corps et demande à Agathe de la rejoindre. Hugo se détend doucement et commence à se cambrer sous les baisers des deux filles.

- Tu vois, on va bien s'occuper de toi, dit Prune.

Prune se lève du lit, va chercher la ceinture restée sur la table basse et l'attache autour de sa taille.

- Oh la vache, comprends enfin Agathe.

Prune retourne sur le lit et reprend ses caresses. Elle vient au dessus de lui et embrasse son cou, puis descend sur son torse musclé. Elle lèche ses tétons et descends vers son nombril. Agathe s'approche du visage d'Hugo et le regarde tendrement dans les yeux. Elle l'embrasse sur la bouche comme pour le rassurer et finit par se laisser aller. Elle profite de la sensualité de l'instant.

Jules observe la scène de loin. Ces deux sublimes femmes et leurs magnifiques culs en l'air, attendant qu'on s'occupe d'eux. Il se tient là comme une statue grec, son manche en érections pointant vers le ciel.

Prune commence à lécher tendrement le sexe d'Hugo, tout en caressant son petit trou. Il est pour l'instant serré et inquiet comme son maître. Alors en douceur elle met un peu de salive sur son index et vient délicatement masser son anus, jusqu'à ce qu'il commence à se détendre. Elle a mis son sexe dans sa bouche et enfin son index s'immisce entre ses fesses.

Mais c'est qu'Hugo commence à apprécier. Il semble que Prune sache y faire.

Elle se redresse et demande à Agathe de le sucer à son tour. Là elle peut s'occuper à plein temps de son petit cul. Elle continue de le pénétrer doucement et elle le sent s'ouvrir délicatement, se détendre. Elle peut maintenant mettre deux doigts. Agathe quand à elle est à quatre pattes, en train de sucer avidement Hugo. Son cul est un appel au sexe.

Jules n'a toujours pas bougé et pourtant, je vois son bassin légèrement basculer d'avant en arrière. Dans sa tête il est en train de la pénétrer, la tenant par les hanches.

Agathe n'y tient plus, son sexe attend désespérément d'être pénétré mais rien ne se passe. Elle se retourne vers Jules qui la regarde. Son regard l'implore, elle le veut.

Quand enfin Jules avance vers elle, elle sourit et recommence à s'occuper de Hugo. Jules vient se mettre à genoux derrière Agathe et glisse ses doigts dans sa fente. Elle est gonflée et humide prête pour l'accueillir. Pour la première fois il glisse son sexe dans le sien. Ce fourreau est parfait. Il enveloppe sa queue et lui procure d'intenses sensations. Son corps s'électrise. Il rentre et sort lentement pour sentir chaque centimètre carré de ce vagin délicieux.

Hugo est prêt maintenant, et j'entends son désir d'être pénétré par Prune et son gode. Elle retire ses doigts, Hugo retient sa respiration et attends d'être enfin soulagé. Elle place le gode devant son trou et glisse quelque centimètre, puis la deuxième fois elle va un peu plus loin. Elle le regarde et observe sur son visage les limites à ne pas franchir. A chaque coup de rein, elle explore un peu plus loin son antre et il aime ça. Sans s'en rendre compte le rythme de son bassin rejoint celui de Jules. C'est un ballet magnifique qui se joue devant moi. Leurs mouvements gracieux, contrastent avec leurs visages déformés par le plaisir.

Je suis submergé par leurs pensées érotiques et leurs envies de jouissance.

Agathe la première se redresse, pendant que Jules accélère le rythme. De sa bouche, grande ouverte, sort de doux gémissement de plaisir. Je ressens la chaleur qui l'envahit et cette chute vertigineuse qui s'empare d'elle. Jules à son tour joui en elle, chaque jet de sperme le libère de toute cette tension accumulée.

Prune a arrêté ses va et vient quand Jules vient la libérer de sa ceinture. Agathe détache Hugo et l'embrasse.

- Allonge toi, dit Jules à Prunes. A ton tour Hugo de t'occuper d'elle.

Hugo se redresse et vient se mettre entre les jambes de Prune, pendant que Jules et Agathe lui embrasse le corps. Hugo commence par venir embrasser son clitoris gonflé. Le corps de Prune se cambre de toute part. Trois bouches et six mains abusent de son corps et l'électrisent. Mais elle veut plus elle veut Hugo en elle. D'une main elle redresse son visage et l'attire à elle. Comme un animal sauvage il remonte et se redresse.

Ce nouveau tableau qui se présente devant moi est aussi beau que le précédent. Les cheveux de feu de Prune se déploient sur le lit, pendant que Agathe et Jules caressent et embrassent sa poitrine et son corps de déesse. Hugo la pénètre avec fougue. Les muscles saillants des garçons contrastent avec la volupté et la douceur des corps de Prune et Agathe.

Je suis si fière de mon œuvre et de ses corps qui se font plaisir.

Le bouquet final arrive avec les orgasmes simultanés de Prune et Hugo, qui libèrent une telle énergie qu'une larme coule sur ma joue.

Ressaisis-toi Satan, ce ne sont que de vulgaires humains.

Mais ils sont si beaux, regardez moi ses visages qui irradient le bonheur.

Ils ont gagné et j'ai perdu.

Ils sont heureux, j'ai échoué.

J'ai échoué ! Tant mieux !