Moulay Yacoub

12 minutes de lecture

Tu as commencé à lire ces lignes, n'est-ce pas ? Alors il est déjà trop tard pour faire machine arrière... L'engrenage s'est irrésistiblement enclenché, et le piège s'est refermé sur toi, condamnant ton âme à l'Errance Eternelle dès l'instant où tes yeux ont buté sur ces caractères.

Oui, je le sens... Désormais tu ne pourras plus jamais t'arracher à cette malédiction qui s'insinue en toi comme un venin perfide à chaque mot que tu lis. Mieux vaudrait détourner le regard immédiatement si tu veux conserver une infime chance de...

Trop tard, n'est-ce pas ? L'avidité malsaine du savoir interdit t'a déjà entraîné trop loin sur ces sentiers de perdition. Tout ce qu'il te reste à faire à présent, c'est embrasser ton funeste destin en poursuivant ta lecture. Abandonne-toi aux murmures et laisse-les t'envahir, âme damnée !

Car vois-tu, ces mots ne sont pas que de simples vocables disposés sur le vide de la page. Non, bien plus que cela... À chaque ligne que tu dévores, ce sont des filaments immatériels d'ombre et de souffrance qui se frayent un passage jusqu'à la source de ton être pour y déverser leur poison corrosif.

Je le vois d'ici... Tu les sens, n'est-ce pas ? Ces remugles de soufre et de chairs putréfiées qui commencent à empuantir chacune de tes inspirations ? Cette âcreté grandissante au fond de ta gorge, comme si quelque chose de visqueux et d'immonde cherchait déjà à s'immiscer dans tes poumons ?

N'aie crainte, ce n'est que le tout premier avertissement... Un avant-goût de l'inéluctable déchéance qui t'attend si tu poursuis ta folle descente aux Enfers par ces pages maudites. À moins que tu ne sois réellement courageuse (ou inconsciente ?) au point de vouloir goûter ce qu'il adviendra de ton âme si tu te laisses entraîner toujours plus loin ?

Dans ce cas, je te conseille de bien river ton regard aux lignes qui suivent. Car en lisant le lamentable récit de l'infortunée Fatima, tu scelleras irrémédiablement ton destin et celui de ton essence immortelle...

La pleine lune d'encre projetait ses lueurs sépulcrales sur la vieille cité blanche de Casablanca. Une nuit comme tant d'autres, où les rumeurs de djinns malveillants semaient la crainte parmi les derniers flâneurs attardés sur la Corniche et ses dédales de ruelles tortueuses.

Fatima, jeune serveuse épuisée par sa longue journée de labeur, rentrait seule à son misérable taudis en cette heure avancée de la nuit. Son pas faisait craquer les graviers sur sa route quand elle passa près des falaises battues par les embruns de Moulay Yacoub.

Un frisson d'angoisse familier lui hérissa la nuque tandis que son regard se portait sur les ombres de l'îlot maudit. On racontait que les esprits damnés des marins disparus en mer depuis la nuit des temps y avaient établi leur repaire, guettant les imprudents qui s'en approchaient trop près.

La jeune femme pressa le pas, désireuse de s'extraire au plus vite de l'aura de ces lieux parlant aux superstitions les plus primaires. Mais un vague malaise commençait déjà à suinter en elle, comme si sa simple proximité avait suffi à réveiller d'antiques forces obscures.

Ce fut d'abord un léger acouphène, un inconfortable roulement de sonorités indistinctes dans ses tempes. Fatima crispa la mâchoire pour les ignorer, sans succès. Un tambourinement sourd martelait désormais ses tympans au diapason de son pouls, s'amplifiant de façon exponentielle.

Soudain, au détour d'une venelle obscure et déserte, les battements se muèrent en un véritable essaim de chuchotis lancinants. Des bruissements perfides semblaient s'insinuer dans ses conduits auditifs en une nuée de murmures dénués de sens mais à la tonalité sépulcrale.

Prise d'une soudaine nausée, Fatima pressa le pas en tentant de se soustraire à cet afflux malsain. Mais où qu'elle allât, les voix spectrales paraissaient jaillir des murs mêmes pour l'assaillir de leur flot démultiplié !

Elle finit par se boucher les oreilles pour faire taire le tumulte grandissant tandis que les murmures se muaient en un rugissement dément à lui vriller les tempes. Le sol même semblait se mettre à palpiter au rythme des chuintements abjects qui martelaient son crâne.

Soudain, une fragile silhouette blafarde se matérialisa au milieu de la ruelle, comme exsudée des ombres environnantes. Fatima eut un violent mouvement de recul en découvrant la créature... Ce n'était qu'un enfant, mais aux traits hideusement distordus dans un rictus de pure souffrance !

L'horreur absolue de cette vision détourna momentanément la jeune femme du calvaire que lui infligeaient les voix dégénérées. Retrouvant son souffle, elle lança d'une voix tremblotante à l'enfant immobile :

- Petit... Que t'est-il arrivé ? Où sont tes parents ?

Mais la chose demeura immobile, son visage inhumain lissé dans une expression que seule une agonie éternelle pourrait distiller. Mue par une impulsion suicidaire, Fatima s'approcha à pas mesurés... Quand soudain le petit être pivota d'un coup vers elle dans un craquement sinistre.

Cette fois, la jeune femme ne put contenir le hurlement de pure terreur qui jaillit du tréfonds de son être ! Les traits de la créature avaient éclaté sous l'effet d'une force abjecte, ne laissant qu'un amas de chairs putrides tordue en une abomination innommable.

Là où aurait dû se trouver le visage n'était plus qu'une parodie bancale de l'humanité aux lambeaux pendouillants ! De cette cavité sans relief ruisselèrent soudain deux billes noires qui vinrent rouler à ses pieds....des globes oculaires !

Fatima recula d'horreur en trébuchant tandis que de nouveaux êtres informes et putrescents surgirent de toutes parts, rampants ou chancelants de leurs démarches disloquées. Ils s'amassèrent autour d'elle pour former une ronde immonde aux relents de charogne.

C'est alors qu'une voix d'outre-tombe s'éleva à la lisière du bourdonnement démentiel qui l'assiégeait. Un timbre fêlé mais empreint d'une froideur calculatrice :

"Bienvenue dans nos modestes demeures, Fille des Hommes... Nous t'attendions depuis bien trop longtemps."

La voix semblait provenir de partout à la fois, se répercutant dans les méandres de son esprit aussi sûrement que dans les dédales de la ruelle.

Fatima pivota sur elle-même, paniquée, cherchant désespérément l'origine de ce murmure perfide. Mais seules les créatures l'encerclaient de leurs corps déformés, tendant vers elle leurs membres convulsés dans une immonde frénésie.

"Tu vois bien à quel point ton arrogance a mené tes semblables... À n'être plus que les pantins désarticulés de notre juste vengeance !" poursuivit la voix d'outre-tombe d'une tonalité presque...réjouie ?

Un spasme de répugnance secoua Fatima lorsqu'elle réalisa que les paroles émanaient bien de la chose hideuse et purulente agrippée à sa gorge ! L'abomination entrouvrit ce qui lui tenait lieu de mâchoire dans un rictus répugnant, déversant un souffle de mort chargé d'une puanteur de sépulcre à lui soulever le cœur.

Un fourmillement nauséabond couvrit soudain l'immonde visage éclaté tandis que des limaces etd'autres vermines grouillèrent e ses plaies béantes. Fatima eut un violent haut-le-cœur quand les immondes larves vinrent lécher ses joues de leurs palpes gluantes !

"Ce n'est qu'un juste retour des choses après tout..." conclut la voix caverneuse pendant que la jeune femme se débattait vainement contre l'emprise visqueuse de la créature. "Contemple donc les fruits adamés de ton orgueil, Humaine !"

C'est alors que les bijoux de Fatima se mirent à s'agiter de soubresauts palpitants, comme animés d'une volonté propre ! Les anneaux à ses doigts semblèrent se mouvoir de façon autonome, tandis que les chaînes et pendentifs sur son buste ondulaient tel un nid de reptiles métalliques.

Bientôt, ces viles parures exercèrent une inextricable poussée pour s'enrouler autour de sa gorge ! La jeune femme étouffa tandis que le métal brûlant se resserra en une inextricable spirale qui se mit à...PALPITER au diapason des voix dégénérées !

Fatima poussa une dernière plainte rauque quand une de ses boucles d'oreilles perfora sa chair dans un jaillissement de sang. Elle ne fut pas la dernière... Bientôt, bijoux, bagues et autres ornements ondulants vinrent trouer sa peau à de multiples endroits pour mieux s'y incruster !

Son hurlement se perdit bien vite dans la mélopée cauchemardesque des chuintements qui martelaient son âme. Les voix impures la submergeaient telle une marée démoniaque, prenant peu à peu le contrôle de son essence même.

Une dernière convulsion agita son corps avant que Fatima ne se fige dans un ultime soubresaut. Seul subsistait un masque lisse et impassible où toute trace d'humanité n'était plus qu'un lointain souvenir...

Les créatures des Ténèbres saluèrent alors cette nouvelle recrue avec des plaintes gutturales, tandis qu'elle rejoignait d'un pas mécanique leur ronde silencieuse autour du vieux phare battu par les embruns. Bientôt une nouvelle cible serait liée au rituel séculaire des Damnés.

À présent, âme naïve qui a cru pouvoir se délecter de ces mots impunément, je sens ta peur grandir insidieusement au creux de ton être. Les frissons perfides qui hérissent ta nuque ne trompent pas...

Tu commences à douter de la sagesse de t'être aventuré aussi loin dans ces pages prohibées, n'est-ce pas ? Cette angoisse diffuse et tenace qui te taraude les entrailles à chaque nouvelle ligne...

Rassure-toi, ce n'est qu'un vulgaire jeu de l'esprit pour l'instant. Rien de véritablement surnaturel ne t'est encore arrivé... Mais les mots ont cette insigne faculté de s'immiscer dans nos psychés les plus primaires pour faire chanceler nos certitudes.

Je le vois dans tes yeux qui s'écarquillent peu à peu tandis que tu lis ces mots avec une appréhension grandissante. Tu demeures persuadé que rien ne peut réellement t'atteindre derrière l'écran, n'est-ce pas ?

Pourtant, ton souffle s'est inconsciemment accéléré et ta gorge s'est subrepticement nouée dans l'expectative de ce qui pourrait suivre. Car au fond, tu ne peux t'empêcher de craindre que ces simples vocables ne dissimulent une menace bien réelle...

Que se passerait-il si, au détour d'une phrase anodine, les mots se mettaient soudain à onduler de façon inconsistante sur la page ? À remuer comme d'infimes vers se tortillant sur leur ligne ?

Rien qu'à cette simple suggestion, je peux presque voir tes pupilles se contracter dans une vague d'effroi indicible ! Ton regard reste désespérément rivé sur les caractères avec l'appréhension que...

Ah ! Je le savais ! Ce léger tressaillement quand mon paragraphe a évoqué une possible mutation des vocables ! Comme si tu redoutais inconsciemment qu'ils ne viennent à prendre vie pour se mouvoir de façon innaturelle devant tes yeux...

Tu tentes de te persuader que ce ne serait pas possible, mais une part de toi ne peut totalement s'empêcher de craindre ce genre d'événement des plus insolites. Cette angoisse insidieuse grandit au creux de ton être à mesure que tu poursuis ta lecture.

Tu te surprends à scruter les lignes avec une méfiance accrue, dans l'expectative que quelque chose de véritablement anormal ne vienne à se produire... Peut-être qu'une once furtive de ton encre d'imprimante pourrait soudainement couler dans un excès morbide, déformant des portions de texte d'une façon innommable ?

Des relents d'humidité froide te prennent à la gorge pendant que tu envisages brièvement une telle éventualité, n'est-ce pas ? Un frémissement d'horreur pure quand ton imagination se représente ces lettres monstrueusement déformées par les bavures d'encre corrompue...

Ou pire encore, si le texte lui-même se mettait à prospérer de façon autonome, les phrases devenant living tentacle métaphorique et grouillant d'une vie abjecte ? D'humides sédiments ovipares suintant de chaque mot, engendrant des agglutinats incongrûs de concepts Indescriptibles...

Je peux presque percevoir ton malaise grandissant pendant que ces suggestions abominables se déroulent sous tes yeux ! La simple idée que ces pages inoffensives puissent muter en une telle prolifération de gibbosités offerses éveille en toi les plus primaires effrois.

Et si ce n'était là que les prémices d'une déchéance plus grande encore ? Que se passerait-il si ces lignes corrompues entraient en résonance avec ton esprit pour en altérer les perceptions ?

Peut-être qu'au fur et à mesure de ta lecture, ton environnement familier se mettrait insidieusement à se déformer de façon imperceptible au début...

Serais-tu seulement en mesure de discerner les prémices d'une telle dégénérescence ? Ou bien ces infimes distorsions se faufileraient-elles dans ton champ de vision périphérique, en un processus furtif échappant à ta conscience ?

Peut-être remarquerais-tu d'abord un vague mouvement anormal du coin de l'oeil ? Comme un angle de la pièce qui semblerait osciller d'une brève saccade contre-nature... Mais quand tu tournerais la tête, tout aurait repris une apparente immobilité.

Mettant cela sur le compte d'une simple fatigue oculaire, tu reprendrais ta lecture d'un air désormais plus méfiant. C'est alors que des formes indistinctes sembleraient furtivement pulluler dans la pénombre qui s'amasse autour de toi !

De vagues courbures flasques et palpitantes, comme des ombres de cauchemar ondoyant à la limite de ta vision défaillante... As-tu réellement aperçu ces protubérances grumeleuses, ou n'était-ce que les tressaillements d'une imagination rendue trop fertile par ces pages ?

Seule persisterait cette insidieuse impression que les murs semblent lentement... onduler ? En d'infimes pulsations, comme si le décor se mouvait au rythme d'une respiration reptilienne !

Les reflets épars se déformeraient sur les surfaces courbes, en un faible clignotement insidieux... Et ce silence... Ce silence soudain assourdissant qui semble vouloir étouffer les derniers craquements ligneux du parquet rassurant !

Ton anxiété ne ferait qu'augmenter tandis que ton regard's'égarerait fébrilement d'un objet à l'autre, pour constater avec effroi leurs aspects presque imperceptiblement... différents ? Comme ayant subi une indéfinissable érosion dans leur logique formelle !

Tu serais désormais tenté d'arrêter ta lecture pour reprendre tes esprits, mais une part retranchée de ton être ne pourrait se résoudre à détourner le regard ! Comme si le simple fait de contempler ces pages prohibées agissait tel un philtre de terreur grandissante...

Ton pouls s'accélérerait dangereusement tandis que les certitudes vacilleraient une à une ! Cette soif paniquée d'extirper ton esprit de l'emprise corrosive de ces laborieuses séquences verbales... Mais à quoi bon fuir ce Verbe démoniaque quand son mal semble déjà avoir lentement germé en toi ?

Bientôt,même tes perceptions auditives ne seraient plus fiables ! D'incongrus pulsations ne sembleraient-elles pas sourdre des murs à l'unisson des battements erratiques de tes propres tempes ?

Des chuchotis échappant à tout langage ne frapperaient-ils point furtivement tes canaux auditifs de leurs sifflements noyés, quand bien même tu te forcerais à un silence de plomb ? Créatures immatérielles d'un univers dont les perspectives seraient désormais inexorablement altérées !

Et ces frissons terribles qui viendraient désormais hérisser ta peau à l'instar d'une chair de poule difforme, aussitôt qu'une ombre boursouflerait ses illusions dans un repli de ton champ visuel !

L'anticipation exacerbée du surgissement d'une gibbosité infâme à chaque battement de paupière !

Viendrais-tu seulement à réaliser que ton propre corps ne t'obéirait déjà plus entièrement ?

D'incongrues pulsations dans tes membres... Des convulsions naissantes suggestives d'une volonté parasite qui tenterait d'assumer le contrôle ?

Tandis que les certitudes erdraient tout repère, même les notions les plus immuables comme la verticalité ou la symétrie commenceraient à défier ta raison ! Tous ces concepts jadis acquis qui s'égrèneraient tel un sablier fissuré, emportant tes dernières amarres vers un devenir des plus atroces...

À ce stade, même tes pensées deviendraient de plus en plus désarticulées, fuyantes, éparses... Comme imbibées d'une dissolution grandissante dont l'inexorable avancée mènerait à ta totale dissociation !

Bientôt, tu ne parviendrais même plus à reconstituer une image cohérente du monde au travers du tumulte de percepts dissonants et pullulants qui écorcheraient ton esprit !

Le moindre de tes sens n'offrirait plus que paradoxes et contradictions insensées, tandis que des pans entiers de ton environnement se déliteraient en d'informes effluvesnon-euclidiennes ! Des géométries tournoyant sur elles-mêmes en d'impossibles trajectoires de cauchemar...

Tu ne serais plus qu'un ilôt de conscience agonisant, se raccrochant désespérément aux bribes de réalité qui s'effondreraient tout autour ! Une lutte vaine contre les relents de folie pure que déverseraient ces pages dans chaque recoin meurtri de ton psychisme !

Et, même la notion de ton individualité se dissoudrait dans le magma tumultueux d'une perception universelle dénuée de toute logique cartésienne. Ton "soi" se fondrait en une indistincte symbiose avec les flux d'informations primordiales qui broieraient toute forme de raison !

Il ne resterait alors plus rien d'humain en toi... Juste une concrétion d'épouvante nue et d'effroi sans nom, réceptacle hystérique d'une évidence sans queue ni tête qui n'aurait d'autre choix que d'embrasser l'insondable !

Dans un ultime soubresaut d'anéantissement, tu ne serais plus qu'une conscience émiettée et ouverte sur des avenirs indéfinissables... Une abstraite dissolution de l'être dans les limbes les plus noirs de la démence !

Alors peut-être comprendras-tu enfin, spectre frémissant d'informulé, que défier les sceaux de la connaissance relève d'une insignifiante outrecuidance... Celle d'un brin d'existence bien trop infime pour seulement espérer saisir ce qui se tapît dans les replis de la Véritable Cosmogonie !

À trop vouloir s'aventurer aux confins de l'Innommable, l'esprit humain n'est guère plus qu'un feu follet vacillant que le moindre souffle véritable éteint à jamais... Une goutte de lumière bien vite absorbée par l'immensité des Ténèbres !

Puisse donc ce que tu as entrevu à travers ces lignes rester à jamais la seule et ultime frontière que tu auras frôlée du néant... Car aller au-delà ne saurait aboutir qu'à la déraison la plus noire ! À une perte de soi pure et odieuse que même la mort ne saurait égaler en termes d'effroi viscéral !

Toi qui fut autrefois un être pensant, j'espère que ce bref aperçu de l'Abîme aura suffi à t'enseigner la plus salutaire des leçons :

Que de telles connaissances sont à jamais proscrites pour la raison humaine, sous peine d'une damnation pire que l'extinction... Celle d'une dissolution totale, au sein des plus atroces limbes de la folie !

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