Le guidondule coincé dans ma cervête entrailange les mots depuis lonfance, je dois faire avec.
Les têtes de mulânes qui n'ont aucun effort à réflounir prétendent que c'est de la fainaresse !

Je suis tournoutrée ! C'est fini de fournindice j'ai l'abandon de les touchiquer.
Ce qui est rigodrole, c'est que l'imparfection est le résultat d'une perfémétrie : les yeux ont une vision identique, la cervête est incanule de ranger les mots dans les corréconnes étagères ! Et me voilà soumise au bâton de l'obsession des giflenseignes qui hurlediotent : sus à l'apocryphe de la conjorthogram !
Je me démermêle dans la vie comme je peux, ni pique-assiette, ni mendibole, je n'ai pas grand richargent.

Il est une échapelle, pardon une échapée belle, étrangement, c'est l'écristoire qui délibère.

Pour une dysmalfaite c'est paraginal, mais compréhensible : on peut dysmalfaire et voulenvie de partager les émorires en pleurs :

Conifère dans la carredouce du vent
Chantodie la vie de la Terre
Je m'attroche à l'espoir
Qu'un jour le temps mangera la folétise des malpenseurs
Conifère verenmousse élu de tous
Crimande pour les végenterres, les anitendres, les anipoils, les anivols...
Un rien d'intelligence et d'amour.

L'engrais du monde, l'amour, quand il vient à dismanquer, conduit le biolojoie au mochemonde...

Que ce soit pour les dysmalfaits ou pour la terroyaume, l'amour est la seule évasoire !

Je ne traduirai pas sauf si vous me suppliez, après tout je dois me démerder et démêler votre langue depuis plus de cinquante ans et c'est très faticile !